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Cette fois-ci, le débat porte sur la question suivante : l’immigration est-elle un peu, beaucoup ou passionnément responsable de la crise du logement qui sévit au Québec et, semble-t-il, dans d’autres provinces canadiennes ?
Réduire trop fortement l’immigration pour atténuer la crise du logement serait une erreur, prévient l’économiste en chef du Mouvement Desjardins, Jimmy Jean.
Engagez-vous, qu’ils disaient ! Ils sont des milliers d’immigrants à répondre présents au gouvernement Legault, qui souhaite les voir investir massivement nos classes de francisation.
Des fonctionnaires fédéraux ont averti le gouvernement du Canada il y a deux ans que de fortes augmentations de l’immigration pourraient affecter l’abordabilité du logement et les services, selon des documents internes.
Un haut dirigeant de la Banque du Canada a averti que la récente augmentation du nombre de nouveaux arrivants a fait grimper les prix des loyers et des maisons, ce qui ajoute à la pression sur l’inflation.
Arrivés dans le nord du Lac-Saint-Jean à l’automne 2022 pour mettre leurs compétences à niveau, 11 travailleurs africains composent la première cohorte. Fraîchement diplômés du Cégep de Saint-Félicien, ils ont intégré les équipes du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Rencontre avec ces travailleurs qui viennent donner une bouffée d’air frais au système de santé québécois.
Le gouvernement Legault a fixé le seuil à 50 000 immigrants permanents pour 2024 et 2025. Toutefois, il ajoute à ce nombre les étudiants étrangers francophones sélectionnés dans le cadre du Programme de l’expérience québécoise (PEQ).
Le ministre fédéral de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté, Marc Miller, élaborera une nouvelle politique d’immigration francophone hors Québec « pour accroître la vitalité des communautés francophones minoritaires ».
Le Canada est une destination de choix pour les étudiants internationaux. Le ministre de l’Immigration, Marc Miller, a déclaré que le Canada était en passe d’accueillir environ 900 000 étudiants internationaux en 2023.
Si l’immigration temporaire se poursuivait au rythme explosif de 2022, il y aurait de sérieuses conséquences sur l’économie, les finances publiques et la francisation, estime l’économiste Pierre Fortin. Mais tout le monde détourne le regard…
Il était pour le moins ironique d’entendre un porte-parole de l’Université McGill se plaindre de l’introduction dans le Programme de l’expérience québécoise (PEQ) d’un « système à deux vitesses » qui nuirait à son attractivité.
Francisation Québec, une initiative du gouvernement de la CAQ visant à centraliser les services d'apprentissage du français pour les immigrants, a été lancé le 1er juin dernier, avec l’objectif de simplifier l'accès à l'apprentissage du français, harmoniser les services entre les différents partenaires (organismes, écoles, etc.) et améliorer le service à la clientèle avec les nouveaux arrivants.
Les seuils d’immigration proposés par le gouvernement Legault menacent de faire exploser les délais des futurs résidents permanents dans la catégorie humanitaire.
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Depuis quelques années, les débats entourant l’immigration donnent lieu à une formidable guerre de chiffres. Au Canada, la joute oppose Ottawa à Québec, où on se dispute non seulement sur les cibles, mais aussi sur les responsabilités.
La population du Québec augmente actuellement d’un peu plus de 800 personnes par jour, montrent les données de Statistique Canada, qui suit l’évolution démographique du pays en direct à l’aide d’un algorithme, via son horloge démographique.
Ottawa va mettre en place une série de mesures pour appuyer l'immigration francophone à l'extérieur du Québec, tout en imposant un plafond au nombre d'étudiants étrangers qui seront acceptés au pays.
Le 30 novembre, lors de la 2e édition de la Soirée reconnaissance en immigration organisée par Saint-Hyacinthe Technopole, le Cégep de Saint-Hyacinthe recevait le prix Coup de cœur pour la mise en place d'un projet unique au niveau national : les projets Vecteur.
Ce devait être une simple formalité : renouveler un permis d’études. C’est devenu une autre histoire kafkaïenne, gracieuseté de la bureaucratie d’Immigration Canada.
La lourdeur bureaucratique d’Immigration Canada nuit à la réputation du Québec, désormais sur la liste noire dans les pays francophones, prévient une consultante en immigration.
Le gouvernement Legault dit maintenir les seuils d’immigration à son niveau actuel jusqu'en 2025, mais ouvre les vannes pour les étudiants étrangers francophones diplômés ici, qui viendront gonfler le nombre de nouveaux arrivants admis au Québec à au moins 56 500 par an.
Les travaux d'un comité qui avait pour mandat de donner des « avis ad hoc et confidentiels » au ministère de l'Éducation sont « dénués de nuances », font preuve d'une « vision étroite de la recherche scientifique » et ne tiennent aucun compte de « près de 40 ans de recherches menées au Québec » sur les élèves immigrants, dénoncent deux professeures chevronnées en sciences de l'éducation.
Recommencer sa vie à l’étranger vient avec son lot d’incertitudes, dont celle de se trouver un emploi. Les nouveaux arrivants n’apportent pas que leurs valises, mais aussi leurs expériences et leurs diplômes. Mais comment savoir si cette expertise sera utile ici? La démarche d’évaluation de la reconnaissance des acquis et des compétences (RAC) est une voie pour nombre d’entre eux.
Le mardi 3 octobre 2023 se déroulera à l’hôtel Bonaventure de Montréal, le 4e Sommet de l’immigration au Québec.
Ces semaines-ci se tient à Québec une commission parlementaire sur la planification de l’immigration au Québec pour la période 2024-2027.
CHÂTEAUGUAY, QC, le 31 août 2023 /CNW/ - Le gouvernement du Québec poursuit son objectif de favoriser davantage l'apprentissage du français chez les familles immigrantes.
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