Your new post is loading...
Your new post is loading...
L’Ordre des conseillers et conseillères d’orientation du Québec (OCCOQ) est inquiet. La profession n’a pas autant de membres qu’il en faudrait et les inscriptions sont en baisse dans les universités. La situation risque de s’aggraver, prévient-il, si le gouvernement Legault ne corrige pas un programme de bourses qu’il a mis sur pied l’an dernier.
Le Cégep de la Gaspésie et des Îles est à modifier sa formation en technique de l’éducation à l’enfance afin d’attirer plus d’étudiants pour répondre à la pénurie de main-d’œuvre dans la région.
Réunis vendredi pour une activité conjointe de visibilité au Cégep de Joliette, les enseignantes et enseignants ainsi que le personnel de soutien ont tenu à sensibiliser la communauté collégiale sur la pénurie de personnel actuelle et à venir dans leur établissement.
(Québec) La pénurie d’enseignants est telle que le gouvernement Legault remet désormais en question le baccalauréat en enseignement de quatre ans en vigueur depuis 1994.
Pour répondre au besoin urgent d’enseignants, des universités développent des programmes courts pour en former plus rapidement. Toutefois, ces programmes ne mènent toujours pas au brevet en raison d’une crise au sein du comité qui a pour mandat de les accréditer.
Une infirmière auxiliaire au CHSLD Sainte-Dorothée à Laval, qui pratique le métier depuis près de 15 ans, s’est vue se faire complètement refusée l’accès de retourner au Cégep afin de recevoir le diplôme d’infirmière.
À l’heure où le réseau de la santé souffre d’un manque de personnel soignant, une infirmière qui compte 35 ans d’expérience, dont 27 comme enseignante, se bat contre l’Ordre des infirmières et infirmiers (OIIQ) qui l’oblige à retourner aux études si elle veut continuer d’exercer sa profession. Une situation qu’elle juge « aberrante ».
« Les cégeps sont l'un de nos plus importants fleurons. Il faut en être fier et, surtout, il faut se préoccuper de ceux et celles qui y travaillent ! »
Le ministre de l'Éducation Bernard Drainville veut modifier le processus d'affectation des contrats des professeurs.
La difficulté de recruter des enseignants se fait sentir dans des cégeps du Québec.
De nombreux centres de services scolaires (CSS) doivent toujours composer avec un grave manque de personnel de soutien à la veille de la rentrée des classes.
En plus des quelque 8500 postes d’enseignants vacants, des milliers d’éducatrices et de professionnels manquent aussi à l’appel.
Plus de 8500 enseignants manquent toujours à l’appel, un record. Une situation qui ne permet pas au ministre Bernard Drainville de garantir un adulte dans chaque classe pour la rentrée scolaire.
|
Aux yeux du premier ministre Legault, la pénurie de main-d’oeuvre est un phénomène très différent selon qu’on parle du secteur public ou du secteur privé.
Le président-directeur général de la Fédération des cégeps, Bernard Tremblay, était de passage, mardi, au Saguenay, plus précisément au Cégep de Jonquière, dans le cadre de sa tournée. Et comme le veut ce type de rencontre, plusieurs sujets ont été abordés avec les gens sur le terrain ainsi que les médias. Le logement étudiant a occupé un grand espace dans les discussions.
Pénurie d’enseignants, écoles vétustes, taux de décrochage trop élevé, problèmes d’apprentissage en hausse chez nos jeunes, etc. Avez-vous l’impression que le réseau de l’éducation au Québec est un véritable gâchis ?
Le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, cherche toujours d’autres solutions pour contrer la pénurie d’enseignants, mais ferme complètement la porte à l’abolition de la sixième année, une idée qui mériterait pourtant d’être analysée selon des acteurs du milieu de l’éducation.
• À lire aussi: «On est dans le mur»: 14 230 enseignants manqueront à l’appel d’ici quatre ans
Faut-il aller jusqu’à raccourcir le parcours scolaire d’un an, en abolissant la 6e année ou la première secondaire, pour contrer la pénurie d’enseignants? Cette solution «audacieuse» proposée par une ex-directrice d’école gagne des adeptes.
Toutes trois, elles pensaient avoir trouvé le parfait chemin pour les guider vers une réorientation réussie en enseignement.
Le manque de professionnel·les de l'éducation dans les écoles et les centres de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine se répercute sur les services aux élèves, alors qu'il est devenu difficile de faire de la prévention et que le personnel ne peut intervenir qu'auprès des cas les plus urgents.
Que d’articles et d’entrevues sur la pénurie d’enseignants ! Pour avoir l’air sérieux, le ministre de l’Éducation vient de nous lancer des chiffres, mais, peu importe le nombre, ils ne donnent pas une information claire ni précise sur la situation.
Avec le manque de logements et de main-d’œuvre ainsi que les négociations syndicales en cours, la rentrée collégiale s'annonce mouvementée cette année sur le territoire gaspésien.
On le sait, la pénurie de main-d’œuvre dans des secteurs critiques comme l’éducation et la santé met à mal la capacité du gouvernement à rendre des services à la population. Et ce n’est que le début.
La féroce compétition pour recruter des enseignants se fait ressentir jusqu’au privé, où des directeurs se disent «gênés» de réussir à embaucher au détriment d’autres écoles, tellement la situation est crève-cœur.
Il manque plus de 8000 enseignants dans le réseau scolaire et le ministre de l’Éducation est incapable de garantir qu’il y aura un « adulte » par classe à la rentrée.
|