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Il y a 2 ans, le mathématicien Tim Gowers lançait la pétition du Cost of Knowledge, invitant les chercheurs à ne plus participer aux comités éditoriaux de revues publiées chez Elsevier, quand dans le même temps le coût des abonnements à ces revues...
Via Stéphane Cottin
L’information n’a pas encore reçu beaucoup d’échos en France : et pourtant cela fait plusieurs mois maintenant qu’Elsevier demande régulièrement le retrait d’articles déposés par leurs auteurs sur le réseau social Academia. Si on le regarde sous l’angle de l’open access, cet exemple souligne incontestablement l’« injustice fondamentale de l’actuel écosystème de la communication académique » (John Dupuis). Mais il met également en lumière l’arrivée à maturité des réseaux sociaux académiques : à l’heure où Elsevier peine à se créer une place sur les outils 2.0 (échec de 2collab en 2011, rachat de Mendeley en 2013), il n’est pas étonnant que celui-ci attaque les nouveaux challengers qui se développent auprès des communautés académiques, après avoir laissé faire. Et ce n’est pas un hasard si Olivier Dumon, managing director chez Elsevier, vient de publier sur le Huffington Post un article intitulé « The Business of Science: Social Networking of Science » : ces challengers ne sont pas sans soulever, eux aussi, un certain nombre de questions.
Via FrancoisMagnan
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"Cette semaine, Lettres numériques consacre un dossier spécial à l’open access ou archives ouvertes (comme vous voulez). Débat complexe, il interroge fondamentalement les questions de la diffusion du savoir et des droits d’auteurs. Il nous paraissait donc fondamental pour couvrir ce débat de présenter plusieurs éléments de réponses. Vous pourrez donc retrouver dans ce dossier spécial : une introduction à l’Open Access et ses enjeux ;une inteview de Paul Thirion, directeur général du réseau des bibliothèques de l’ULg ;une interview de Benoit Dubois, président de l’ADEB ;une interview de François Renaville, bibliothécaire ;un glossaire des archives ouvertes."
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Pour sa dixième manifestation, le secteur Veille et recherche sur Internet de l'ADBS a organisé un atelier sur la thématique "Recherches sur Internet : Y a-t-il une vie sans Google ? Quelques pistes pour les professionnels de l'information"
“Publier La Science est une lettre de nouvelles de la publication, de la communication et de l’édition scientifique. Dans un contexte d’évolution rapide de la publication à l’ère numérique, d’absence d’enseignement à la rédaction scientifique, d’évaluation de la recherche par des facteurs d’impact, d’augmentation de la sélection par les revues, de surabondance d’information, et d’utilisation des réseaux sociaux pour la recherche, cette lettre rassemble les dernières avancées mondiales de la publication scientifique, ainsi que des outils pratique pour mieux publier la science.”
Via LaLIST
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"Outre-Atlantique comme en Europe, les gouvernements semblent prendre peu à peu conscience de l'intérêt de diffuser les publications académiques en Open Access. Une volonté d'exporter les fruits de la recherche scientifique en format numérique peu coûteux, pour ouvrir l'accès à tous publics, et ce, via des revues gratuites pour le lecteur. Telle semble être l'optique en ligne de mire, notamment des dernières politiques en la matière de l'Union européenne, des Etats-Unis et du Royaume-uni."
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"Doter les grands campus de presses universitaires dignes de leur mission : exigence intellectuelle et diffusion libre des savoirs. Un pari fou pour le bibliothécaire de l'université d'Amherst, Bryn Geffert qui part d'un incident éditorial..."
Are politicians stealing our academic freedom? Is their fetish with open access publishing leading to a "pay to say" system for the rich? Will the trendy goal of making publicly financed research freely available skew the world of scholarship even more in the direction of the natural sciences? I don’t think so. But it took me a while to get there. (...) - by Curt Rice, Blog "Thourghts on university leadership", March 27, 2013
Via Julien Hering, PhD, petulant librarian
There's a good, balanced piece by Stephen Pincock in the new Nature, on the question of whether early-career researchers should publish their work in open-access journals. It seems to be free to re...
Via petulant librarian
En juillet 2012, la Commission européenne a émis une recommandation relative à la publication en accès ouvert (c'est-à-dire gratuit pour le lecteur) des résultats de la recherche scientifique financée sur fonds publics (Lire Le Monde 28 février 2013). La Commission considère en effet qu'une telle démarche est nécessaire pour renforcer la visibilité de la recherche européenne à l'horizon 2020, en levant progressivement les obstacles qui se dressent entre le lecteur et l'article scientifique, après un éventuel embargo de six à douze mois. Cet avantage, l'Amérique latine, par exemple, l'a déjà saisi depuis une décennie en lançant de puissantes plateformes de revues en accès ouvert. Scielo et Redalyc, qui comptent à elles deux près de 2000 revues ont considérablement gagné en visibilité grâce à l'accès ouvert : le portail brésilien Scielo est désormais plus consulté que l'américain Jstor. Ces exemples montrent que l'accès ouvert change le rapport de forces dans un monde dominé par des groupes détenant des portefeuilles de milliers de revues majoritairement de langue anglaise : il ouvre la porte à ce qu'on peut appeler une véritable bibliodiversité en favorisant l'émergence d'une pluralité de points de vue, de modalités d'édition, de paradigmes scientifiques, de langues.
Via petulant librarian
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Appels au boycottage des grands éditeurs scientifiques, création de revues en ligne en libre accès : face à ce qu'ils considèrent comme une appropriation indue de leurs travaux, des chercheurs se mobilisent pour renverser le modèle traditionnel de...
Open Access at the University of Luxembourg Did you ever wonder why you can’t get access to the scientific journal of your choice?
Via petulant librarian
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CALIS (Computer-Assisted Learning for Information Searching) est une auto-formation pour la recherche documentaire. Objectifs de la formation - apprendre et appliquer une méthode pour obtenir des informations scientifiques pertinentes - identifier différents types de ressources documentaires et choisir les plus appropriées - citer des références selon les normes et sans risque de plagiat - rédiger une bibliographie cohérente
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Randy Schekman, le dernier prix Nobel de Médecine, a récemment déclaré qu'il boycotterait les plus grandes revues scientifiques qu'il accuse de fausser le processus scientifique.
L'INIST a été condamné dans un arrêt du 11 décembre 2013 de la Cour de cassation, dans l'affaire mettant en cause le service de fourniture de documents RefDoc. Selon le site Legalis : En surfant su...
Via Françoise Grave
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"Pour les partisans de l’accès libre aux recherches, c’était du bonbon: un Nobel qui, du haut de sa notoriété, lance un appel à boycotter les plus puissantes revues. Toutefois, l’accueil qui lui a été réservé témoigne autant du chemin qu’il reste à faire que du chemin parcouru. Dans sa lettre, parue le 9 décembre dans le quotidien britannique The Guardian, le Nobel de médecine 2013 Randy Schekman écrit que les plus grandes revues scientifiques —il cite les trois plus célèbres: Nature, Cell et Science— exercent une «tyrannie» sur l’univers de la publication scientifique «qui doit être brisée». Critiquant également l’importance à ses yeux démesurée prise par le «facteur d’impact» au cours des dernières décennies, il annonce que son laboratoire va désormais boycotter ces revues..."
"En attendant la généralisation du libre accès aux articles des revues scientifiques, qui n'est pas pour demain, l'Université de Montréal a décidé de couper le budget alloué à ces revues afin de pouvoir augmenter la part consacrée aux livres. Le directeur général des bibliothèques, Richard Dumont, a publié une série de chroniques pour expliquer ce choix..."
Via Françoise Grave
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Outre-Atlantique comme en Europe, les gouvernements semblent prendre peu à peu conscience de l'intérêt de diffuser les publications académiques en Open Access. Une volonté d'exporter les fruits de la recherche scientifique en format numérique peu coûteux, pour ouvrir l'accès à tous publics, et ce, via des revues gratuites pour le lecteur. Telle semble être l'optique en ligne de mire, notamment des dernières politiques en la matière de l'Union européenne, des Etats-Unis et du Royaume-uni.
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10 ans après l’initiative de Budapest en faveur de l’Open Access , entre encouragement et réalité, il faut admettre que l’accessibilité aux résultats des recherches financées sur fonds publics, reste encore modeste : en France de 5 à 10 %, des articles scientifiques, sont libres.
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A de très rares exceptions près, bien plus utile pour la science que Wikipedia francophone. Ma recherche me montre qu'il n'y a pas de page sur l'évolution de l'hibernation, mais on va aller voir la page hibernation.
Diaporama présentant le Web invisible, les ressources que l'on peut y trouver et les principaux outils de recherche. Auteur : Annick Lao-Thiane (DAFCO- CDR)
Via Françoise Grave
New scientific research must be published for free online, the vice-president of the European Commission said, in a move designed to increase the knowledge pool open to small business and lead to more innovative products.
Via MyScienceWork
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The Electronic Frontier Foundation launch a petition for open access to research. Government agencies like the National Science Foundation invest millions of taxpayer dollars into scientific research every year, and yet you — the taxpayer — don't have access to the results unless you pay thousands of dollars to buy academic journals.
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Les deux grandes bases de données du CNRS (Centre national de la recherche scientifique) réorientent leurs axes d’alimentation. Elles s’enrichissent ainsi de plus de 210 000 références bibliographiques.
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Internet users around the world got a Valentine's Day present yesterday in the form of new legislation that requires U.S. government agencies to improve public access to federally funded research.
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