Think outside the Box
41.2K views | +2 today
Follow
Think outside the Box
The sooner we change our paradigm and our lives will be better
Your new post is loading...
Your new post is loading...

Popular Tags

Current selected tag: 'Azithromycine'. Clear
Scooped by Jacques Le Bris
Scoop.it!

La fin de l'hégémonie ?

Bulletin d'information scientifique - On a le droit d'être intelligent
Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection
No comment yet.
Scooped by Jacques Le Bris
Scoop.it!

Un traitement efficace contre Covid-19 existe ! Deux études vont clore la polémique Raoult, estime un microbiologiste

Un traitement efficace contre Covid-19 existe ! Deux études vont clore la polémique Raoult, estime un microbiologiste | Think outside the Box | Scoop.it

À rebours de l'inquiétude ambiante, le Dr Claude Escarguel, microbiologiste, ancien collaborateur de Didier Raoult, qui fut responsable du laboratoire de l'Institut de pédiatrie de Marseille annonce « un déconfinement "sécurisé" ». Il tire cet optimisme des résultats de deux récentes études — chinoises et dans le Grand Est — sur l'association azithromycine-hydroxychloroquine et insiste sur l'intérêt de la première molécule pour prévenir les complications.

 

Les médecins de ville seraient ils plus efficaces que les experts de « plateau télé » pour nous aider à trouver l'explication ? Deux études, sur près de 700 malades chacune, vont peut-être nous permettre dès le 1er juin de partir l'esprit serein en vacances. En effet, l'observation attentive de la dernière étude chinoise et de la compilation des résultats obtenus par 4 médecins* généralistes du grand Est sur une cohorte de 700 malades (le même nombre de patients que l'essai Discovery), va clore la polémique entretenue autour de Didier Raoult par ses persifleurs parisiens, et nous permettre d'avoir un traitement efficace à notre portée pour vivre un déconfinement « sécurisé ».

 

Oui l'hydroxychloroquine (HCQ) est utile dans le traitement du Covid19 selon la phase de la maladie : mais uniquement à titre curatif dans la phase 2 de la maladie lors de l'orage citokinique. Par contre l'HCQ est partiellement contreproductive et même délicate à manipuler (cf. effets secondaires lorsqu'elle est donnée en bi-thérapie) à titre préventif en début de traitement sachant, surtout depuis les observations des médecins de l'Est, que la baisse des mortalités (50 %), obtenue dans le protocole Raoult, par l'association avec l'azithromycine (AZI) est beaucoup plus due à cette dernière molécule qu’à l'HCQ.

 

L'azithromycine, un rôle capital dans la prévention des complications

 

Oui, l'AZI joue un rôle capital dans l'action préventive des complications liées à l'infection par le coronavirus (elle évite la majorité des hospitalisations et 90 % des décès !). Le nom* et la publicité des résultats des médecins du grand Est ne peuvent être divulgués car, aussi paradoxal que cela puisse paraître, alors que ces résultats nous permettent « une nouvelle sécurité » dans le traitement, ces derniers ont reçu (par courrier) des menaces du conseil de l'Ordre des médecins et de l'ANSM (Agence nationale de sécurité duidier médicament).

Que nous révèlent ces résultats ? Que le traitement par la seule AZI sur une période entre 10 et 14 jours (comme dans le traitement de toutes les pneumopathies atypiques) et ce, dès le début des premiers symptômes, permet de diviser par 4 le nombre de patients nécessitant une hospitalisation (moins de 4 % versus 15 % sur les statistiques nationales de malades non traités).

Cette approche est deux fois plus bénéfique que le traitement de Didier Raoult (la bithérapie avec HCQ) qui permettait déjà un gain très important dans la prévention des complications du virus : le protocole Raoult permet selon les publications de l'IHU de Marseille et des chiffres officiels de mortalités, comparées pour 100 000 habitants entre Marseille et Lyon, de sauver 50 % de patients). Comment expliquer cela ? Pour l'effet préventif de l'AZI, l'orage cytokinique serait dû à la « coopération » du virus avec une bactérie opportuniste dont la prévalence du portage (15 % des patients) correspond au taux des patients infectés développant des complications : cette bactérie opportuniste, très sensible à l'AZI, possède un « super antigène », sa protéine P1 connue pour produire des orages cytokiniques chez des adultes et des syndromes de kawasaki chez les enfants.

 

Le protocole Raoult associant l'HCQ dès le début du traitement incorpore dans le processus de l'action bénéfique de l'antibiotique (AZI) sur la bactérie opportuniste, un effet immuno-modulateur lié à l'HCQ, effet qui nuit, à ce stade, par son action anti-inflammatoire à l'effet « préventif » attendu. L'AZI seule éradique le cofacteur bactérien mais l'HCQ, associée a ce stade, freine cet effet préventif et peut aggraver la virulence du virus comme cela a été signalé par l'ANSM pour tous les anti-inflammatoires qui ont d'ailleurs été contre-indiqués dans le Covid19 dès le stade1 de la maladie.

 

L'hydroxychloroquine, efficace dans la 2e phase

 

La deuxième étude, chinoise, publiée récemment sur « IHU information » illustre par contre le rôle fondamental de l'effet immuno-modulateur de l'HCQ dans la 2° phase de la maladie : le taux de décès lors des complications justifiant une hospitalisation chute de 45 % pour les malades non traités à 18,8 % chez ceux traités avec l'hydroxychloroquine (HCQ) : évite 2 morts sur 3. Normalement l'essai Discovery qui doit sortir un jour (!!!), devrait confirmer cet effet curatif (et non préventif) de l'HCQ : effet qui pourrait être associé a d'autres molécules : les antiinterleukines 6, car les IL6 sont des molécules inflammatoires relarguées dans l'orage citokinique, notamment à cause du « super antigène de la protéine P1 » du Mycoplasma Pneumoniae.

Ce Mycoplasma Pneumoniae opportuniste pulmonaire est présent chez certains patients (personnes âgées ou immunodéprimées) à bas bruit, et pourrait jouer le rôle de catalyseur en favorisant la réplication virale (cf. brevet EP0649473B1), mécanisme qui permet alors au virus de se disséminer sur tous les récepteurs ACE2 (très nombreux chez les obèses et les diabétiques) tout en déclenchant l'orage cytokinique tant chez les adultes que chez les enfants porteurs de cet opportuniste (cf. Syndrome de Kawasaki).

Conclusion : à l'heure d'aujourd'hui, 4 mai 2020, nous possédons, pour nous permettre un « déconfinement total et sécurisé » : – une disparition de la circulation du virus liée à la fin de l'épidémie prévue par Didier Raoult, – un arsenal thérapeutique différent suivant les deux stades de l'infection à Covid19 : a) Dans la phase virale de la maladie (souvent asymptomatique si le cofacteur est absent) par un effet préventif des complications avec la seule azithromycine (disponible pour tous les médecins de ville) sur au moins 10 jours pour éradiquer le complice du virus (le MP) évitant ainsi toute éventuelle amplification de la réplication virale. b) Dans la phase immunitaire, une molécule efficace l'hyroxychloroquine, telle que la présentait Didier Raoult, mais plus à titre curatif lors de la phase « immunologique » de la maladie : molécule pouvant être associée à ce stade avec d'autres thérapeutiques anti-inflammatoires et anticoagulantes pour éviter les complications liées aux atteintes des endothéliums des différents organes pouvant être touchés par ces complications.

 

Vous souhaitez vous aussi commenter l'actualité de votre profession dans le « Quotidien du Médecin » ? Adressez vos contributions à jean.paillard@lequotidiendumedecin.fr.

 

Dr Claude Escarguel, microbiologiste, ancien président du Syndicat des praticiens des hôpitaux généraux

 

No comment yet.
Scooped by Jacques Le Bris
Scoop.it!

Coronavirus : Recul de l'épidémie à Marseille

Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Nous avons le droit d'être intelligents !
Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection

 

La lutte contre l’épidémie de COVID-19 a impliqué l’exploration de nombreuses pistes thérapeutiques, qui ont donné lieu à des recherches in vitro et in vivo. Cependant, les praticiens dans le monde n’ont pas attendu les résultats de ces recherches pour utiliser ce qui leur paraissait être le traitement le plus adéquat (1). Cela oblige à faire preuve de rapidité dans la réalisation de recherches puis dans la diffusion des résultats aux médecins confrontés à l’épidémie sur le terrain, pour orienter leur prise en charge thérapeutique des patients.

L’utilisation de traitements potentiels sur des patients permet de produire des données, utilisables ensuite dans la recherche. Dans la communauté scientifique, la réalisation d’essais cliniques randomisés en double-aveugle est devenue le gold standard permettant de valider l’efficacité d’un traitement. Cependant, lorsque l’urgence est de soigner des patients dont la vie est en danger, il n’est pas éthique de leur donner un placebo lorsque l’état de l’art donne au médecin l’intime conviction que la balance bénéfice-risque est en faveur de l’administration du traitement qu’il souhaite expérimenter. Nous ne devons donc pas oublier que des études simple-bras, sans randomisation, peuvent être tout aussi probantes que des études randomisées.

Deux éléments nous apparaissent cruciaux pour qu’une étude réalisée sans randomisation soit significative. Il faut d’abord qu’elle étudie des end-point clairement identifiés. Pour le COVID19, nous en identifions trois : la mortalité, le passage en réanimation, et la charge virale. Il faut en outre qu’elle soit comparative. Il faut que l’étude compare les résultats suite à l’utilisation d’un traitement à des séries de résultats historiques, ou à une série de résultats dans d’autres centres de soin.

Aujourd’hui, 5 pistes thérapeutiques se dégagent pour lutter contre l’épidémie de coronavirus et sont l’objet d’essais cliniques dans le monde : la chloroquine/hydroxychloroquine, l’hydroxychloroquine combinée à l’azithromycine, le lopinavir/ritonavir (Kaletra), le remdesivir et l’utilisation de plasma de patients guéris d’une infection à COVID-19. Nous nous proposons de passer en revue les résultats publiés au sujet de ces 5 pistes thérapetiques.

  • Des résultats in vitro ont montré une efficacité de la chloroquine et de l’hydroxychloroquine (3). Sur la base de ce travail, les résultats de trois études ont été publiées : une en France portant sur 24 patients et concluant à l’efficacité de ce traitement (4), et deux en Chine, la première ne concluant pas à une efficacité suite à l’expérimentation sur 15 patients avec groupe contrôle (3), la deuxième ayant conclu à l’efficacité de l’hydroxychloroquine suite à une expérimentation sur 31 patients avec groupe contrôle (5). Deux limites dans ces études limitent aujourd’hui la connaissance. D’abord, ces études ne rapportent ni la même durée de traitement, ni la même posologie. Ensuite, les deux études chinoises ne donnent pas de précisions concernant les autres traitements utilisés dans le cadre du protocole.
  • Concernant l’utilisation de la combinaison hydroxychloroquine + azithromycine, notre équipe a publié deux études observationnelles, le premier portant sur 80 patients (6), le deuxième portant sur 1061 patients (7). Tous deux concluent à une efficacité de ce traitement pour les trois end-points définis plus haut. Nos points de comparaison sont, concernant la durée de portage viral, des études chinoises sur l’histoire naturelle de la maladie (8), et concernant les aspects cliniques, les études réaliséesdans des services n’utilisant pas cette prescription.
  • Concernant le kaletra, une étude comparative avec deux bras a conclu à son inefficacité (9). Son efficacité in vitro reste à démontrer.
  • Concernant le remdesivir, une étude intéressante financée par Gilead a été publiée dans le New England Journal of Medicine (10). Elle permet uniquement de conclure à la toxicité du remdesivir pour les patients à qui il a été administré (60% d’effets secondaires, 23% d’effets secondaires graves, 8% menant à l’arrêt du traitement). S’il est encourageant de constater que des équipes sérieuses, comme celle qui a écrit cet article, comprennent qu’il n’est pas éthique de donner un placebo à un patient dont la vie est en danger, il ne faut pas que cela implique d’oublier qu’une étude qui ne comporte ni end-point, ni comparatif, ne peut permettre de conclure quoi que ce soit.
  • L’utilisation de plasma est une idée théoriquement intéressante. Deux études ont été publiées à ce jour (11,12). Scientifiquement, cette solution pose problème car l’utilisation du plasma est difficile à envisager dans les formes non-graves de la maladie. Dans les formes graves, le problème n’est pas virologique mais immunitaire.

Au vu de ces données de la littérature, les équipes médicales de l’IHU, comme médecins s’étant engagés à respecter le serment d’Hippocrate, ont pris la décision de poursuivre le traitement des patients atteints de COVID19 avec le protocole hydroxychloroquine+azithromycine, en l’attente de nouveaux résultats.

 

Yanis Roussel, Didier Raoult

Jacques Le Bris's insight:

 

  1. Sermo (2020) Sermo COVID-19 Real Time Barometer. https://app.sermo.com/covid19- 442 barometer?utm_campaign=wwwsermo_covid19
  2. Gautret P, Lagier J-C, Parola P, et al. Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID-19: results of an open-label non-randomized clinical trial. Int J Antimicrob Agents 2020;105949.
  3. Wang M, Cao R, Zhang L, Yang X, Liu J et al (2020) Remdesivir and chloroquine 427 effectively inhibit the recently emerged novel coronavirus (2019-nCoV) in vitro. Cell 428 Res 30:269-271.
  4. Chen J, Liu D, Liu L, et al. A pilot study of hydroxychloroquine in treatment of patients with common coronavirus disease-19 (COVID-19) J Zhejiang Univ (Med Sci) 2020, 49 (1): 0-0.   DOI: 10.3785/j.issn.1008-9292.2020.03.03
  5. Chen Z, Hu J, Zhang Z, et al. Efficacy of hydroxychloroquine in patients with COVID-19: results of a randomized clinical trial [Internet]. Epidemiology; 2020 [cited 2020 Apr 1]. Available from: http://medrxiv.org/lookup/doi/10.1101/2020.03.22.20040758
  6. Gautret P, Lagier J-C, Parola P, Hoang VT. Clinical and microbiological effect of a combination of hydroxychloroquine and azithromycin in 80 COVID-19 patients with at least a siw-day follow up : an observational study. Preprint.
  7. Million M, Lagier J-C, Gautret P, COLSON P, Parola P, RAOULT D. Early treatment of 1061 COVID-19 patients with hydroxychloroquine and azithromycin, Marseille, France. 2020
  8. Zhou F, Yu T, Du R, Fan G, Liu Y et al (2020) Clinical course and risk factors for 395 mortality of adult inpatients with COVID-19 in Wuhan, China: a retrospective cohort 396 study. Lancet 395:1054-1062
  9. Cao B, Wang Y, Wen D, et al. A Trial of Lopinavir–Ritonavir in Adults Hospitalized with Severe Covid-19. N Engl J Med 2020;NEJMoa2001282.
  10. Grein J, Ohmagari N, Shin D, et al. Compassionate Use of Remdesivir for Patients with Severe Covid-19. N Engl J Med 2020;NEJMoa2007016.
  11. Duan K, Liu B, Li C, et al. Effectiveness of convalescent plasma therapy in severe COVID-19 patients. Proc Natl Acad Sci USA 2020;202004168.
  12. Shen C, Wang Z, Zhao F, et al. Treatment of 5 Critically Ill Patients With COVID-19 With Convalescent Plasma. JAMA [Internet] 2020 [cited 2020 Mar 29];Available from: https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2763983
No comment yet.
Scooped by Jacques Le Bris
Scoop.it!

Bilan lors du Conseil d'Administration du 23 novembre 2021

Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Nous avons le droit d'être intelligents !
Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection

No comment yet.
Scooped by Jacques Le Bris
Scoop.it!

« On ne peut pas mener une guerre avec des gens consensuels » : Didier Raoult se paie le conseil scientifique

« On ne peut pas mener une guerre avec des gens consensuels » : Didier Raoult se paie le conseil scientifique | Think outside the Box | Scoop.it

Le professeur Didier Raoult s’exprime dans un entretien publié par l’hebdomadaire Paris Match ce jeudi. Le scientifique y balaye plusieurs éléments : traitements à base de chloroquine, possible vaccin, Conseil scientifique…

 

 

Vaccins permettant de lutter contre le coronavirus, traitements à base de chloroquine, Conseil scientifique… Ce sont quelques-uns des sujets balayés par le professeur Didier Raoult, dans un entretien publié ce jeudi par Paris Match . L’hebdomadaire en a publié des bonnes feuilles, sur son site internet.

 

Le directeur de l’IHU Méditerranée Infection de Marseille, qui s’est fait connaître pour sa défense de la chloroquine dans la lutte contre le coronavirus, revient logiquement sur ce traitement à forts enjeux, mais dont les effets secondaires inquiètent.

Il s’exprime sur les deux médicaments qu’il propose d’associer : l’hydroxychloroquine, traitement contre le paludisme, et l’antibiotique azithromycine, au centre d’une étude qu’il publiait fin mars.

« L’hydroxychloroquine est le traitement de référence pour les pneumopathies », et « un Américain sur huit en prend une fois par an », dit-il à Paris Match. « Une étude internationale sur la sécurité du traitement hydroxychloroquine, bientôt publiée, démontre la fiabilité de cette molécule. Quant à l’azithromycine, il est le médicament le plus prescrit au monde après l’aspirine », poursuit le scientifique.

 

Les critiques dont ont pu faire l’objet ses travaux ? « Ce traitement est bête comme chou, c’est pour ça qu’il irrite », lâche-t-il.

 

Sur le Conseil scientifique : « On ne peut pas mener une guerre avec des gens consensuels. Le consensus, c’est Pétain »

Celui qui a organisé des tests de dépistage du Covid-19 à Marseille revient, aussi, sur les recherches d’un possible vaccin permettant de lutter contre le coronavirus. Un élément « nécessaire pour interrompre totalement la transmission » de la maladie selon l’OMS, et qui cristallise beaucoup d’espoirs. Le professeur, lui, se dit « sceptique » sur le sujet.

 

« Les vaccins ne sont pas toujours la bonne solution. Trouver un vaccin pour une maladie qui n’est pas immunisante… C’est même un défi idiot », dit-il encore. « Quand on ne sait pas gérer une maladie infectieuse, on nous sort le coup du vaccin ! Il est déjà difficile de vacciner correctement contre la grippe, alors contre un nouveau virus », poursuit Didier Raoult.

Le chercheur revient également sur le Conseil scientifique, l’instance qui conseille l’exécutif, et dont il s’est mis en retrait. « On ne peut pas mener une guerre avec des gens consensuels. Le consensus, c’est Pétain. Insupportable, lance-t-il encore. On ne peut pas décider de cette manière. Ces personnes ne savaient pas de quoi elles parlaient ».

 

 

No comment yet.