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Trump gives Pentagon 30 days to develop strategy to defeat ISIS in Iraq & Syria

Trump gives Pentagon 30 days to develop strategy to defeat ISIS in Iraq & Syria | Think outside the Box | Scoop.it

President Donald Trump has signed an executive order directing the US military to develop a preliminary plan to defeat Islamic State in both Iraq and Syria. He discussed the issue earlier in a telephone conversation with Russian President Vladimir Putin.

“It is the policy of the United States that ISIS be defeated,” reads the order published on the White House website on Saturday. “Within 30 days, a preliminary draft of the Plan to defeat ISIS shall be submitted to the President by the Secretary of Defense.” 

The comprehensive plan should include guidelines on the use of public diplomacy, information operations, and cyber strategies “to isolate and delegitimize ISIS [Islamic State, formerly ISIL] and its radical Islamist ideology.”

It will also seek to identify “new coalition partners in the fight against ISIS and policies to empower coalition partners” to fight Islamic State and its affiliates.

The number of proposed measures “would depend upon the political risk that the president is willing to take when we do certain things that could exacerbate things with Russia or Turkey,” one defense official told Washington Post on Monday. 

Earlier in the day, Trump and Putin had their first telephone conversation, in which they expressed their mutual intent to cooperate on combatting Islamic State.

“The presidents have spoken in favor of establishing a real coordination between the US and Russian actions in order to defeat ISIS and other terrorist organizations in Syria,” the Kremlin statement said.

https://twitter.com/KremlinRussia_E/status/825460950237077504

 

Putin emphasized that “for over two centuries Russia has supported the United States, was its ally during the two world wars, and now sees the United States as a major partner in fighting international terrorism.”

Both leaders have also agreed to work out a time and venue for a possible meeting, according to the statement.

 

 

Jacques Le Bris's insight:
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Putin & Trump signal new Russia-US partnership with 1st phone call on ISIS, trade & Ukraine

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Trump, Poutine, Brexit… Le scénario catastrophe d'un cataclysme historique est en marche

Trump, Poutine, Brexit… Le scénario catastrophe d'un cataclysme historique est en marche | Think outside the Box | Scoop.it

Ne croyez pas que l’émergence de Trump, le Brexit et Poutine soient des événements isolés. Pris dans leur ensemble, ils sont en train de dessiner les contours de la prochaine catastrophe mondiale.

Nous venons d’entamer un nouveau cycle de catastrophes historiques et, comme d’habitude, nous allons garder la tête dans le sable jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
L’auteur et chercheur Tobias Stone, archéologue, historien et auteur, invite, dans un article publié en juillet dans Medium.com, à prendre un peu de recul sur toutes les catastrophes isolées qui sont en train de nous tomber dessus. De l’autre côté de l’Atlantique, Trump. Ici, le Brexit. Pas très loin, Poutine. Et puis Erdogan, aussi. Il explique pourquoi ce que nous considérons comme des calamités distinctes les unes des autres apparaîtront, pour les historiens de l’avenir, comme une série d’événements liés qui déboucheront sur le cataclysme qui ne manquera pas de réduire notre monde en miettes.
Tobias Stone prend l’exemple de la Première Guerre mondiale: en juin 1914, personne ne se doutait qu’un micro-événement tel que l’assassinat d’un archiduc autrichien déclencherait un processus débouchant sur la mort de 17 millions de personnes. D’un point de vue local, avance-t-il, ceux qui vivent au cœur des événements déclencheurs ne peuvent se douter de ses conséquences à grande échelle.
Or, l’histoire humaine est faite de cycles catastrophiques qui se répètent inlassablement. Qu’il s’agisse de la chute de l’Empire romain, de la Grande Peste, de la Guerre de Trente ans, de la Shoah.... pour les humains qui le vivent de l’intérieur, c’est à chaque fois la fin du monde. Florence pendant la Grande Peste, dit-il, était une parfaite représentation de l’enfer. Et pourtant après chaque cataclysme, auto-infligé ou non, les humains reprennent le dessus, continuent, avancent et, le plus souvent, progressent.
«Après la guerre qui devait mettre fin à toutes les guerres, nous en avons eu une autre»
Nous voilà au seuil du prochain enfer de l’histoire, sans doute l’avons-nous même déjà franchi. Si nous refusons de nous en rendre compte, c’est que les humains n’ont qu’un souvenir à court terme, sur trois générations, parents, grands-parents, soit une centaine d’années, de l’histoire humaine. Pourtant, tout se répète:
«Et puis, après la Guerre qui devait mettre fin à toutes les Guerres, nous en avons eu une autre. Encore une fois, pour un historien, c’était très prévisible. Poussez les gens à croire qu’ils ont perdu le contrôle de leur pays et de leur destin, ils vont chercher un bouc émissaire, puis un leader charismatique va s’approprier cet état d’esprit du peuple et désigner la forme que prendra ce bouc émissaire. Il va tenir des discours très généraux et cultiver la colère et la haine. Bientôt, les masses commenceront à agir comme un seul homme, sans qu’aucune logique ne conduise leurs actions, et plus rien ne pourra être arrêté.»
Certes on pense à Hitler (et oui, Tobias Stone est conscient que le point Godwin est très vite atteint), mais ça marche aussi bien avec Mussolini, Staline et Mugabe. Et Poutine et Erdogan, qui construisent un culte de la personnalité autour d’eux. Et c’est ce que Trump essaie de faire aux États-Unis. À l’en croire, il veut rendre sa grandeur à l’Amérique. Pourtant, rapporte Tobias Stone, tous les indicateurs montrent que l’Amérique ne s’est jamais aussi bien portée.
Nous devrions nous demander ce que sera notre «moment archiduc d’Autriche» à nous, pose Tobias Stone, dont les amis pro-Brexit critiquent la tendance à ramener tous les dangers à ce divorce du Royaume-Uni et de l’UE. Mais le Brexit n’est pas un moment isolé, sans lien avec l’histoire du monde. Tobias Stone propose alors un scénario –un scénario parmi une multitude possible, une hypothèse où le Brexit pourrait être à l’origine de notre prochain cataclysme historique.
Scénario de la catastrophe
À cause du Brexit, l’Italie ou la France tiennent le même genre de référendum. Le Pen remporte les élections en France. Malgré tous ses défauts, l’Union européenne, désormais fracturée, a empêché une guerre en Europe pendant une période d’une durée sans précédent. Et elle joue un vrai rôle dans la répression des ambitions militaires de Poutine: ses sanctions économiques ont eu un réel impact sur l’économie russe, et contribué à réfréner les agressions russes en Ukraine. Pendant ce temps, Trump remporte l'élection présidentielle aux États-Unis. Le pays devient isolationniste, ce qui affaiblit l’Otan. Poutine, face à l’émergence d’une crise économique dans son pays, cherche à faire diversion pour fédérer son peuple. Il finance des activistes d’extrême droite anti-UE en Lettonie, qui suscitent un soulèvement des Lettons d’origine russe dans l’est du pays. La Russie y envoie alors des «forces de maintien de la paix» et des «camions humanitaires», comme en Crimée...
L’Europe divisée, dont les dirigeants financés par Poutine sont désormais majoritairement pro-russes et anti-UE, rejette les appels aux sanctions ou à une réponse militaire. L’Otan met du temps à réagir: Trump ne veut pas que l’Amérique s’en mêle. Devant l’absence de résistance, la Russie avance en Lettonie, puis dans l’est de l’Estonie et en Lituanie. Les États baltes déclarent la guerre à la Russie: pas le choix, ils viennent de se faire envahir. La moitié de l’Europe les soutient, quelques pays restent neutres, d’autres soutiennent la Russie. Quel camp choisira la Turquie? Et comment réagira l’État islamique face à une guerre en Europe?
Qui sera le premier à appuyer sur le bouton?
Ce n’est qu’un scénario «archiduc d’Autriche» parmi d’autres. Les possibilités sont infinies, et beaucoup d’entre elles ne débouchent sur aucun événement cataclysmique. Mais comme le dit Tobias Stone, «si l’on se fie à l’histoire, nous sommes en retard d’une nouvelle période de destruction, et si l’on se fie à l’histoire, tous les indicateurs signalent que nous sommes en train d’y entrer».
Les historiens reconstitueront la chronologie et l’enchaînement logique des événements et se demanderont comment nous avons pu être naïfs au point de ne rien voir venir. Comment nous avons pu rire au nez de ceux qui déclenchent des sirènes d’alarme en avertissant que le Brexit, ou Trump, augurent des catastrophes. Choisir d’ignorer ce que disent les experts revient à rire au nez du médecin qui vous dit d’arrêter de fumer, et puis de mourir d’un cancer lié à la cigarette. Il suffirait de réfléchir et d’agir de façon rationnelle pour l’éviter. Mais les gens fument, et les gens meurent. L’humanité est ainsi faite qu’elle ne parvient pas à ne pas provoquer sa propre perte.
Pour conclure, Tobias Stone expose que la catastrophe est inévitable. Que pour ceux qui la traverseront, ce sera la fin du monde. Et qu’une fois de plus l’humanité s’en sortira et reprendra le dessus. Que ceux qui prônent l’amour de l’autre et le pacifisme sont ceux qui croupissent en prison. Qu’il faut trouver un moyen de connecter les différents groupes humains qui ne se comprennent pas.
Et que peut-être, devant l’inéluctabilité de la catastrophe, n’écrit-il ces lignes que pour que l’histoire se souvienne que lui, il nous l’avait bien dit.


Bérengère Viennot

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La France du présent face à la Russie du futur.

La France du présent face à la Russie du futur. | Think outside the Box | Scoop.it

La Droite, comme la Gauche française, demeure fondamentalement divisée sur la forme et la nature des relations à entretenir avec la Russie et son président Vladimir Poutine. Il est irrécusable que la Russie impose son retour sur la scène internationale avec une vision différente du Monde que celle ordonnée jusque-là par le camp occidental, avec à sa tête les Etats-Unis. Multiples sont les discours des politiques français à propos de la Russie. Cependant, ces discours politiques dénotent davantage de politiquement correct, et ce dans un but strictement électoral.

François Fillon, candidat à la présidence de la République Française, participant à la primaire de droite, souhaite mettre la Russie face à ses responsabilités, mais ne définit pas clairement de quelles responsabilités il s’agit. M. Fillon s’exprime ainsi : « La Russie est le plus grand pays au monde en superficie, mais c’est un pays dangereux et instable puisqu’il n’a jamais connu la démocratie. »1 La question qui mérite d’être posée sans pour autant vouloir défendre la Russie est la suivante : les pays qui ont connu la démocratie tels que les Etats-Unis ou encore la France sont-ils moins dangereux ? N’est-ce pas à cause de certaines démocraties occidentales que le monde est actuellement à feu et à sang ? Peut-être que le temps est venu de redéfinir le concept de la Démocratie.

Quant à Jean-Frédéric Poisson, candidat du Parti Centre à l’élection présidentielle française et participant également à la primaire de droite, il a pris le contre-pied de tous les candidats en allant en Russie à la rencontre du président Poutine et du peuple russe.

Tandis que M. Bruno Lemaire n’hésite pas à affirmer que la France est devenue la supplétive des Américains, ce qui signifie précisément que la France a perdu son indépendance face aux États-Unis, voire sa souveraineté dans l’état actuel.

L’ancien président de la république, Nicolas Sarkozy, semble clairement devenir russophile, notamment depuis son retour sur la scène publique et suite à sa rencontre avec le Président russe en octobre 2015 à Moscou.

Pour Jean-François Copé, participant également à la primaire de droite en vue des élections présidentielles, le pacte de confiance avec la Russie a été détruit à cause de l’intervention française en Libye, aggravé par la suite par la présidence de François Hollande et sa gestion des relations avec la Russie. Il convient aussi de préciser que le déroulement des événements en Libye a quelque part durci la position russe en Syrie.

Alain Juppé n’hésite pas à critiquer une certaine russophilie française. Sa compréhension des relations avec la Russie se réduit à châtier la Russie pour son action mondiale par plus de sanctions économiques. Ce qui semble être actuellement une forme dépassée et nullement efficace. D’autant plus que les sanctions économiques n’entravent en rien l’ascension de la Russie.

La position d’Alain Juppé est en quelque sorte similaire à celle de l’actuel président français François Hollande et une partie de la gauche socialiste. Le président Hollande s’oppose farouchement au président Poutine, son excès de zèle dépasse largement l’action des vrais ennemis de la Russie tels que les Etats-Unis, au point de refuser récemment de recevoir son homologue russe en France. Cela reste dans les annales diplomatiques comme une première dans les relations franco-russes. Cependant, cette politique antirusse n’est ni dans l’intérêt de la France ni dans celui du peuple français, mais qui est apparemment une préoccupation majeure de tous les candidats de gauche ou de droite. Enfin, le président Hollande semble plonger la France, au moins pour le temps qui lui reste à gouverner, dans un type de guerre froide avec la Russie.

La gauche française n’est pas épargnée par les divisions au sujet des relations à entretenir avec la Russie. Certaines personnalités politiques de gauche telles que Jean-Luc Mélenchon ont de la sympathie pour la Russie, en opposition à l’hégémonie américaine sur la France et l’Europe. D’autres comme Hubert Védrine, ancien ministre des affaires étrangères, ou Jean-Pierre Chevènement, ancien ministre de la défense, ont d’autres conceptions des relations internationales réfutant toutes formes d’opposition et de rupture totale avec la Russie.

Dans l’ensemble la classe politique française paraît favorable à un dialogue avec la Russie, mais dans les faits cela manque de sincérité. Les différents candidats à l’élection présidentielle française motivent leur idée d’un dialogue ou d’un rapprochement avec la Russie à travers la notion de l’intérêt de la France et des Français, mais l’idée réelle est davantage électoraliste. Cependant, les candidats à l’élection présidentielle de droite ou de gauche semblent beaucoup évoquer la Russie pour éviter d’être obligés de s’exprimer sur l’alignement total de la France sur la politique étrangère étatsunienne.

Quant à l’extrême-droite française, elle adule le président Poutine voyant en lui une incarnation de l’autorité, ainsi qu’un chef politique capable d’éradiquer l’Islam radical qui sévit de nos jours dans le monde. De surcroît, les Gaullistes français sont séduits par le concept de la Nation développée par le Président Vladimir Poutine.

Enfin, le constat est indéniable, la France est alignée sans condition, dans une posture quasi vassalique sur la politique étrangère américaine, au détriment de ses relations avec la Russie. La défaillance chronique de la politique française a poussé les deux pays à s’éloigner l’un de l’autre, ce qui n’est pas bénéfique ni pour la France ni pour les intérêts du peuple français que chérissent tant les politiciens.

 

Antoine Charpentier

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Vladimir Poutine pourrait ordonner des frappes aériennes en Arabie Saoudite et au Qatar

Vladimir Poutine pourrait ordonner des frappes aériennes en Arabie Saoudite et au Qatar | Think outside the Box | Scoop.it

Selon le quotidien russe La Pravda, la Russie n’exclurait pas de recourir à une intervention militaire contre deux pays qu’elle accuse de servir de base arrière pour les groupes islamistes armés dont ils financent les activités.

Pour Moscou, l’Arabie Saoudite et le Qatar représentent une menace pour sa sécurité et seules des frappes directes contre ces groupes dans ces deux monarchies du Golfe pourraient stopper la déferlante de Daech et des autres mouvements terroristes de même obédience.

Le journal russe croit savoir que l’intervention militaire de la Russie en Syrie, dans laquelle ont été utilisées des armes stratégiques, «est un signal lancé aux pays qui soutiennent le terrorisme». Ainsi, l’armée russe ne compte pas se limiter à la seule Syrie et devrait étendre ses opérations antiterroristes à d’autres pays du Moyen-Orient. La Russie s’acheminerait vers un élargissement du champ d’action de son armée de l’air en visant la matrice même du terrorisme islamiste, au cœur des deux pays qui en sont les principaux bailleurs de fonds depuis les années 1980. Si aucun lien direct n’est prouvé entre les régimes saoudien et qatari avec Daech, les experts s’accordent à dire que des institutions «indépendantes» dans ces deux richissimes monarchies du Golfe concourent, depuis plusieurs années déjà, au renforcement des groupes islamistes armés en Irak, en Syrie et, plus près de chez nous, en Libye et dans la région Sahel, infestée par une pléthore d’organisations terroristes.

La Russie envisagerait, toujours selon le média moscovite, de porter l’affaire devant le Conseil de sécurité où elle demanderait un mandat de l’ONU pour mener ses frappes aériennes en Arabie Saoudite et au Qatar. Un mandat que la Russie sait d’ores et déjà qu’elle n’obtiendra pas, mais une telle démarche viserait à piéger les alliés occidentaux de ces deux pays qui se trouvent au banc des accusés depuis les derniers attentats sanglants de Paris et qui ont fait 130 morts.

La décision de mener des frappes aériennes hors de Syrie serait intervenue, selon La Pravda, suite à l’attentat qui a ciblé un avion civil battant pavillon russe en Egypte. Moscou compte appliquer l’article 51 de la Charte des Nations Unies qui considère comme «droit naturel» la «légitime défense, individuelle ou collective, dans le cas où un membre des Nations unies est l’objet d’une agression armée, jusqu’à ce que le Conseil de sécurité ait pris les mesures nécessaires pour maintenir la paix et la sécurité internationales». L’article 51 stipule, par ailleurs, que «les mesures prises par des membres dans l’exercice de ce droit de légitime défense sont immédiatement portées à la connaissance du Conseil de sécurité et n’affectent en rien le pouvoir et le devoir qu’a le Conseil (…) d’agir à tout moment de la manière qu’il juge nécessaire pour maintenir ou rétablir la paix et la sécurité internationales».

Un troisième «ennemi» est dans le collimateur de la Russie : la Turquie. Une extension de la guerre à ce grand pays, aux portes de l’Europe occidentale et membre de l’Otan, signifierait que la guerre en Syrie prendrait la forme d’un conflit généralisé, comme l’avait prédit Damas. Plusieurs raids ont déjà été menés au plus près des frontières turques – et même au-delà – ces derniers jours.

Le monde n’a jamais été aussi proche d’une troisième guerre mondiale depuis la crise des missiles, il y a 53 ans.

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