Ces travaux sont avant tout des études de faisabilité. Il n'est évidemment pas question d'imaginer un ordinateur bâti uniquement à partir de brins d'ADN flottant dans une cuve géante. En revanche, ces travaux vont peut-être ouvrir une porte à de toutes nouvelles applications biologiques.
Imaginons par exemple une cellule artificielle : elle comporterait une machine moléculaire basée sur ces portes logiques. Si une certaine entrée est détectée, par exemple un brin d'ADN ou d'ARN d'un virus, une stimulation dans la cellule par le détecteur pourrait enclencher automatiquement la libération d'un agent pharmaceutique…
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> Ron Orbach | Hebrew University Jerusalem : http://bit.ly/1aWvWrW
> Itamar Willner's Group : http://bit.ly/1aWwfTP