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Suivez en direct le vol de l'avion solaire expérimental Solar Impulse qui se pose à Toulouse ce soir
L'avion solaire expérimental Solar Impulse a décollé ce matin à 05h36, de l'aéroport de Madrid Barajas en Espagne.
Il devrait atterrir dans la soirée, à partir de 20h00, à l'aéroport de Toulouse-Francazal, ont annoncé les organisateurs dans un communiqué de presse. Toulouse Infos vous propose de suivre le vol et les conversations du pilote en direct.
[Note du curateur] Ou depuis mon blog avec nos commentaires sur Twitter et les tweets officiels : http://www.jacques-le-bris.fr/#Bonjour
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L’avionneur européen a présenté ce mardi ses résultats annuels à Hambourg à l’occasion de ses vœux à la presse. Avec 534 avions livrés et 1 419 commandes nettes, Airbus bat largement Boeing et conserve la place de n°1 mondial avec 64 % du marché. EADS a également annoncé 9 000 recrutements.
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- ToulÉco :
Depuis le 18 Avril,Turkish Airlines propose trois vols par semaine au départ de Toulouse vers Istanbul. La ville rose devenant au passage la quatrième escale française de la compagnie turque. Une destination qui espère se développer comme celles de Paris, Lyon et Nice. Depuis le 3 juillet 2011, Turkish Airlines dote la destination Toulouse-Istanbul de quatre vols par semaine ( lundi, mercredi, samedi et dimanche ) et espère ainsi atteindre la barre des 20.000 passagers fin 2011. La compagnie turque va même plus loin et prévoit de maintenir quatre vols par semaine jusqu’au mois d’avril 2012 avant de passer à des vols quotidiens et parvenir à 40.000 passagers fin 2012. Un développement ambitieux qui va dans le même sens que les autres escales turques en France : Lyon-Istanbul est déjà desservi 10 fois par semaine et passera à 12 fois le 8 juillet. Istanbul une ville d’affaire mais surtout de touristes Cette liaison entre Toulouse et Istanbul est certes perçue comme une opportunité pour l’activité économique Toulousaine, Istanbul étant la première ville exportatrice de Turquie. Mais le tourisme reste loin devant en terme d’attractivité. En effet le voyage d’affaires ne représente que 40% de l’activité totale. C’est donc un tourisme de loisirs qui attire les gens à Istanbul. Le voyageur pourra découvrir une ville à cheval sur deux continents (L’Europe et l’Asie) qui dévoile l’ancienne Constantinople romaine et celle des sultans bâtisseurs de mosquées (plus de 2000 dans toute la ville) avec ses joyaux la Mosquée bleue (Sultanahmet) ou le palais Topkapi. Mais « Stanbul » n’est pas une simple ville « musée » c’est une immense métropole (14 millions d’habitants) dynamique dont 50% de ses habitants ont moins de 30 ans. Florent Jimenez
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Photos Airbus Press. DR.
- ToulÉco : Avec la confirmation de la commande de 150 avions A320 Neo par l’indien IndiGo, Airbus prend de l’assurance. De nouvelles signatures sont attendues au cours du Salon du Bourget pour la version Neo. Elle devrait gonfler le carnet de commandes de plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines d’appareils… La star du Bourget n’est ni un gros porteur, ni un avion solaire dernier cri. Et pourtant, c’est bien le nom de l’A320 Neo qui revient le plus souvent dans les annonces et les communiqués du salon aéronautique qui se tient actuellement à Paris. La dernière commande annoncée par la compagnie indienne IndiGo est historique : 150 A320 version Neo et 30 A320, soit 15 milliards d’euros, prix catalogue. Il s’agit de la confirmation d’une annonce réalisée en janvier dernier. C’est surtout une excellente nouvelle pour l’avionneur toulousain, qui désormais ne cache plus son espoir d’atteindre les 1000 A320 Neo vendus d’ici dimanche, à la faveur de nouvelles annonces attendues d’ici la fin de la semaine avec Air Asia et Qatar Airways. Pour l’heure, l’A320 Neo s’est donc vendu à près de 450 exemplaires, dont 347 commandes fermes et des protocoles d’accord. De quoi conforter et même dépasser les objectifs de ventes de John Leahy, le directeur commercial d’Airbus, qui en début d’année, espérait vendre 4.000 A320 Neo dans les quinze prochaines années. « Le secteur des monocouloirs est particulièrement solide et notre A320 Neo constitue la réponse à cette demande future, proposant à nos clients les dernières innovations et technologies », expliquait-il en décembre dernier. Décidé il y a à peine six mois, le lancement de l’A320 Neo est attendu pour 2016. Doté de nouveaux moteurs, et reconnaissable dans les airs grâce à ses ailerons de bout d’ailes, de grands "Sharklet" situés aux extrémités de l’appareil, l’A320 Neo doit son succès à sa promesse d’économie, celui de réduire de 15% la consommation de kérosène, soit quelque 3.600 tonnes de CO2 en moins par appareil et par an. Un argument de poids en ces temps de crise mondiale, et qui fait du « Neo » la coqueluche du Bourget. Jamais Airbus n’avait vendu un avion en si peu de temps. M.V.
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- ToulÉco :
Tous les deux ans, le Salon du Bourget est l’occasion de prendre le pouls du secteur aéronautique mondial. Celui-ci devrait battre à vivre allure durant toute cette semaine pour les constructeurs aéronautiques basés en Midi-Pyrénées, mais aussi pour les collectivités et les PME régionales présentes sur place. C’est parti pour sept jours au rythme des avions. Le salon du Bourget ouvre ses portes du lundi 20 au dimanche 26 juin et affiche pour 2011 un nombre historique de participants, avec plus de 2100 exposants internationaux. Les organisateurs attendent aussi 200.000 visiteurs particuliers et pas moins de 138.000 visiteurs professionnels, notamment au cours des journées du 21, 22 et 23 juin qui leur seront réservées. Des temps forts y seront attendus, comme le vol du Boeing 747-8 Intercontinental, ou encore la première apparition publique du gros porteur militaire d’Airbus, l’A400M. Une déception toutefois, puisque celui-ci, tout comme l’A380, ne volera pas pendant le salon. Le premier a des ennuis de moteurs, tandis que l’aile du second a été endommagée lors d’un roulage ce dimanche sur la piste du Bourget. Côté business, le salon du Bourget est particulièrement important pour les constructeurs qui en profitent pour nouer des contacts commerciaux et surtout communiquer sur les derniers contrats décrochés. En 2009, date de la précédente édition, Airbus avait ainsi annoncé la vente de 127 appareils pour une valeur totale estimée à 12.9 milliards de dollars. De même, le constructeur ATR a prévenu qu’il fallait cette semaine « à d’importantes commandes et quelques belles surprises… », selon son président exécutif Filippo Bagnato. 3000 recrutements pour Airbus cette année Pour 2011, les annonces devraient être encore plus importante, notamment sur le programme A320 Neo. De plus, le constructeur toulousain prévoit de communiquer sur l’avion du futur, avec la projection d’un film spectaculaire à 360° au Planétarium du Musée de l’Air du Bourget. L’accent sera également donné sur les recrutements, avec des ateliers carrière tout au long de la semaine, et la volonté affichée de recueillir des CV pour ses recrutements. Airbus veut réaliser 3000 embauches cette année et proposer 2500 offres de stages. Mais les constructeurs ne sont pas seuls au Bourget. La région Midi-Pyrénées y est présente, en soutien du pôle de compétitivité Aerospace Valley et en binôme avec la région Aquitaine. Accompagnés de leur chambre de commerce et d’industrie de région, et de leurs agences de développement économique respectives (dont Midi-Pyrénées Expansion), les entités du Sud-Ouest ont réservé un espace collectif de 1400 m2, où 97 PME des deux régions seront aussi représentées. L’occasion pour le président de région Martin Malvy de revenir sur les actions récemment annoncées, tel le plan d’aide de 130 millions d’euros en faveur des entreprises aéronautiques, ou encore le projet d’Institut de Recherche Technologique (IRT) Aéronautique, Espace et Systèmes Embarqués, qui fait partie des Investissements d’avenir. Au final, le salon du Bourget promet déjà d’être un bon cru pour les acteurs de Midi-Pyrénées. Certes, la concurrence est là, mais le dynamisme qui agite actuellement le tarmac et les stands du Bourget témoigne de la santé recouvrée du secteur aéronautique. Un secteur vital pour la région mais aussi pour la France, puisqu’il permet de générer chaque année près de 14 milliards d’euros d’excédent commercial. M.V.
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Avec 1419 commandes nettes, Airbus a enregistré la meilleure année commerciale de son histoire. Mais 2012 promet d’être agitée : Tom Enders, futur président d’EADS, veut se doter d’un état-major plus "allemand" que "français", ce qui romprait le dogme de l’équilibre franco-allemand voulu par les actionnaires. (...) Pour assurer les livraisons et la montée en charge, Airbus entend recruter encore : plus de 4000 embauches sont programmées en 2012, soit presque autant que l’an dernier, où 4500 recrutements avaient été réalisés. Airbus compte désormais un effectif de 55.000 personnes, dont plus de 17.000 sur le seul périmètre toulousain.
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ObjectifNews :
Le nouveau PDG d’Air France, Alexandre de Juniac, a présenté ce matin la future base de la compagnie à l’aéroport de Toulouse Blagnac. Opérationnelle le 1er avril 2012, elle s’appuiera sur une nouvelle organisation et proposera 16 nouvelles destinations, essentiellement européennes. Cette base accueillera 350 salariés qui y seront localisés. « L’offensive d’Air France en régions se poursuit au départ de Toulouse. » La phrase d’accroche de la compagnie aérienne traduit bien l’état d’esprit dans lequel se trouvait son nouveau PDG Alexandre de Juniac, ce lundi matin à la Chambre de commerce et d’industrie de Toulouse 31. Mesuré, mais combattif. Lors d’une conférence de presse réunissant journalistes mais aussi représentants du monde économique, notamment du secteur aérien, il a présenté la future base d’Air France installée à l’aéroport de Toulouse Blagnac. Opérationnelle au 1er avril prochain, elle permettra à la compagnie d’ouvrir 16 nouvelles destinations, venant s’ajouter aux 12 existantes. Malaga, Athènes, Bruxelles, Genève, Hambourg, Malte, Naples, Prague, Séville, Berlin, Venise, Vienne, Casablanca, Marrakech, Istanbul et Tunis viennent se rajouter au départ de la Ville rose. « 12 nouvelles destinations en Europe, 1 en Turquie et 3 au Maghreb », résume Alexandre de Juniac. Par ailleurs, 7 vols hebdomadaires supplémentaires vers Paris Charles de Gaulle et 4 vers Paris Orly seront proposés. Concrètement, l’organisation même de la compagnie va changer à Toulouse et s’appuiera sur « les meilleurs schémas d’exploitation des low cost » selon les termes d’Alexandre de Juniac. Au quotidien, les avions, tous de la famille A320, seront utilisés 11h30 au lieu de 8h15. Les temps de demi-tour seront réduits lors des escales. Dix appareils seront basés à Toulouse, tout comme 350 personnes (120 pilotes et 230 hôtesses et stewards) qui quitteront leur lieu de travail actuel pour être localisés dans la Ville rose. Ils y débuteront leur service. Les équipages volontaires effectueront davantage d’heures de vol sur un nombre de jours plus limité, conformément à l’accord bouclé vendredi dernier avec les syndicats. "Le côté le plus spectaculaire pour les voyageurs sera sans doute notre déménagement du hall B vers le hall C, où nous opérerons désormais", indique Christian Lahccen, directeur régional d'Air France. « Le coût opérationnel baissera d’environ 15 % au km, afin de rétablir la rentabilité des lignes, assure Bruno Matheu, directeur général délégué commercial. Notre offre en volumes de sièges va augmenter de 24 % et nos fréquences de 11 %. Nous visons 800 000 passagers supplémentaires par an à Toulouse, soit une croissance de 10 % pour l’aéroport. » Le positionnement tarifaire se veut lui aussi agressif : les vols seront disponibles (ouverts dès cet après-midi à la réservation) à partir de 50 € TTC l’aller, « avec la même gamme de services », insiste Bruno Matheu. Un taux de remplissage de 66 % est espéré pour l’ensemble des bases en année pleine.
Pour Air France, cette annonce, attendue depuis de longs mois, est capitale. La compagnie s’est lancée dans une stratégie offensive avec le lancement de 4 bases : Marseille, lancée en septembre, Toulouse et Nice qui ouvriront en avril et Bordeaux à une date encore indéterminée. « Nous pourrons ainsi répondre à la concurrence des low cost, du train et mieux satisfaire les attentes de nos clients qui désiraient des produits moins chers et plus simples », affirme le PDG d’Air France. Ce dernier est en revanche resté très évasif sur les mesures qui attendent la compagnie dans les prochains mois. Endettée à hauteur de 6,5 milliards d'euros, Air France doit opérer un redressement financier et faire évoluer sa structure, avec un réseau court et moyen courrier déficitaire. D'après Alexandre de Juniac, janvier d'abord, mais surtout mai et juin (après l'élection présidentielle, donc) devraient apporter quelques réponses. De nombreux représentants de la vie économique régionale étaient présents lors de cette annonce : Alain Di Crescenzo, président de la CCI Toulouse 31 qui possède 25 % des parts de l'aéroport, Christian Desmoulins, président du directoire d'Actia Group, Georges Colson, président du conseil de surveillance du voyagiste Fram, Olivier Sadran, co-président de Newrest, Philippe Robardey, président du Medef 31, Jean-Michel Verhnes, président du directoire de l'aéroport... Mikaël Lozano
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La dépêche :
ATR, constructeur d'avions régionaux à hélices, leader mondial sur son marché, vient de clôturer un salon du Bourget exceptionnel avec 88 commandes en stock. Sous l'aile d'Airbus, le petit frère ATR a clôturé le meilleur salon du Bourget de son histoire. Le leader mondial des avions régionaux turbopropulseurs (à hélices) a dévoilé un carnet de commandes inédit avec 88 appareils commandés par onze compagnies aériennes auxquels s'ajoute la bagatelle de 42 options. Le précédent record établi au Bourget 2007 n'avait fait apparaître « que » 53 commandes et quinze options. Le montant total de ce carnet de commandes 2010 atteint 2,8 milliards d'euros. Durant les quatre jours du salon du Bourget ATR a signé 60 ventes et 37 options qui se sont ajoutées aux 28 commandes enregistrées depuis le 1er janvier. « Ce niveau historique de ventes à mi-année confirme l'attractivité de nos avions et augure de très belles perspectives commerciales à l'avenir » a réagi Filippo Bagnato, le président exécutif d'ATR. TROIS ANS DE PRODUCTION ET DES EMBAUCHES La moitié de toutes les commandes dévoilées provient de nouveaux clients permettant à ATR de conforter sa place de leader mondial face au Canadien Bom bardier. Parmi les nouveaux clients, a été une commande de quinze appareils (+15 options) de la part du loueur américain Gecas (filiale de General Electric). ATR détient aujourd'hui 60 % de parts de marché dans le monde. Avec de telles commandes, la chaîne d'assemblage des ATR à Saint-Martin-du-Touch est assurée d'au moins trois ans de production. Il reste en effet 233 avions à livrer pour un montant de 5,4 milliards de dollars. Pour faire face à cette avalanche de commandes, ATR avait déjà anticipé une hausse des effectifs. L'an dernier, quarante personnes ont été recrutées notamment dans des fonctions de gestion de production. En 2011, encore cinquante embauches sont prévues pour faire face à la montée des cadences. ATR a réussi son pari d'offrir un avion de 42 ou 72 places, 50 % plus économe qu'un jet à réaction et donc beaucoup plus économique pour les liaisons régionales. ATR vient de lancer une nouvelle version, la série 600 tout juste certifiée, qui offre une nouvelle avionique, des moteurs 5 % moins gourmands et une nouvelle cabine pour les passagers. La société détenue à 50 % par EADS et 50 % par l'Italien Finmeccanica, réfléchit au lancement d'un appareil de 90 places car les compagnies aériennes le demandent. Il permettrait de compléter la gamme et de garder une longueur d'avance face à Bombardier. Il ne faudrait toutefois pas trop tarder. Reste aux actionnaires à donner leur feu vert. Certifié Iso 14001 ATR vient de devenir le premier constructeur d'avions régionaux à obtenir la certification environnementale ISO 14001 sur l'ensemble du cycle de vie de ses appareils. Le nouveau certificat a été remis à ATR pendant le salon du Bourget.
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- Salon du Bourget : Ladépêche.fr :
ATR a confirmé mardi avoir atteint un record de commandes lors du 49e salon du Bourget, qui se poursuit jusqu'à dimanche. Le fabricant européen d'avions de transport régionaux a ainsi dévoilé un total de 78 commandes fermes pour un montant de 2,4 milliards de dollars. "Nous avions dit la semaine dernière qu'il s'agissait d'une édition du Bourget record et en effet, je peux le confirmer", a indiqué Filippo Bagnato, le président d'ATR. "Près de 50% de ces commandes fermes ont été enregistrées auprès de nouveaux clients", a-t-il ajouté dans un communiqué. A ces commandes s'ajoutent 32 options. L'éditon 2011 du Bourget est donc la meilleure pour l'avionneur. Elle dépasse largement 2007, où 53 commandes avaient été enregistrées et 15 options prises. Parmi les clients, on retouve la compagnie brésilienne Azul, qui a commandé 10 ATR 72-600. Les noms des trois compagnies n'ont pas été dévoilés.
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