Thierry Klein : "Dans sa nouvelle consacrée à l’automate joueur d’échecs de Maelzel, Edgar Poe conclut à l’impossibilité qu’une machine puisse jouer aux échecs et, partant, à la nécessité d’une présence humaine cachée dans la machine.
Les arguments qu’il emploie semblent irréfutables et pourtant, nous savons aujourd’hui qu’ils sont totalement erronés : l’ordinateur joue aux échecs sans intervention humaine et bat n’importe quel joueur, y compris le champion du monde comme l’a montré Deep Blue…