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[Exclusif] Signez la nouvelle tribune des militaires

[Exclusif] Signez la nouvelle tribune des militaires | Think outside the Box | Scoop.it
Depuis quelques jours, la rumeur courait qu'une nouvelle tribune de militaires allait être dévoilée. Émanant de militaires d'active, elle vient en soutien à celle précédemment publiée sur le site de Valeurs actuelles. Ce texte, qui circule déjà beaucoup et dont les médias se font l'écho, nous avons décidé de le publier ce soir. Et de l'ouvrir, en bas de cette tribune, à la signature des citoyens français qui le trouveraient à la hauteur des enjeux qui sont les nôtres. Tout en continuant, avec une méthodologie exigeante, à nous tenir à la disposition des professionnels des armées qui souhaiteraient y prendre part. Comme la précédente, le but de cette tribune n'est pas de mettre à mal nos institutions mais d'alerter sur la gravité de la situation.
Publié le 9 mai 2021
 

Monsieur le Président de la République,
Mesdames et Messieurs les ministres, parlementaires, officiers généraux, en vos grades et qualités,

On ne chante plus le septième couplet de la Marseillaise, dit « couplet des enfants ». Il est pourtant riche d’enseignements. Laissons-lui le soin de nous les prodiguer :

 

« Nous entrerons dans la carrière quand nos aînés n’y seront plus. Nous y trouverons leur poussière, et la trace de leurs vertus. Bien moins jaloux de leur survivre que de partager leur cercueil, nous aurons le sublime orgueil de les venger ou de les suivre »

 

Nos aînés, ce sont des combattants qui ont mérité qu’on les respecte. Ce sont par exemple les vieux soldats dont vous avez piétiné l’honneur ces dernières semaines. Ce sont ces milliers de serviteurs de la France, signataires d’une tribune de simple bon sens, des soldats qui ont donné leurs plus belles années pour défendre notre liberté, obéissant à vos ordres, pour faire vos guerres ou mettre en œuvre vos restrictions budgétaires, que vous avez salis alors que le peuple de France les soutenait.
Ces gens qui ont lutté contre tous les ennemis de la France, vous les avez traités de factieux alors que leur seul tort est d’aimer leur pays et de pleurer sa visible déchéance.

 

Dans ces conditions, c’est à nous, qui sommes récemment entrés dans la carrière, d’entrer dans l’arène pour avoir simplement l’honneur d’y dire la vérité.

 

Nous sommes de ce que les journaux ont nommé « la génération du feu ». Hommes et femmes, militaires en activité, de toutes les armées et de tous les grades, de toutes les sensibilités, nous aimons notre pays. Ce sont nos seuls titres de gloire. Et si nous ne pouvons pas, réglementairement, nous exprimer à visage découvert, il nous est tout aussi impossible de nous taire.

Afghanistan, Mali, Centrafrique ou ailleurs, un certain nombre d’entre nous ont connu le feu ennemi. Certains y ont laissé des camarades. Ils ont offert leur peau pour détruire l’islamisme auquel vous faites des concessions sur notre sol.

Presque tous, nous avons connu l’opération Sentinelle. Nous y avons vu de nos yeux les banlieues abandonnées, les accommodements avec la délinquance. Nous avons subi les tentatives d’instrumentalisation de plusieurs communautés religieuses, pour qui la France ne signifie rien -rien qu’un objet de sarcasmes, de mépris voire de haine.

Nous avons défilé le 14 juillet. Et cette foule bienveillante et diverse, qui nous acclamait parce que nous en sommes l’émanation, on nous a demandé de nous en méfier pendant des mois, en nous interdisant de circuler en uniforme, en faisant de nous des victimes en puissance, sur un sol que nous sommes pourtant capables de défendre.

Oui, nos aînés ont raison sur le fond de leur texte, dans sa totalité. Nous voyons la violence dans nos villes et villages. Nous voyons le communautarisme s’installer dans l’espace public, dans le débat public. Nous voyons la haine de la France et de son histoire devenir la norme.

Ce n’est peut-être pas à des militaires de dire cela, arguerez-vous. Bien au contraire : parce que nous sommes apolitiques dans nos appréciations de situation, c’est un constat professionnel que nous livrons. Car cette déchéance, nous l’avons vue dans bien des pays en crise. Elle précède l’effondrement. Elle annonce le chaos et la violence, et contrairement à ce que vous affirmez ici où là, ce chaos et cette violence ne viendront pas d’un « pronunciamento militaire » mais d’une insurrection civile.

Pour ergoter sur la forme de la tribune de nos aînés au lieu de reconnaître l’évidence de leurs constats, il faut être bien lâche. Pour invoquer un devoir de réserve mal interprété dans le but de faire taire des citoyens français, il faut être bien fourbe. Pour encourager les cadres dirigeants de l’armée à prendre position et à s’exposer, avant de les sanctionner rageusement dès qu’ils écrivent autre chose que des récits de batailles, il faut être bien pervers.

Lâcheté, fourberie, perversion : telle n’est pas notre vision de la hiérarchie.
L’armée est au contraire, par excellence, le lieu où l’on se parle vrai parce que l’on engage sa vie. C’est cette confiance en l’institution militaire que nous appelons de nos vœux.

Oui, si une guerre civile éclate, l’armée maintiendra l’ordre sur son propre sol, parce qu’on le lui demandera. C’est même la définition de la guerre civile. Personne ne peut vouloir une situation aussi terrible, nos aînés pas plus que nous, mais oui, de nouveau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement.

Le cri d’alarme de nos Anciens renvoie enfin à de plus lointains échos. Nos aînés, ce sont les résistants de 1940, que, bien souvent, des gens comme vous traitaient de factieux, et qui ont continué le combat pendant que les légalistes, transis de peur, misaient déjà sur les concessions avec le mal pour limiter les dégâts ; ce sont les poilus de 14, qui mouraient pour quelques mètres de terre, alors que vous abandonnez, sans réagir, des quartiers entiers de notre pays à la loi du plus fort; ce sont tous les morts, célèbres ou anonymes, tombés au front ou après une vie de service.

Tous nos aînés, ceux qui ont fait de notre pays ce qu’il est, qui ont dessiné son territoire, défendu sa culture, donné ou reçu des ordres dans sa langue, ont-ils combattu pour que vous laissiez la France devenir un Etat failli, qui remplace son impuissance régalienne de plus en plus patente par une tyrannie brutale contre ceux de ses serviteurs qui veulent encore l’avertir ?

 

Agissez, Mesdames et Messieurs. Il ne s’agit pas, cette fois,  d’émotion sur commande, de formules toutes faites ou de médiatisation. Il ne s’agit pas de prolonger vos mandats ou d’en conquérir d’autres. Il s’agit de la survie de notre pays, de votre pays.

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Lettre ouverte à Emmanuel Macron, Président de la République

Lettre ouverte à Emmanuel Macron, Président de la République | Think outside the Box | Scoop.it

Monsieur le Président,

 

Quand vous avez dit que « déléguer notre capacité de soigner à d’autres est une folie » ;

Quand vous avez parlé de « changer de modèle », d’« interroger le modèle de développement dans lequel s’est engagé notre monde depuis des décennies » – vous avez bien dit décennies, semblant nous rappeler correctement que la financiarisation de l’économie a commencé dans les années 80 ;

Quand vous avez dit, parlant de la santé, qu’« Il est des biens et des services qui doivent être placés en dehors des lois du marché ».

Nous avons compris avec un immense soulagement, comme la majorité des Français, que vous aviez enfin compris les maux de la financiarisation de l’économie mondiale, et engagé la France, et aussi l’Europe, dans le combat contre celle-ci.

Or nous apprenons que, fidèle aux grands défenseurs français de cette financiarisation, vous prévoyez de nous engager de nouveau, avec une impulsion nouvelle, vers les Partenariats public-privé (PPP), le véhicule essentiel pour redonner le pouvoir souverain à la financiarisation par le truchement du marché boursier, de l’optimisation fiscale qui rend légal​ le pillage des humains et de la nature, et du réseau mondial des paradis fiscaux qui chaque année coûte à la France seulement, entre 70 et 100 milliards d’euros de manque à gagner fiscal.

Nous pensions que vous aviez appris qu’il existe des alternatives à ce mode de financement inique et destructeur, et au financement direct des services publics par le budget de l’État. Car cette alternative est décrite, étudiée et évaluée par de nombreux laboratoires d’idées dans le monde, dont en France.

Amère déception !

Nous nous joignons à la foule des Françaises et Français qui vous rappellent aujourd’hui vos promesses. Il faut que la France en finisse avec la financiarisation, une politique qui ramène tous les objectifs de développement et de création de richesses à la seule valorisation maximale des intérêts de l’actionnaire.

Cette fois, la France comme le Monde fait face à trois crises simultanées.

  • Une dette vertigineuse qui s’aggrave au seul profit des intérêts financiers. L’endettement peut être une bonne chose s’il est contracté auprès des Français pour ne pas alourdir la charge de la dette externe, et s’il est orienté vers la création d’emploi et la transition écologique à travers des investissements à très long terme. Saviez-vous que si nous avions une filière bois au niveau allemand, nous aurions 700 000 emplois en plus et un bilan carbone national encore meilleur ?
  • Un changement climatique trop rapide pour que les écosystèmes aient le temps de se renouveler. Oui, la France ne pèse que pour 0,9 % des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. Mais vous connaissez la force des symboles : si la France change et prouve que nous pouvons être prospère avec une économie durable, combien nous suivront ? Et quel avantage compétitif pour nos entreprises qui seraient les premières à pouvoir exporter ce nouveau savoir-faire ?
  • Une épidémie qui montre au grand jour à quel degré de délabrement la financiarisation, par sa politique de bas salaires, de coupes budgétaires dans les dépenses publiques et aussi dans les investissements, de délocalisation (que ferions-nous en ce moment même sans les fournisseurs chinois et indiens ?) a ramené la Santé publique à un état de survivance. Un constat que nous pouvons étendre à tous les secteurs publics.

La réponse à ces défis est simple, sa mise en place est complexe. ​Elle demande ​un courage politique et ​une volonté administrative sans précédent. Il faut voir par-delà le modèle éculé de ces dernières décennies​, pour reprendre vos mots, et inventer le système de demain, qui fera de la France et de l’Europe une troisième voie salutaire entre les excès destructeurs de l’Ouest et les autoritarismes de l’Est.

Il faut réorienter notre économie en profondeur, de manière progressive et raisonné​e. Pour cela un seul levier : la fiscalité. Le système fiscal du XXe siècle, doit changer totalement pour embrasser les réalités économiques du XXIe. Il doit à nouveau être progressif dans sa globalité, sur l’ensemble des prélèvements obligatoires et empêcher l’évasion fiscale en la rendant trop dangereuse. Enfin, les impositions sur la consommation ne doivent pas alourdir la charge fiscale des Français, mais glisser d’une imposition de la valeur à l’imposition de l’empreinte écologique.

Il est plus que temps de respecter vos engagements, et le Comité Bastille est prêt à vous soutenir pleinement dans cette démarche.

 

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre profond respect.

 

Le Comité Bastille

Jacques Le Bris's insight:

 

Signataires :

 

Élus, anciens Élus et Monde politique :
Charles Girardin, Conseiller régional, Région Centre Val de Loire ; Corinne Lepage, ancienne Membre du Parlement Européen, Fondatrice de CAP21 ; Hélène Mandroux, Maire honoraire de Montpellier, ancienne Conseillère Régionale, Région Languedoc ; Yveline Moeglen, ancienne Vice-Présidente du Conseil Régional d’Alsace, puis de la Communauté Urbaine de Strasbourg, Déléguée Alsace de CAP21 ; Fabien Verdier, Conseiller régional, Région Centre Val de Loire.

 

Maires ou anciens Maires, et Adjoints :
Daniel Anguiviel (Liouc) ; Chantal Cutajar (Strasbourg) ; Henri de Latour (Lasalle)

 

Mouvements, ONG, Universités et Groupes de réflexion à vocation politique :
Professeur Alain Caillé
, sociologie, Univ. Nanterre, Animateur du Mouvement Les Convivialistes ; Bernard Barthalay, Président, Puissance Europe/Weltmacht Europa ; Professeur Philippe Desbrières,  Droit de l’Entreprise, Université de Bourgogne; Richard Hasselmann, Président, Libr’Acteurs ; Antoine Héron, Président, Innovation Citoyenne et Développement Durable ; Professeur Francois Morin, économiste, Université Toulouse 1, Fondateur, LEREPS; Jean Rapenne, Secrétaire général, CAP21 ; Antoine Vaccaro, President, Force for Good ; Jean-Louis Virat, Président, Laboratoire de la Transition.

 

Membres du Conseil d’administration :
Clément Carrue, Hubert Coste, Michel Duhamel, Susan George, Nicolas Jouve, Michel Meunier, Jacline Mouraud, Jean-Michel Quintric, André Teissier du Cros, Yann Teissier du Cros.

Membres actifs, Correspondants et Amis :
Isabelle Abric, Isabelle Arnaud, Georges Ben Samoun, Bruno Botto, Pierre Bourguet, Hélène Bremond, Roger Brunelli, Alain Chevallier, Serge Cognard, Marie Dalbard, Olivier Del Valle, Stéphane Grumbach, Jacky Leccia, Gildas Le Goff, Martine Le Guevel, Claudie Lemoine, Élisabeth Maillet, Huguette Maréchal, Jean de Monbrison, Magali Mulder, Martine Pialot, Étienne Régnier, Olivier Rolot, Jean Sagnol, Antoine Vaccaro, Eric Wallez, Sophie Wildbolz .

Signataires européens résidant en France ou naturalisés :
Lilian Brower Gomes, Liane Dorée, Gretel Frohn, Gerhard Hynek, Gareth Jenkins, Nicolas Kovacs, Willem Mulder, Peter Paulich, Marga Wolf-Gentile.

 
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"Pour un retour de l'honneur de nos gouvernants" : 20 généraux appellent Macron à défendre le patriotisme

"Pour un retour de l'honneur de nos gouvernants" : 20 généraux appellent Macron à défendre le patriotisme | Think outside the Box | Scoop.it
À l'initiative de Jean-Pierre Fabre-Bernadac, officier de carrière et responsable du site Place Armes, une vingtaine de généraux, une centaine de hauts-gradés et plus d'un millier d'autres militaires ont signé un appel pour un retour de l'honneur et du devoir au sein de la classe politique. Valeurs actuelles diffuse avec leur autorisation la lettre empreinte de conviction et d'engagement de ces hommes attachés à leur pays.
 

(Ancien officier de l'Armée de Terre et de la Gendarmerie, auteur de 9 ouvrages)

 
 

Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs du gouvernement,
Mesdames, Messieurs les parlementaires,

L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent. Nous qui, même à la retraite, restons des soldats de France, ne pouvons, dans les circonstances actuelles, demeurer indifférents au sort de notre beau pays.

 

Nos drapeaux tricolores ne sont pas simplement un morceau d’étoffe, ils symbolisent la tradition, à travers les âges, de ceux qui, quelles que soient leurs couleurs de peau ou leurs confessions, ont servi la France et ont donné leur vie pour elle. Sur ces drapeaux, nous trouvons en lettres d’or les mots « Honneur et Patrie ». Or, notre honneur aujourd’hui tient dans la dénonciation du délitement qui frappe notre patrie.

– Délitement qui, à travers un certain antiracisme, s’affiche dans un seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les communautés. Aujourd’hui, certains parlent de racialisme, d’indigénisme et de théories décoloniales, mais à travers ces termes c’est la guerre raciale que veulent ces partisans haineux et fanatiques. Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture, et veulent le voir se dissoudre en lui arrachant son passé et son histoire. Ainsi s’en prennent-ils, par le biais de statues, à d’anciennes gloires militaires et civiles en analysant des propos vieux de plusieurs siècles.

– Délitement qui, avec l’islamisme et les hordes de banlieue, entraîne le détachement de multiples parcelles de la nation pour les transformer en territoires soumis à des dogmes contraires à notre constitution. Or, chaque Français, quelle que soit sa croyance ou sa non-croyance, est partout chez lui dans l’Hexagone ; il ne peut et ne doit exister aucune ville, aucun quartier où les lois de la République ne s’appliquent pas.

– Délitement, car la haine prend le pas sur la fraternité lors de manifestations où le pouvoir utilise les forces de l’ordre comme agents supplétifs et boucs émissaires face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs. Ceci alors que des individus infiltrés et encagoulés saccagent des commerces et menacent ces mêmes forces de l’ordre. Pourtant, ces dernières ne font qu’appliquer les directives, parfois contradictoires, données par vous, gouvernants.

Les périls montent, la violence s’accroît de jour en jour. Qui aurait prédit il y a dix ans qu’un professeur serait un jour décapité à la sortie de son collège ? Or, nous, serviteurs de la Nation, qui avons toujours été prêts à mettre notre peau au bout de notre engagement – comme l’exigeait notre état militaire, ne pouvons être devant de tels agissements des spectateurs passifs.

Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.

Comme le disait le cardinal Mercier, primat de Belgique : « Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part. » Alors, Mesdames, Messieurs, assez d’atermoiements, l’heure est grave, le travail est colossal ; ne perdez pas de temps et sachez que nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.

Par contre, si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se répandre inexorablement dans la société, provoquant au final une explosion et l’intervention de nos camarades d’active dans une mission périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national.

On le voit, il n’est plus temps de tergiverser, sinon, demain la guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant, et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers.

Jacques Le Bris's insight:

 

Accès direct à ladite "LETTRE OUVERTE A NOS GOUVERNANTS" :

 

https://www.place-armes.fr/post/lettre-ouverte-a-nos-gouvernants

 

émise le 14 avril 2021

 

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