Laura, Alexandra, Michelle ou encore Yanna, ont entre 19 et 25 ans, ces filles jouent au plus haut niveau du rugby français et pourtant elles ne sont pas professionnelles.
Pensionnaires du LMRCV de Lille, le club qui domine le top 8 féminin depuis 5 ans, elles partagent tout de leurs vies ou presque : leurs doutes, leurs expériences, leurs espoirs, leurs appartements, leurs fêtes… Et tout le reste. Le reste c’est notamment ce sujet qui revient souvent la « féminité » des rugbywomen. En pratiquant un sport comme le rugby, ces femmes questionnent les stéréotypes de genre sur les corps féminins.