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COVID-19 : voici le profil des Français hospitalisés pour forme grave

COVID-19 : voici le profil des Français hospitalisés pour forme grave | Think outside the Box | Scoop.it

Publié par Sophie Raffin, Journaliste, le 18/03/2022

 

Alors que la plupart des restrictions sanitaires ont été levées le 14 mars 2022, l’épidémie de la covid-19 n’est pas totalement étouffée. Dans son point épidémiologique du 17 mars, Santé Publique France prévient : "au niveau national, le taux d’incidence a augmenté en semaine 10 (du 7 au 13 mars 2022, ndlr) après six semaines consécutives de baisse, s’élevant à 686 cas pour 100 000 habitants (+25%), soit plus de 65 000 nouveaux cas en moyenne par jour. Cette augmentation était observée dans toutes les classes d’âge".

Le rebond de la covid-19, porté entre autres par la propagation rapide du sous-lignage d’Omicron BA.2, est observé sur l’ensemble de l’Hexagone. "Le taux d’incidence a augmenté dans toutes les régions, allant de +4% en Occitanie à +40% dans les Hauts-de-France. Il était le plus élevé en Bretagne (1 002,+27%) et dans le Grand Est (998, +31%). Le taux de dépistage était également en augmentation sur l’ensemble du territoire et était le plus élevé dans le Grand Est (3 657,+15%), en Provence-Alpes-Côte d’Azur (3 428,+5%) et en Corse (3 326,+5%)", précise le rapport. 

Hospitalisation pour COVID : l’âge n’est pas le seul facteur de risque 

Santé Publique France remarque une stabilisation des nouvelles hospitalisations entre les 7 et 13 mars 2022. Si la tendance est aussi à la baisse pour les admissions en soins critiques, on en sait désormais plus sur les patients atteints d'une forme sévère de la covid-19 qui ont nécessité une prise en charge par des professionnels de santé. 

En effet, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) et l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) ont établi les profils des malades hospitalisés pour la covid-19 ces dernières années. Ils ont pour cela étudié les dossiers des patients soignés pendant les quatre premières vagues de l’épidémie, soit entre mars 2020 et novembre 2021. Cela représente 382 000 personnes. Leurs travaux confirment que si l’âge est un facteur de risque important de développer une forme grave de la maladie, il n’est pas le seul.

Medisite détaille en images les profils des Français hospitalisés pour une forme sévère de la covid-19.

Les patients hospitalisés habitent souvent dans des logements sociaux

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21% des patients hospitalisés pour une forme grave résident dans des logements sociaux. 

Le rapport précise "le risque d’hospitalisation augmente à mesure que diminue la surface disponible par habitant et il est plus élevé pour les occupants du parc social, indépendamment de la surface disponible. Les conditions de logement n’affectent cependant pas le risque de complication à l’hôpital, ce qui suggère qu’elles captent essentiellement un risque accru d’exposition au virus dans des espaces confinés où les contacts sont plus fréquents et les gestes barrières plus difficiles à mettre en place".

Ils ont un niveau de vie inférieur

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"Les individus hospitalisés ont en moyenne un niveau de vie inférieur de 6 % au niveau de vie moyen de l’ensemble de la population et 57 % des individus hospitalisés ont un niveau de vie inférieur à la médiane", expliquent la Drees et l'Insee.

Les personnes nées à l'étranger ont plus de risque

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"Les individus hospitalisés sont plus fréquemment nés à l’étranger : c’est le cas de 26 % de ceux âgés de plus de 35 ans, contre 17 % de l’ensemble de la population de plus de 35 ans. Cette part plus importante des personnes nées à l’étranger se retrouve au sein de toutes les tranches d’âge. Toutefois, cette surreprésentation ne concerne que les individus nés hors d’Europe, en particulier les personnes nées en Afrique (Maghreb et Afrique subsaharienne) : 17 % des individus hospitalisés de plus de 35 ans sont nés en Afrique, contre 9 % des résidents de France métropolitaine du même groupe d’âge", explique le rapport.

"Cet effet du pays de naissance, déjà mis en évidence par de nombreuses études internationales ayant identifié l’origine ethnique comme facteur de risque, pourrait refléter une inégale répartition des facteurs d’exposition (profession, respect des gestes barrière) ou de vulnérabilité (présence de comorbidités)" avancent les experts.

Les patients sont moins vaccinés

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Plusieurs études ont montré que le recours à la vaccination croît avec le niveau de vie, "ce qui pourrait expliquer que les formes sévères de la quatrième vague aient davantage affecté les plus modestes, moins fréquemment vaccinés" estime la DRESS et l'Insee.

L'âge, facteur de risque prépondérant d’hospitalisation

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Les personnes âgées de 60 ans ou plus sont particulièrement nombreuses parmi les patients hospitalisés (72 %, contre 27 % de l’ensemble de la population).

"Les modélisations mises en œuvre afin d’isoler le rôle propre à chaque facteur de risque confirment la forte croissance du risque d’hospitalisation avec l’âge. Le fait d’être de sexe masculin constitue également un facteur de risque, bien que d’une façon plus limitée : 52 % des individus hospitalisés de plus de 60 ans sont des hommes, alors qu’ils ne représentent que 45 % de la population des 60 ans et plus".

 

 

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Un Néerlandais mort depuis sept semaines devant son ordinateur

Un Néerlandais mort depuis sept semaines devant son ordinateur | Think outside the Box | Scoop.it
- RTBF Etcetera :

Un homme de 63 ans, originaire de Groningue, a été retrouvé mort devant son ordinateur sept semaines après son décès, a confirmé la police de cette ville du nord des Pays-Bas mardi.

Le sexagénaire a été retrouvé lundi après que des connaissances, avec qui il entretenait de nombreux contacts via les réseaux sociaux, se sont inquiétées de ne plus avoir de nouvelles de lui.

Inquiètes, ces deux femmes ont fait appel une connaissance habitant Groningue, qui s'est rendue chez l'homme en question et l'a retrouvé mort devant son ordinateur. L'homme est décédé de mort naturelle, selon la police.

[Note du Curateur] Jadis avoir une belle mort c'était en dormant dans son lit. Désormais, c'est en réseautant devant son ordi.
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J-J Charbonnier : «La vie continue après la mort»

J-J Charbonnier : «La vie continue après la mort» | Think outside the Box | Scoop.it

Et si la vie continuait après la mort ? Le Dr Jean-Jacques Charbonier, anesthésiste-réanimateur toulousain, collecte et analyse depuis vingt ans des cas d'expérience de mort imminente. Il publie son nouveau livre début avril, «Les 3 clés pour vaincre les pires épreuves de la vie».

Pourquoi vous êtes-vous intéressé à ce sujet ?

Un jour, durant mon stage au SAMU, je suis intervenu seul sur un accident très grave. Les pompiers m'ont prévenu qu'un jeune d'une vingtaine d'années était coincé dans un des véhicules. Il est mort sous mes yeux, j'ai vu ses pupilles se dilater, son étincelle de vie disparaître. Mais le plus impressionnant est que j'ai senti une présence qui partait. J'ai été choqué, ces quelques secondes ont changé ma vie. J'ai compris qu'on est un esprit dans un corps et que cet esprit survit à la mort.

Comment procédez-vous ?

Je travaille en collaboration avec le Centre d'étude des expériences de mort imminente. Chaque témoignage doit répondre à des critères bien précis avant d'être analysé. Le patient ne doit pas avoir de passé psychologique, être inséré socialement… Aujourd'hui j'en ai récolté des centaines mais ce n'est pas évident pour eux d'en parler. Ils ont peur d'être pris pour des fous alors peu d'entre eux osent se confier.

Que voient-ils pendant ces expériences de mort imminente ?

60 millions d'individus, soit 4 % de la population occidentale, ont vécu ces phénomènes. Certains se sont vus flotter au-dessus de leurs corps et peuvent raconter par exemple comment s'est passée l'opération. D'autres ont aperçu une lumière et des proches décédés qui leur disaient que leur temps n'était pas encore venu. En général, ces moments sont très agréables pour le patient et procurent un bonheur intense.

Quel constat tirez-vous de votre travail ?

Je pense qu'il existe deux sortes de conscience. La première, analytique, est reliée aux 5 sens et s'éteint quand nous mourrons. À ce moment-là, une seconde émerge, l'intuitive, plus performante qui permet de développer l'intuition, la télépathie et autres activités paranormales. La vie continuerait donc après la mort.

Comment réagit le public ?

Lors de mes conférences, j'ai constaté que l'auditoire était très réceptif car ma théorie s'appuie sur un travail scientifique, avec des faits prouvés. ça les apaise et les rassure. Les scientifiques matérialistes rejettent mon travail car, pour eux, le cerveau fabrique la conscience et dès qu'il ne fonctionne plus, la conscience meurt.

Quelle est la suite maintenant ?

Je teste mes recherches avec deux ateliers, dont un qui permet de communiquer avec des comateux. Également, je continue à récolter des témoignages. Même si on ne peut pas tout comprendre, il reste tellement de choses à découvrir.

Jacques Le Bris's insight:

Un nouveau livre à paraitre

Après le succès de «Les 7 bonnes raisons de croire en l'au-delà» paru en janvier 2012, le Dr Charbonier a écrit un nouveau livre intitulé «Les 3 clés pour vaincre les pires épreuves de la vie». «J'ai tiré les leçons de toutes ces expériences et j'explique aux lecteurs comment faire face à la perte d'un être cher, un handicap,… le plus sereinement possible. Après tout, c'est dommage d'atteindre le bonheur ultime seulement quand on frôle la mort !» raconte le Dr Charbonnier.À paraître début avril aux éditions Guy Trédanie.

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