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Une coalition d’associations musulmanes s’adresse à la cour pour faire révoquer l’interdiction d’aménagement de salles de prière dans les écoles décrétée par le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville.
Avec la loi 21 du gouvernement Legault, le Québec s’est doté d’une laïcité à géométrie hautement variable. Bref, une laïcité de façade. Aussi populaire soit cette loi chez une majorité de Québécois, ce constat, malheureusement, est indéniable.
Le ministre Bernard Drainville n’a pas l’intention de mettre fin au financement public des écoles privées religieuses.
Non seulement il n’y aura plus de salles de prières, mais il sera dorénavant interdit de prier ouvertement dans les écoles publiques du Québec, un élargissement qui ouvre toute grande la porte à une contestation devant les tribunaux, estiment des experts.
Ruba Ghazal et Alexandre Leduc, respectivement responsables solidaires en matière d'éducation et de laïcité, demandent au gouvernement de la CAQ d'appliquer la véritable laïcité de l'État et de mettre fin au financement public des écoles privées religieuses.
Dans son éditorial du 11 avril, Marie-Andrée Chouinard a tout à fait raison de se désoler qu’il faille encore aujourd’hui, et peut-être encore plus qu’hier, être extrêmement vigilant sur la défense de la laïcité dans le système scolaire.
Il n'y a pas que dans les grands centres que l'on retrouve des locaux de prière dans des établissements scolaires.
La prière n’a pas sa place à l’école. On n’aura pas fait 60 années de chemin laborieux mais constant pour sortir la religion de nos établissements d’enseignement pour voir la laïcité rognée dans les coins au sein de nos institutions publiques. Réaffirmer la laïcité de l’État, particulièrement à l’école, revêt une importance capitale.
À la suite de la déclaration du ministre Bernard Drainville qui enverra une directive visant à fermer le local de recueillement à l’école secondaire Mont-de-La Salle, le centre de services scolaire de Laval a indiqué que l'établissement scolaire s’y conformera.
La ministre Pascale Déry n’a pas l’intention, pour l’instant, d’envoyer une directive au sujet des salles de prière dans les cégeps et les universités.
Québec solidaire (QS) propose un virage à 180 degrés en matière de laïcité.
Un gouvernement dirigé par Dominique Anglade permettrait à nouveau le port de signes religieux chez les enseignants. La loi sur la laïcité s’appliquerait uniquement aux employés en position de coercition.
New study results exemplify a truth about discrimination: its consequences run deep and last long after the deed is done.
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Avec la loi 21 du gouvernement Legault, le Québec s’est doté d’une laïcité à géométrie hautement variable. Bref, une laïcité de façade. Aussi populaire soit cette loi chez une majorité de Québécois, ce constat, malheureusement, est indéniable.
Même si la laïcité a coûté des profs, le gouvernement Legault veut que l’interdiction de signes religieux continue de s’appliquer aux enseignants des écoles publiques.
Un organisme citoyen se tourne vers le tribunal pour qu’il contraigne les juges nommés par le gouvernement québécois à se conformer aux exigences de la Loi sur la laïcité de l’État, en vigueur depuis près de quatre ans.
Les écoles du Québec ne pourront plus dédier un local à des activités de prière.
Le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, a été clair : il veut interdire à toutes les écoles publiques du Québec d’aménager des salles de prière. La semaine dernière, il a promis d’envoyer une directive au réseau scolaire. Plus facile à dire qu’à faire ? Des experts se prononcent.
Quebec’s education minister recently announced that the provincial government is prohibiting the use of public school facilities for student-initiated prayer. The same day, the National Assembly unanimously passed a motion stating that providing places for prayer on public school premises goes against the principle of secularism.
La députée libérale de Saint-Laurent, Marwah Rizqy, affirme être d’accord avec la décision du ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, d’interdire les locaux de prière dans les écoles secondaires et primaires.
Contrairement aux écoles secondaires et primaires, le gouvernement provincial n'entend pas cesser l'utilisation de salles de recueillement dans les cégeps et les universités de la province.
Le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, a tranché : les écoles du Québec ne peuvent pas donner accès à des salles de « recueillement » où prier. Il enlève donc une patate chaude avec laquelle jonglaient plusieurs écoles de la région de Montréal.
Terminé, les salles de prières dans les écoles publiques au Québec. Le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, a annoncé mercredi qu’il enverra une directive en ce sens prochainement.
Tout en exprimant ses « inquiétudes » par rapport au projet de loi 96 adopté mardi par Québec, le ministre fédéral de la Justice, David Lametti, a annoncé mercredi que son gouvernement livrerait ses arguments contre la Loi sur la laïcité de l’État québécois devant la Cour suprême.
La moitié des élèves de certaines classes de niveau primaire et secondaire étaient absents, lundi, pour célébrer en famille l’Aïd-el-Fitr, la fête qui marque la fin du ramadan. Des absences qui relancent le débat sur les congés religieux dans le réseau de l’éducation, surtout à Montréal.
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