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La grève du milieu de l’éducation qu’a connu le Québec ces derniers mois a mis en lumière les nombreux problèmes, sur la forme, que connaît notre système scolaire: pénurie d’enseignants, surcharge de travail, trop d’élèves par classe et un grand nombre en difficulté d’apprentissage, etc.
Le cellulaire est dorénavant officiellement interdit en classe dans les écoles québécoises. La directive ministérielle n’a toutefois pas changé grand-chose puisque des règles étaient déjà en place dans la plupart des établissements, indiquent des acteurs du réseau scolaire.
L’école en français continue à progresser au Québec. Et c’est en bonne partie grâce à la région de Montréal, où anglophones et allophones sont de plus en plus nombreux à fréquenter le réseau scolaire francophone.
Cela fait maintenant trois semaines que les cours sont suspendus en raison des grèves dans le milieu de l'éducation, et nous avons voulu savoir comment se portent les élèves.
Le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, a temporairement recréé un comité d’experts que sa réforme en éducation… abolit.
Une autre réforme du système d’éducation a été adoptée par une loi, jeudi, en pleine grève. Le Conseil supérieur de l’éducation, un organisme indépendant qui existe depuis plus de 60 ans et qui proposait une réflexion critique sur l’éducation, disparaît sous sa forme actuelle. Son démantèlement, comme celui d’autres garde-fous, suscite des inquiétudes.
Des syndicats du milieu de l’enseignement, des professeurs d’université et des défenseurs de l’école publique demandent au ministre Bernard Drainville d’abandonner sa réforme.
Bien que l’aménagement de classes flexibles soit un phénomène en croissance dans les écoles primaires et secondaires du Québec, l’intérêt du secteur universitaire demeure récent, surtout dans le milieu francophone.
La ministre de l'Emploi et ministre responsable de la région de la Côte-Nord, Kateri Champagne Jourdain, est fière d'accorder une aide financière de 549 582 $ à COlab Innovation sociale et culture numérique, pour le déploiement dans toutes les régions du Québec de Les Ambitieuses, un projet novateur qui a d'abord vu le jour au Saguenay-Lac-Saint-Jean.
François Legault a laissé entendre qu’il y aura peut-être une «grosse grève» le jour de l'Halloween, mais les syndicats assurent que ce n'est pas le cas.
C'était une des revendications de nombreux manifestants hier : que ce qu'on présente comme « l'idéologie de genre » ne soit pas enseignée dans les écoles.
(Québec) Les débats concernant l’identité de genre et l’inclusion des personnes trans et non binaires dans la société prennent de l’ampleur en ces premiers jours de rentrée parlementaire à Québec.
Devant la nécessité de mettre rapidement en place des solutions porteuses, la Fédération autonome de l'enseignement (FAE) présente la priorisation de ses demandes syndicales à la table de négociation.
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Les retards accumulés au cours des cinq semaines de grève et l’attrait du marché du travail font craindre le pire aux intervenants luttant contre le décrochage scolaire, qui profitent du retour en classe cette semaine pour lancer une offensive afin de ramener et garder des adolescents sur les bancs d’école.
Les enseignants québécois évoluent dans des conditions de plus en plus défavorables, ce qui les pousse à déserter le système scolaire public. Que font les centres de services scolaires ? Se battent-ils pour améliorer les conditions d’exercice du métier de prof ? Non, ils recrutent de la chair à canon à l’étranger…
She is concerned because the application deadline for CEGEP is March 1 and the Federation of CEGEPs said that deadline will not change.
La transformation des commissions scolaires en centres de service nous l’a bien démontré : sous des couverts de décentralisation des pouvoirs, c’est plutôt une concentration qui s’est opérée, doublée d’une disparition des voix dissidentes, avec l’abolition des commissaires.
Depuis le début de la grève, certains élèves ont été privés de trois semaines d’école, d’autres, de quelques jours seulement, et d’autres… de rien du tout. À l’approche d’examens ministériels, des parents s’inquiètent que tous ne soient pas égaux à la ligne de départ.
Même si le gouvernement dit qu’il réfléchit encore à la question, il est peu probable qu’il choisisse d’abolir la semaine de relâche ou de prolonger l’année scolaire pour reprendre les jours d’école perdus, jugent des directions d’école et des parents d’élèves.
Les enseignants du réseau public doivent suivre de plus en plus de plans d’intervention adaptés aux besoins individuels des adolescents qui sont aux prises avec des difficultés d’apprentissage ou de comportement, ou encore avec des déficiences.
Le Québec doit « faire mieux » et augmenter la proportion des garçons qui mettent la main sur un diplôme d’études secondaires, soutient Eric Girard, qui y voit un frein à la croissance économique et au rattrapage avec l’Ontario.
Manque de confiance en elles, puberté, peur du jugement des autres (des garçons de la classe, notamment), préoccupations à l’égard de leur poids ou de leur apparence, activités physiques proposées pas à leur goût : tels sont quelques-uns des obstacles qui amènent les adolescentes à rester trop sédentaires.
Au Québec, seulement 47 % des adolescents du secondaire présentent un niveau de santé mentale florissante, comparativement à 77 % dans la population générale canadienne.
Pénurie d’enseignants, écoles vétustes, taux de décrochage trop élevé, problèmes d’apprentissage en hausse chez nos jeunes, etc. Avez-vous l’impression que le réseau de l’éducation au Québec est un véritable gâchis ?
Faut-il aller jusqu’à raccourcir le parcours scolaire d’un an, en abolissant la 6e année ou la première secondaire, pour contrer la pénurie d’enseignants? Cette solution «audacieuse» proposée par une ex-directrice d’école gagne des adeptes.
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