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Martin Malvy : une décision mûrement réfléchie

Martin Malvy : une décision mûrement réfléchie | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Fin du suspens. Depuis des semaines, le landerneau politique s’interroge. Martin Malvy va-t-il être candidat ? Le président sortant sera-t-il sur la ligne de départ des Régionales de décembre 2015 ?


 

La décision est prise. Martin Malvy arrête. Son mandat actuel sera le dernier (lire ici notre article « Martin Malvy ne sera pas candidat aux élections régionales de 2015″, sur France 3 Midi-Pyrénées).

 

Martin Malvy occupe son fauteuil depuis mars 1998. Il restera le dernier président de Midi-Pyrénées. Il ne participera pas à la compétition électorale qui accompagne la fusion avec le Languedoc-Roussillon.

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Sur la fusion de Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon, les deux présidents s'opposent

Sur la fusion de Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon, les deux présidents s'opposent | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Christian Bourquin et Martin Malvy, les présidents de Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées.


Une super-région Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon, Christian Bourquin n'en veut pas. Face à Martin Malvy, son homologue de Midi-Pyrénées, plutôt favorable au projet, le président de Languedoc-Roussillon a manifesté sa désapprobation. Il appelle les habitants de sa région à réagir dans une pétition.

Sur la nouvelle carte dessinée par François Hollande pour simplifier et alléger le coût du millefeuille territorial et qui prévoit le passage de vingt-deux à quatorze régions métropolitaines, elle serait la deuxième région française après Poitou-Charente-Centre-Limousin par sa superficie et la troisième par sa population et son PIB, juste après l’Ile-de-France et Rhône-Alpes. Alors que le nom et la capitale de cette super-région Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon font déjà débat sur la Toile, le projet même de fusion est rejeté par Christian Bourquin.

Le président socialiste de Languedoc-Roussillon a d’ailleurs lancé sur le site internet du conseil régional un « manifeste ». Intitulé « Aux habitants de la région Languedoc-Roussillon notre avenir commun », il invite les habitants à dire non à ce projet. Le nouveau contour des régions présenté ce lundi 2 juin par François Hollande est pour lui « une carte des copains » dans laquelle Languedoc-Roussillon a été « sacrifiée ».

« Une région reconnue »

« Nous sommes la région la plus attractive de France et celle qui créée le plus d’emplois, 30.000 chaque année. Languedoc-Roussillon a des atouts de croissance et affiche des performances qui peuvent inspirer la France. Notre dynamique pour l’emploi et le pouvoir d’achat ne mérite pas d’être casser comme ça », regrette Christian Bourquin qui se dit « déçu par (son) gouvernement ». Alors que le président de la République veut faire des quatorze nouvelles entités des régions « de taille européenne, capables de bâtir des stratégies territoriales », il a réaffirmé la « reconnaissance internationale » dont bénéficie déjà selon lui Languedoc-Roussillon.

« Je viens d’inaugurer à Montpellier le nouveau siège du Consortium du groupement consultatif de recherche agricole international. Nous avons déjà le pôle mondial de l’eau et une marque Sud de France, que tout le monde nous envie. On est reconnus au plan international, nos méthodes de travail plaisent à l’Europe et l’on ne serait pas reconnu par Paris. Quelque chose ne va pas », déplore l’élu.

Deux projets de loi en préparation

Pour Christian Bourquin, le rapprochement avec Midi-Pyrénées reviendrait « à lester les deux régions pour les dix ans qui viennent ». De son côté, Martin Malvy, président du conseil régional de Midi-Pyrénées, le projet de fusion avec Languedoc-Roussillon « répond à plusieurs défis ». Il devrait permettre « pour les années qui viennent, dix, vingt ou trente ans, le renforcement de (nos) propres espaces » et donner aux deux régions « la capacité à affronter la compétition tant au plan national qu’en Europe » en rivalisant notamment avec la Catalogne et Rhône-Alpes.

Les deux projets de loi autour de cette réforme territoriale seront examinés le 18 juin en conseil des ministres. L’un portera sur la nouvelle carte des régions et le second sur le transfert des compétences. D’ici là et même après, à l’occasion du débat parlementaire qui suivra cet été, Christian Bourquin espère bien faire bouger les lignes. Pour lui, les choses ne sont pas finies…
Johanna Decorse

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Le secrétaire d'État Kader Arif affirme qu'il n’a "rien à voir" avec l’affaire AWF

Le secrétaire d'État Kader Arif affirme qu'il n’a "rien à voir" avec l’affaire AWF | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it


Kader Arif, secrétaire d'État aux Anciens combattants


 


Kader Arif s’est exprimé hier au sujet de l’enquête préliminaire ouverte à Toulouse concernant des marchés publics attribués par la région Midi-Pyrénées. Le groupe d'opposition Osons Midi-Pyrénées avait signalé au procureur des "anomalies" suggérant un favoritisme en faveur de la société d’événementiel AWF. Celle-ci est dirigée par des proches du secrétaire d’État aux Anciens combattants qui regrette les "amalgames et insinuations" et appelle à la "transparence". Ce matin des policiers de la PJ se sont rendus au Conseil régional.

Interrogé par des médias locaux lors d’un déplacement à Boulogne-sur-Mer, Kader Arif s’est exprimé hier sur l’enquête concernant la société AWF, dirigée par son frère Aissa Arif et son neveu Nassim Arif. Cette enquête préliminaire a été ouverte mercredi 10 septembre par le procureur de la République de Toulouse, Michel Valet, à la suite du signalement d'"anomalies graves dans les appels d'offres" par le groupe d'opposition au Conseil régional Osons Midi-Pyrénées. Anomalies également évoquées par le Canard Enchaîné, ce mercredi. Le journal faisait état de soupçons de favoritisme du Conseil régional de Midi-Pyrénées pour AWF dans le cadre d’appel d’offres pour des prestations événementielles. Kader Arif s’est dit gêné par "les amalgames et insinuations. Il y a une enquête préliminaire qui a été ouverte. Je crois que le mieux, c’est de faire que cela se passe avec transparence et en même temps avec beaucoup de sérénité."

Manuel Valls défend Kader Arif
Ancien premier secrétaire de la fédération du Parti socialiste de Haute-Garonne, ex député du département et désormais secrétaire d'État aux Anciens combattants, il réfute toute implication dans l'affaire AWF : "Je ne suis pas conseiller régional et je ne l’ai jamais été." Et ajoute, "mon frère est autonome. Je n’ai rien à voir avec cela." Hier, le Premier ministre, Manuel Valls avait pris la défense de Kader Arif : "Ne mélangeons pas tout. Il n’est en rien concerné par cette information. Que chacun regarde bien les faits et les événements."

Martin Malvy de son côté était invité sur le plateau de France 3 Midi-Pyrénées mercredi soir. Il "se félicite que la justice se soit saisi de ce dossier, car il n'y a aucun favoritisme". Il confie "recevoir très mal ce genre de polémiques" et soupçonne les élus du groupe Osons Midi-Pyrénées d'avoir eux-mêmes fourni des informations au Canard Enchaîné.

Ce matin, le Conseil régional a reçu la visite de la police judiciaire, venue chercher certains documents relatifs aux appels d'offres concernés." Il ne s'agit pas d'une perquisition mais d'un contrôle sur pièces" précise le service communication.

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Ce soir, Martin Malvy, accompagné d'entreprises locales, s’envole pour le Brésil avec François Hollande

Ce soir, Martin Malvy, accompagné d'entreprises locales, s’envole pour le Brésil avec François Hollande | Toulouse La Ville Rose | Scoop.it

Seul président de Région invité par François Hollande lors d’une visite d’État au Brésil, Martin Malvy accompagnera le président de la République du 12 au 14 décembre pour "vendre" les produits de Midi-Pyrénées. Il sera lui-même entouré des PME Sterela et Graine de Pastel, ainsi que de représentants des groupes Pierre Fabre et Latécoère.

Journée chargée pour Martin Malvy. En rendez-vous à Matignon en fin d’après-midi pour une réunion sur les fonds européens, le président du Conseil régional de Midi-Pyrénées se rendra ensuite directement à l’aéroport Roissy - Charles de Gaulle : il s’envole ce soir (mercredi 11 décembre) pour le Brésil. Seul président de Région invité pour cette visite d’État de François Hollande, Martin Malvy a probablement reçu le "coup de pouce" de Laurent Fabius, le 3 décembre dernier, lors d’une soirée au Quai d’Orsay où étaient présentés les produits de Midi-Pyrénées (lire notre article : 37 producteurs de Midi-Pyrénées invités d'honneur au Quai d’Orsay demain soir à Paris ).

Mais surtout, la Région mène une démarche active de rapprochement avec la région de Recife au Brésil. C’est dans ce sens que Martin Malvy a rencontré le 21 novembre dernier l’ambassadeur du Brésil en France et, à cette occasion, les deux hommes ont annoncé l’intention de conduire en avril prochain une délégation d'industriels de la région au Brésil. "J'ai par ailleurs sollicité le concours de l'ambassade, ajoutait alors Martin Malvy, pour développer les contacts entre les milieux économiques de Recife et du Pernambouc et Midi-Pyrénées Expansion, chargée du pilotage régional du projet en direction des entreprises intéressées de Midi-Pyrénées. Au cours de cette mission, des conventions entre Universités et CHU pourraient être signées."
 
Graine de Pastel dans l’avion
"En invitant un président de Région dans sa délégation, François Hollande fait un acte important en termes de reconnaissance du rôle qu’ont désormais les Régions dans le développement économique et notamment la coordination du développement de la présence des PME à l’export", se félicite-t-on à l’hôtel de Région. Les PME, justement, seront aux côtés de Martin Malvy jusqu'à samedi. Le bureau d'études en électronique et en automatique Sterela, et le spécialiste des cosmétiques à base de pastel Graine de Pastel embarquent pour le Brésil. Ces entreprises n’ont pas été choisies par hasard. "Depuis que François Hollande est président, les entreprises qui l’accompagnent lors de ses voyages sont choisies par appel d’offres, confie-t-on à la Région. Cela permet de partir avec des entreprises au dossiers solides, pour un voyage mieux préparé et dont les retombées sont meilleures."

Carole Garcia, fondatrice de Graine de Pastel et conseiller du commerce extérieur, se dit ravie. Pour elle, c’est l’occasion de faire affaire avec le Brésil, "3e marché cosmétique mondial". Celle pour qui l’international est une priorité espère atteindre "50 % de l’activité hors Europe en 2018". L’entreprise recherche donc un partenaire commercial ou un distributeur, avec un choix de réseau de distribution à adapter aux spécificités locales : duplication du modèle corners / boutiques ou réflexion sur d’autres circuits comme la vente directe. Enfin, Carole Garcia l’avoue, non seulement c’est une des rares femmes de la délégation, mais "c’est aussi une chance pour moi, dirigeante de start-up / PME, de côtoyer de grands patrons français, comme les PDG de Total, Carrefour, Casino, ou GDF !"

Des représentants des groupes Pierre Fabre et Latécoère (qui travaille déjà avec le Brésil) embarquent également pour le Brésil ce soir. Le président de l’Université Paul Sabatier, Bertrand Monthubert, a également préparé sa valise.

Sophie Arutunian

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