François ASSELINEAU Invité de Frédéric TADDEÏ à « CE SOIR OU JAMAIS » 02-10-2012

 

1/ Trois millions de chômeurs : une spécialité française ?

2/ Pour ou contre le traité budgétaire européen ?

 

POUR EN PARLER

François Asselineau
Haut fonctionnaire

Francois Asselineau est le président de l'Union Populaire Républicaine (UPR), un mouvement politique qu'il a créé en mars 2007 pour convier tous les Français à se rassembler provisoirement, en dehors du clivage droite-gauche, afin de faire sortir au plus vite la France de l'Union européenne, de l'euro et de l'OTAN. Il dit que cette rupture décisive -- que l'UPR est le seul mouvement à proposer clairement -- est la clé pour redonner du sens à notre démocratie et à la République, pour relancer l'économie, protéger nos acquis sociaux, dégager la France de l'Empire qui l'asservit et nous opposer aux dérives guerrières du choc des civilisations.
Inspecteur général des finances, il a été membre de cabinets ministériels (notamment auprès de Gérard Longuet, ministre de l'Industrie et du Commerce extérieur, en 1993 et d'Hervé de Charette, ministre des affaires étrangères, en 1996) puis directeur de cabinet du président du Conseil général des Hauts de Seine Charles Pasqua de 2000 à 2004. Il a également été conseiller de Paris, de 2001 à 2008, et Délégué général à l'intelligence économique à Bercy de 2004 à 2006.

https://www.facebook.com/upr.francoisasselineau?sk=wall

http://www.u-p-r.fr/

http://www.francoisasselineau.fr/
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

­°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Un Baverez qui veut rembourser la dette pour la relance...heu non, par la relance...heu je sais plus, par l'austérité qui relance?
Un Bellanger monosynaptique qui dit qu'il est très content de ne rien comprendre, de ne rien vouloir comprendre, de confier son avenir à des gentils technocrates qui comprennent à sa place, bref, qu'il est content d'être con.
Une Wahnich qui parle, mais qui parle, ça n'en finit pas, c'est comme le vent d'autan, ça siffle aux oreilles...mais il n'y a rien à écouter...cette prof là, je crois que mes potes et moi au lycée technique, on se serait fait un devoir de la rendre dépressive, question de survie, c'est elle...ou nous.
Un Jorion qui est à l'économie ce que Derrick est à une serie TV, soporifique comme une boite de lexomil
Un Ridan victime de l'experience de Milgram qui nous ressort ce que l'autorité lui a marqué au fer rouge dans sa tête, l'Euro c'est bien, l'Europe c'est bon, et c'est mon avis Na! et non, Ridan, c'est pas un avis ça, c'est un slogan.

Ben il reste quoi au bout du compte, un Daniel Cohen un peu dans l'expectative, ça le gratte de dire que ce foutu euro, c'est de la daube mais bon, s'il veut continuer de fréquenter les plateaux TV, faut composer : "ça serait dommage de casser tout ce que l'on a construit...."

Et puis il y a François Asselineau, un peu tendu (tu m'étonnes) mais clair, détaché des technicités abscons des "économistes" qui l'entouraient, une parabole médicale bien a propos, empathie sincère envers les peuples les plus rudement touchés par la crise.
Même si l'on peut regretter que FA n'ait pas eu beaucoup de temps de parole (en tout cas moins que le vent d'autan que j'évoquais plus haut), dans cet exercice ou chacun se refusait au dialogue, il faut se mettre à la place du téléspectateur ne connaissant pas les intervenants et s'imaginer l'impression laissée par chacun d'entre eux. Dans ce cadre là, il n'y a pas photo...