Temu : 3 raisons de ne pas acheter sur la plateforme chinoise
Nouvelle star des plateformes de e-commerce, Temu est loin d’être recommandable. Voici 3 raisons d’éviter d’y acheter vos produits.
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Nouvelle star des plateformes de e-commerce, Temu est loin d’être recommandable. Voici 3 raisons d’éviter d’y acheter vos produits.
Temu est devenue en quelques mois l’appli la plus téléchargée de l’App store aux États-Unis. Du e-commerce bas-de-gamme et gamifié.
Tencent, Huawei, Xiaomi, ou encore Alibaba. En quelques années seulement, ces entreprises chinoises sont devenues des géants mondiaux de la Tech capables de rivaliser avec les GAFAM. Nous avons fait le point avec Guoli Chen, professeur de stratégie à l’INSEAD, qui sort un livre sur le sujet.
Luxury brands have long used influencers or key opinion leaders (KOLs) to get into the hearts, minds, and ultimately digital wallets of young Chinese consumers. Influencers, particularly those who enjoy a mass following, have helped to dramatically democratize the accessibility of a luxury lifestyle.
This has been a key success factor for labels in winning over younger and first-time luxury consumers. 44% of Gen Zs reported that bloggers and online influencers were among their top three sources for product recommendations (versus just 10% in the US). Indeed, the rise of livestreaming in the mainland has redefined the market power of celebrity influencers, many of whom can sell millions of dollars of prestige branded merchandise.
Nouveau représentant de l’« ultra fast fashion », le groupe chamboule les codes d’un secteur déjà réputé pour ses conditions de travail difficiles, en imposant des cadences encore plus rapides à un réseau de petites entreprises du sud de la Chine.
Le géant chinois de l'internet Baidu a lancé fin décembre dans son pays l'une des premières applications de « métavers », ce monde parallèle virtuel considéré comme le prochain grand saut dans l’évolution d’internet. Le « métavers » (contraction de méta-univers, « metaverse » en anglais), est une s…
Pour le plus grand événement commercial chinois, des records ont encore été battus, comme c'était le cas en 2020.
Après un an et demi de crise liée au Covid-19, le marché mondial du luxe met le turbo en 2021. La chute de 2020, la plus forte jamais enregistrée en ces trente dernières années, laisse place à un forte reprise (+29% à taux de change courant) avec un chiffre d’affaires total des biens de luxe atteignant 283 milliards d’euros en 2021.
Le digital est le deuxième facteur significatif de cette reprise, en termes de volumes et de canal de distribution. Les ventes de luxe en ligne ont, en effet, explosé entre 2019 et 2021 (+89%) avec une pénétration du marché de 22% et une hausse de 27% en 2021 par rapport à l’an dernier. Ce marché du e-commerce est estimé autour de 62 milliards d’euros, qui tout comme la Chine a pratiquement doublé de taille en deux ans. Les sites marchands monomarques contrôlés par les marques constituent désormais 40% de ce segment (+30% sur deux ans).
Les ventes du numéro un mondial du luxe ont progressé de 11 % au troisième trimestre comparé à 2019, pour atteindre 44,2 milliards d'euros sur neuf mois. La croissance en Chine ne faiblit pas, tandis que Tiffany est tiré par le marché américain.
Le géant suédois du prêt à porter a vu la Chine disparaître du top 10 de ses plus gros marchés mondiaux au troisième trimestre 2021. Une situation qui implique une perte d'au moins 40 % de ses revenus dans le pays, provoquée par un boycott de la marque pour ses positions sur la situation des Ouïghours.
La marque de mode vient de racheter son partenaire en Chine. Peu présente dans le pays, elle veut y quadrupler le nombre de ses boutiques d'ici à 2025. Et se renforcer sur les plates-formes d'e-commerce pour séduire la jeune génération de Chinois.
Après les magasins de bricolage, de jouets et de meubles, c'est au tour des boutiques d'équipement de la personne de craindre le manque de produits. Certains magasins n'ont reçu que 30 % à 40 % de leurs commandes. En cause : l'engorgement du transport maritime mondial, mais aussi la moindre production des usines en Asie.
Actualité industrie : Après avoir plongé en Bourse la semaine dernière suite aux annonces d’un plan de redistribution de la richesse en Chine, les valeurs du luxe regagnent du terrain en ce début de semaine. Mais les doutes subsistent. (#1327840)
Un demi-millier de grands patrons chinois auraient été sévèrement recadrés par le Parti communiste chinois, qui vise désormais les géants du numérique.
(AOF) - Le groupe Internet chinois, Alibaba, a dévoilé des revenus plus faibles que prévu au premier trimestre, clos fin juin, du nouvel exercice. Il a ainsi enregistré un bénéfice net, part du groupe,
Actualité distribution : La pandémie de Covid-19 a incité un nombre croissant de personnes, en particulier la jeune génération, à passer des achats en magasin aux achats en ligne et en live, cinq ans après l'apparition de ces achats "en direct". (#1318049)
Découvrez comment construire des partenariats marketing avec des KOL en Chine et les paramètres à prendre en compte lors des activations.
#eCommerce et #Chine : PANDA MEETINGS les 24/06 et 25/06 :
➡️ Comment les marques peuvent-elles profiter de l'explosion et des opportunités d
Panda Meetings : un nouvel évènement pour rapprocher les marques françaises et européennes du ecommerce chinois. Les Panda Meetings veulent ouvrir une nouvelle porte d’accès à cet incroyable l’écosystème. Les Panda Meetings est un nouveau salon en ligne pour rapprocher les marques françaises et européennes du ecommerce chinois. La première édition aura lieu les 24 …
Décryptage de la trajectoire d'Alibaba avec Antoine Fraysse-Soulier, responsable de l’analyse des marchés chez eToro.
Les autorités chinoises ont introduit de nouvelles mesures pour réguler le live shopping, pratique très populaire en Chine.
La marque de luxe Louis Vuitton passe un accord avec la plateforme e-commerce JD.com afin de se développer en Chine. L’accord conclu vise à ce que l’audience de JD.com – 472 millions d’utilisateurs…
Sandro et Maje sont épinglés par un collectif d'ONG pour travail forcé en Chine alors que la chaîne Jules des Mulliez relocalise ses jeans en France.
Nike, HM, Zara... Depuis plus de deux semaines, la Chine a lancé une campagne de boycott contre des géants de la mode qui refusent de travailler avec le Xinjiang, région qui fait travailler de force des Ouïghours. Face à l'ampleur exceptionnelle de ce boycott, les marques sont prises en étau. Si elles plient, elles perdent en crédibilité dans le monde occidental. Si elles maintiennent leurs déclarations, elles se coupent du marché chinois et d'une bonne partie de leurs ventes.
Le géant chinois Alibaba, accusé de pratiques monopolistiques par Pékin, a reçu une sévère amende, la plus lourde jamais reçue par un mastodonte de la tech locale.