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Appel à la représentation nationale pour la destitution du Président de la République .

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Appel à la représentation nationale pour la destitution du Président de la République .

 

Du manquement à l’éthique de la considération aux mensonges du gouvernement.

« Aussi bien, par les temps corrompus que nous vivons, me bornerai-je à te recommander, pour commencer, de ne te consacrer à l’action, ni tout entier, ni toujours, mais de réserver à la considération une partie au moins de toi-même, de ton cœur, et de ton temps » Bernard de Clairvaux, (De la considération, cité par Corine Pelluchon : éthique de la considération, Seuil »

 

1- Comment l’Etat a failli dans son devoir de protection de la santé individuelle et publique.

L’Etat est à la fois le garant de la santé individuelle et publique.

- Le droit à la santé est un droit fondamental, c’est une liberté publique (préambule de la Constitution de 1946).

L’Etat est le débiteur de ce droit, il est en conséquence, tenu d’exécuter cette obligation en toutes circonstances, et en mettant en œuvre tous les moyens nécessaires à sa réalisation.

- Le problème touchant au manque d’équipements médicaux (masques, gel etc.) pouvait se justifier par l’effet surprise de la crise épidémique.

En revanche, le mensonge ne peut en aucun cas se justifier dans la gestion de la crise, laquelle a fait l’objet, incontestablement, d’une gestion politique et non d’une gestion sanitaire et rationnelle s’appuyant sur des bases scientifiques.

- Pour protéger la santé des français, on a cru bon de créer un conseil scientifique dans la foulée de l’épidémie pour conseiller le prince dans ses décisions sur la gestion de l’épidémie et donc pour servir de couverture.

- Le conseil scientifique n’a pas été capable d’apporter des réponses cohérentes, face aux contradictions du gouvernement ; il a surtout servi comme moyen de légitimation de l’action gouvernementale.

Or, il est remarquable de constater que le gouvernement disposait déjà, avant l’épidémie, d’experts autorisées et d’institutions sanitaires qui veillent en permanence sur la santé des françaises et des français. Ledit conseil scientifique n’avait donc aucune raison d’être.

Il s’est substitué de manière arbitraire, c’est à dire contraire au droit républicain, à l’expression de la souveraineté du peuple français. ( Article 3 de notre Constitution.)

- Le Conseil scientifique est donc un organe illégitime et complice des mensonges du gouvernement.

L’on peut se contenter de deux exemples qui démontrent à la fois la complicité et l’incompétence de ce conseil :

1- Le silence de ce conseil sur une étude scientifique qui s’est avérée fausse, mais qui a servi au gouvernement dans sa prise de décision, montre son inutilité manifeste.

En effet, ce n’est pas le conseil scientifique qui a le premier alerté l’opinion publique sur le caractère fallacieux de l’étude Lancetest. Ce sont des gens courageux issus du monde médical qui avec force ont alerté les citoyennes et citoyens de France.

Ils sont actuellement poursuivis et parfois sanctionnés pour avoir dit la vérité. Tandis que le conseil scientifique a été maintenu pour avoir couvert un mensonge sous l’égide du gouvernement ;

- Or une fausse étude, retirée, ensuite, par le journal l’ayant publiée, a bien servi de source à la décision gouvernementale.

Ladite étude a notamment été citée par le ministre de la santé devant la représentation nationale, comme justifiant des mesures dites sanitaires imposées au peuple français sans que le conseil scientifique ne puisse aider le gouvernement à faire une lecture juste des études parues.

- Ce n’est pas non plus le conseil scientifique qui a attiré l’attention du gouvernement sur un médicament introduit sur le marché, jugé nocif par la suite, et notamment par l’OMS : le Remdesivir.

Au contraire, dans le même temps, le conseil scientifique a cautionné toutes les décisions politiques ! Notamment celle, absurde, d'interdire aux médecins la prescription d'hydroxychloroquine dans les traitements anti Covid, jusqu'à faire retirer ce produit de la vente ; condamnant ainsi un nombre de patients à mort.

Nombre qu’il appartiendra à une enquête parlementaire de déterminer.

 

2- Comment l'État a failli dans sa mission par abus de pouvoir.

- L’Etat ne doit exclure aucune opinion pouvant apporter une quelconque utilité dans la gestion de l’épidémie : il doit faire valoir en priorité l’intérêt de la santé publique.

Or, l'exécutif a exclu et condamné systématiquement toutes les voies divergentes, alors que ce sont ces mêmes voix qui ont servi de garde-fou contre les divers conflits d'intérêts mis à jour par là soudaine diabolisation gouvernementale de molécules déjà testées depuis des décennies, réputées inoffensives et dont l'efficacité contre le nouveau virus avait été établie par les plus grands spécialistes français et internationaux.

L’Etat a donc endossé les mensonges du gouvernement pour favoriser des intérêts particuliers. Et ce au lieu sanctionner les menteurs.

Le concept de l’Etat-menteur est effectif. Il constitue donc un trouble à l'ordre public. Un trouble manifestement illicite.

- Des contradictions flagrantes dans la gestion de la crise ont été couvertes et cautionnées par l’Etat français sur la seule parole du Président de la République : ce qui engage donc sa responsabilité ainsi que celle de son gouvernement agissant avec lui en réunion donc en totale complicité.

- Des ministres et des hauts responsables de l’Etat ont menti et ne sont pas sanctionnés. Pire encore : ils sont reconduits dans leurs fonctions ou promus.

- Les décisions qui ont été prises sur la base de fausses informations ou d’informations contradictoires peuvent avoir un lien direct avec le taux de mortalité due à l’épidémie du Covid19. Et ceci doit être estimé par la représentation nationale réunie en commissions.

 

3- Il est également notoire que le président de la République et ses complices ont ainsi porté une atteinte grave au droit à la santé. Ce qui ouvre ici un volet pénal.

- Le droit à la santé est un droit-créance. C’est un droit pour le citoyen et en même temps une créance pour l’État ; ce dernier doit s’exécuter et avoir un comportement actif dans sa réalisation : au nom de l’intérêt général sanitaire.

Aussi, en cas de pandémie, l’Etat doit prendre les mesures nécessaires, se prémunir de toute menace, et sauvegarder la santé publique.

- Cela étant, il est donc possible de rechercher la responsabilité pénale à travers l’atteinte au droit à la santé.

Des malades ont été pris en charge tardivement en raison du confinement et des mesures tardives de l’administration sanitaire

- Il convient aussi de rechercher l’atteinte au droit à la santé à travers l’incitation au renoncement aux soins via des messages publicitaires gouvernementaux.

Or, il est un fait acquis par la science et l’observation des chiffres, que le taux de létalité de ce virus est très largement inférieur à celui de plusieurs maladies non diagnostiquées et non soignées.

- Le nombre de victimes du Covid19 à déplorer qui serait supérieur à la moyenne mondiale ne peut- il être justifié par la gestion chaotique, l’absence de matériel, le renoncement, l'inaccessibilité des soins ?

Ce dernier point doit être également aujourd'hui éclairci par une enquête appropriée et impartiale menée par les élus du peuple français réunis dans les deux assemblées.

La gestion de cette crise sanitaire met en évidence les mensonges du gouvernement et le mensonge d’Etat.

La considération en éthique médicale est absente du gouvernement actuel.

Le visage que présentent le président de la république et son gouvernement n'est en aucun cas celui de la bienveillance.

Le discours du Président de la République est foncièrement : arbitraire, inégalitaire et discriminatoire.

Toutes les décisions prises par l'Exécutif en dépit des pouvoirs législatifs et judiciaires, contreviennent à la Constitution, au principe inaliénable de la séparation des pouvoirs, ainsi qu'aux libertés fondamentales et imprescriptibles des citoyennes et citoyens du peuple français.

L’éthique de la considération est de faire en sorte que les êtres humains la ressentent.

La considération est donc la condition même de la responsabilité.

Au contraire et les exemples sont nombreux, les dispositions prises par le gouvernement au nom de la crise sanitaire sont bien souvent des dispositions qui relèvent de l’abus de pouvoir.

En conséquence ce que la République Française nomme la Patrie se trouve dans la situation évoquée par l’article 16 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen :

elle confond les pouvoirs et ne garantit plus les droits.

Il revient donc dans un premier temps à la Représentation Nationale de faire valoir ce que de Droit en application de l’article 68 de l’actuelle Constitution de la France.

Soit dit de diligenter une enquête publique pouvant aboutir à la destitution de l’actuel Président de la République.

Selon l’article 68 de notre Constitution : « le président de la République ne peut être destitué qu’en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatibles avec l’exercice de son mandat »

C’est exactement le cas de figure.

Cet article pose clairement les conditions par lesquelles l’Assemblée nationale et le Sénat, peuvent conduire le président de la République à répondre à un «manquement à ses devoirs » devant un groupe parlementaire constitué en Haute Cour.

En tant que simple citoyen français j’invoque par la présente, les motifs susceptibles de caractériser un manquement grave aux intérêts de la nation et de l’Etat.

Les éléments d’un mensonge de l’Etat me semblent hélas réunis.

Dans une large mesure, la crise sanitaire est détournée de son objet à des fins de gouvernance totalitaire.

Il est important de considérer que le Mensonge consécutif à des mensonges répétés pendant toute la période dite de « la crise sanitaire », éloigne le chef de l’Etat et le gouvernement français d’un horizon politique clairement déterminé, ainsi que de la considération élémentaire due au peuple français par ses mandataires politiques.

Le souci des citoyens est complètement absent de la trajectoire menée par l’Exécutif.

Le mensonge d’Etat pratiqué sans réserve par l’actuel gouvernement est contraire à la considération, et engendre la défiance et la désagrégation de la société française.

Les mesures imposées aux françaises et au français sous prétexte d’urgence sanitaire favorisent un présidentialisme sans contrôle, autoritaire, dont le seul but semble être désormais de conserver le pouvoir.

Le mensonge d’Etat, caractérisé en forme de mensonges répétés, prouve que le chef de l’Etat, le premier ministre et son gouvernement n’ont pas su administrer, dans des conditions acceptables, la vie en société, la santé, la culture, l’économie.

Il est important de rappeler que la pensée politique, laquelle fonde la vie collective, doit être guidée par la connivence. Et qu’elle doit garantir le bonheur de toutes et de tous.

C’est le fondement même de notre République.

Aujourd’hui, les mensonges répétés du pouvoir en place engendrent une société déshumanisée, très éloignée d’un enjeu solidaire.

La politique élitaire, inégalitaire, porte atteinte à l’éthique républicaine de la considération.

Les mensonges répétés pendant la crise sanitaire ont renforcé la verticalité au sein de la société française en mettant en lumière l’effondrement de notre démocratie pluraliste aujourd’hui dévastée.

Le souci des françaises et des français est aujourd’hui le cadet de son gouvernement.

La préoccupation française est anéantie par l’organisation politique de la France troublée par les mensonges répétés des gouvernants.

Nous assistons actuellement à un dénuement de la France sur le plan social, économique et culturel.

La désolation du peuple français est totale.

Le mensonge est devenu un moyen de gouvernement.

C’est la raison pour laquelle j’en appelle aux parlementaires qui auraient constaté comme moi la déviance du pouvoir actuel, pour qu’ils demandent la saisine des deux assemblées constituées en Haute Cour de justice, afin de proclamer la destitution de l’actuel président de la République au nom du peuple français.

Il faut 58 députés ou 35 sénateurs pour déclencher l’article 68.

Je demande aux sénateurs et aux députés de la région PACA de prendre les devants et de rassembler les élus encore libres de notre République afin de faire valoir ce que de Droit.

 

Francis Lalanne.

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Les musulmans de France lancent un appel contre l'État islamique

Les musulmans de France lancent un appel contre l'État islamique | Think outside the Box | Scoop.it

"Nous condamnons fermement les exactions commises par l'organisation Daesh [...] à l'encontre des civils en Irak et en Syrie", dénonce le texte.

 

Les fédérations et responsables de mosquées français ont lancé, cette fois de manière unitaire, un "appel des musulmans de France" contre Daesh (État islamique) exigeant une enquête sur "les responsabilités des soutiens de cette organisation terroriste ainsi que l'origine de ses moyens". "Nous condamnons fermement les exactions commises par l'organisation Daesh (...) à l'encontre des civils en Irak et en Syrie parmi les chrétiens, les Yézidis, les Kurdes, les Turcomans, les musulmans chiites ou sunnites, les humanitaires, les journalistes", écrivent les signataires de cet appel, qui estiment que ce groupe, en dépit de son appellation usurpée, n'a rien ni d'État ni d'islamique. Daesh est l'acronyme en arabe de l'EI.

Le texte est de portée plus large que "l'appel de Paris" signé la semaine dernière, qui marquait une solidarité en particulier avec les chrétiens d'Orient, et il est surtout plus unitaire. Il a été validé par dix grandes institutions, dont les deux groupements de mosquées de sensibilité marocaine (RMF et UMF), la fédération de la Grande Mosquée de Paris (liée à l'Algérie), les Turcs du CCMTF, mais aussi l'UOIF (proche des Frères musulmans) et l'association Foi et Pratique (courant littéraliste Tabligh). La très grande majorité des quelque 2 300 à 3 000 lieux de culte de la première communauté musulmane d'Europe (3,5 à 5 millions de croyants) y est donc représentée.

"Face à l'ampleur des crimes commis par Daesh et l'importance des moyens matériels dont elle dispose, nous appelons la communauté internationale à diligenter une enquête afin que soient déterminées les responsabilités des soutiens de cette organisation terroriste ainsi que l'origine de ses moyens", écrivent les signataires. Ils "réitèrent" leur "appel aux jeunes musulmans de France qui seraient tentés d'aller combattre aux côtés de ces terroristes, de prendre conscience de l'ampleur de la gravité des crimes dont ils pourraient se rendre complices, ainsi que de la lourde responsabilité, devant Dieu et devant l'humanité, d'une telle complicité". Les dix institutions demandent enfin "aux musulmans de France d'apporter leur aide aux exilés, notamment à ceux présents en France", et "d'élever des prières, tous les vendredis, pour le repos des âmes de toutes les victimes" de Daesh.

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Appel du Mufti de Lyon

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Jacques Le Bris's insight:
  • A partir de 42'45"" enfin un "Responsable" musulman appelle à s'opposer clairement à la barbarie des extrémistes djihadistes, Kamel Kabtane s'étonne aussi, comme moi, du silence du Conseil français du culte musulman [CFCM] sur ce sujet.


Nota : Corinne Lepage a appelé nos concitoyens à se positionner clairement sur ce sujet

http://le.rassemblement.citoyen.toulouse.midi-pyrenees.over-blog.com/2014/08/soutenons-les-chretiens-d-orient.html


Sur Twitter c'est simple, il suffit de RT ici


Cet appel du Mufti de Lyon est bien le premier à y répondre.

J'espère de tout mon coeur que cet acte de bravoure ne restera pas isolé !



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Organisation terroriste Daesh: "Appel des musulmans de France"

Organisation terroriste Daesh: "Appel des musulmans de France" | Think outside the Box | Scoop.it

Les principaux représentants du culte musulman en France ont lancé ce lundi un "Appel des musulmans de France" pour condamner la barbarie des djihadistes de l'organisation terroriste Daesh (Etat islamique, ndlr) et pour témoigner leur soutien total à toutes les communautés en Irak et en Syrie, aux journalistes et humanitaires, victimes de leur extrémisme assassin, violent et abject.
Ci-joint e texte intégral de l'appel :

Jacques Le Bris's insight:



Nous, responsables musulmans de France, signataires du présent appel :

Nous condamnons fermement les exactions commises par l’organisation « Daesh », connue sous l’appellation « Etat Islamique » (EIL), à l’encontre des civils en Irak et en Syrie parmi les chrétiens, les Yézidis, les kurdes, les turcomans, les musulmans chiites ou sunnites, les humanitaires, les journalistes et les reporters.

Nous considérons que cette organisation, en dépit de son appellation usurpée, n’a rien ni d’Etat ni d’islamique. Ses actions criminelles et barbares, dont les décapitations macabres des deux journalistes américains James Foley et Steven Sotloff et de l’humanitaire britannique David Haines, d’une cruauté et d’une violence insoutenables, sont en totale contradiction avec les principes élémentaires de la religion musulmane.

Nous saluons la réaction spontanée, responsable et unanime des musulmans de France et de leurs imams qui ont condamné fermement les actes abjects du groupe terroriste «Daesh ».

Nous saluons la position des autorités Chrétiennes, qui tout en condamnant les exactions perpétrées contre les chrétiens d’Irak et de Syrie, refusent toute instrumentalisation de cette tragédie et soulignent que les musulmans sont également victimes de cette organisation terroriste.

Nous appelons tous les citoyens épris de paix et de justice quelle que soit leur religion ou leur conviction à afficher, aujourd’hui plus que jamais, leur unité face au terrorisme et à la barbarie et à œuvrer sans relâche pour que le dialogue et la solidarité entre eux puissent faire barrage aux adeptes de la prétendue « guerre des civilisations ».

Nous réitérons notre appel aux jeunes musulmans de France qui seraient tentés d’aller combattre aux côtés de ces terroristes, de prendre conscience de l'ampleur de la gravité des crimes dont ils pourraient se rendre complices, ainsi que de la lourde responsabilité, devant Dieu et devant l'Humanité, d’une telle complicité.

Face à l’ampleur des crimes commis par « Daesh » et l’importance des moyens matériels dont elle dispose, nous appelons la communauté internationale à diligenter une enquête afin que soient déterminés les responsabilités des soutiens de cette organisation terroriste ainsi que l’origine de ses moyens.

Nous demandons aux musulmans de France d’apporter leur aide aux exilés, notamment à ceux présents en France, d’élever des prières, tous les vendredis, pour le repos des âmes de toutes les victimes et implorer le Très Miséricordieux afin qu’Il accorde Son Aide et Son Soutien à ceux qui souffrent des actes de cette organisation terroriste".

Signataires par ordre alphabétique des institutions:

- Comité de Coordination des Musulmans Turcs de France – (CCMTF)
Représenté par Monsieur Ahmet OGRAS, Président.

- Fédération Française des Associations Islamiques d’Afrique, des Comores et des Antilles- (FFAIACA)
Représentée par Monsieur Cheikh Moussa TOURE, Président.

- Fédération Nationale de la Grande Mosquée de Paris- (FNGMP)
Représentée par Monsieur le Recteur Dalil BOUBAKEUR, Président.

- Foi et Pratique
Représentée par Monsieur Hamadi HAMMAMI.

- Grande Mosquée d’Evry- Courcouronnes
Représentée par Monsieur le Recteur Khalil MERROUN

- Grande Mosquée de LYON
Représentée par Monsieur le Recteur Kamel KABTANE

- Grande Mosquée de Saint- Denis de l’île de la Réunion
Représentée par Monsieur Aslam TIMOL

- Rassemblement des Musulmans de France (RMF)
Représentée par Monsieur Anouar KBIBECH, Président.

- Union des Mosquées de France (UMF)
Représentée par Monsieur Mohammed MOUSSAOUI, Président.

- Union des Organisations Islamiques de France
Représentée par Monsieur Amar LASFAR, Président.



Paris, le 15 septembre 2014

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« Mme Royal, nous vous demandons un arrêt des travaux au Testet »

« Mme Royal, nous vous demandons un arrêt des travaux au Testet » | Think outside the Box | Scoop.it

La ministre de l’Ecologie a les moyens d’agir pour faire arrêter les travaux dans la zone humide du Testet, afin de rétablir le dialogue et d’examiner sereinement le dossier.

Des porte-paroles d’Attac, d’Europe Ecologie Les Verts, de Nouvelle Donne, du Parti de Gauche, de la Confédération paysanne s’unissent pour demander à Mme Royal d’agir.

Appel à Ségolène Royal,

Les travaux pour le barrage du Testet dans le Tarn ont commencé au mépris de toute concertation et de différents avis négatifs : aucune concertation avec des associations de protection de l’environnent et des milieux aquatiques, avis défavorables cachés durant l’enquête publique, refus du Conseil général et de la préfecture du Tarn de débattre publiquement et de suivre les avis des scientifiques du Conseil scientifique régional du patrimoine naturel (CSRPN), des experts nationaux du Conseil national de protection de la nature (CNPN) nommés par l’État, de la Commission d’enquêtes publiques, de la Fédération de pêche et des milieux aquatiques, des services de l’État chargés de l’eau (ONEMA).

Par ailleurs, plusieurs recours juridiques, déposés par le Collectif et ses partenaires, sont en cours d’examen : un recours au fond contre l’arrêté dit « Loi sur l’eau » du 3 octobre 2013 ; un recours au fond contre la déclaration d’utilité publique (DUP) du 2 octobre 2013 ; un recours au fond et en référé suspension contre l’arrêté de dérogation à l’interdiction de destruction d’espèces protégées du 16 octobre 2013. La demande de suspension du projet devrait être examinée par le tribunal administratif dans les jours qui viennent. Un recours a également été déposé par la FNE devant l’impossibilité de se procurer l’autorisation -obligatoire- pour la déforestation.

Malgré tout cela, les travaux de destruction de la forêt et de la zone humide ont commencé. Nous rappelons que ce barrage, financé sur des fonds publics, a pour seule vocation de perpétuer l’agriculture intensive et la culture du maïs pour quelques agriculteurs, alors que le rapport remis ces derniers jours par Jean Jouzel, Le climat de la France au 21è siècle, scénarios régionalisés, indique clairement les risques d’une telle fuite en avant.

Nous soutenons sans réserve la détermination et la résistance non-violente des citoyens, des paysans, des occupants de la zone forestière menacée, des grévistes de la faim. Ils affrontent une violence insupportable et dangereuse des forces de l’ordre et des machines convoyées pour détruire.

Nous vous demandons, en tant que ministre de l’Écologie et du développement durable de prendre la mesure de la situation. La nomination d’experts missionnés pour établir un dialogue ne répond pas aux questions posées, d’autant que les travaux de destruction ont continué de plus belle après cette annonce. Nous vous demandons un arrêt total des travaux et un moratoire.

Signataires :

 Isabelle Attard (Nouvelle Donne)
 Geneviève Azam (Attac)
 José Bové (EELV)
 Guillaume Cros (EELV)
 Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne)
 Corinne Morel Darleux (Parti de Gauche)
 Noël Mamère
 Laurent Pinatel (Confédération paysanne)
 François Simon (EELV)
 Vincent Liegey (Parti pour la décroissance)

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