Your new post is loading...
Your new post is loading...
Le Conseil régional de prévention de l'abandon scolaire (CRÉPAS) du Saguenay-Lac-Saint-Jean (SLSJ) est fier de dévoiler la nouvelle plateforme Web JeConcilie.com, un questionnaire d'autoévaluation interactif qui permet aux élèves, aux étudiantes et étudiants occupant simultanément un emploi, d'en apprendre davantage sur la qualité de leur conciliation études-travail.
Il y a quelque chose de l’aveuglement volontaire dans les dérogations à la pièce — certaines frontales, d’autres en creux — réclamées lors des consultations sur le projet de loi 19 sur l’encadrement du travail des enfants. Le ministre Jean Boulet a eu raison de manifester son agacement en rappelant que « la sécurité des jeunes » et « leur réussite éducative » doivent l’emporter sur la pénurie de main-d’œuvre.
La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) présente à l'Assemblée nationale le 18 avril son mémoire sur le projet de Loi n° 19 visant à encadrer le travail des enfants.
La Fédération des comités de parents du Québec (FCPQ) regrette que les parents ne soient pas invités au processus de consultations particulières dans le cadre du projet de loi 19 sur l'encadrement du travail des enfants. Ils déposeront tout de même leurs recommandations.
Vingt-neuf pour cent des jeunes de 12 à 16 ans au Québec occupent un emploi pendant l’année scolaire, selon un sondage Léger mené en début d’année, et les trois quarts d’entre eux le font pour payer des dépenses personnelles.
MONTRÉAL, le 18 avril 2023 /CNW/ - Le ministre du Travail, Jean Boulet, présentait dans les dernières semaines son projet de loi 19 pour mieux encadrer le travail des enfants. Depuis, certaines de ses mesures phares ont été applaudies dans la société civile, dont l'âge minimal pour travailler à 14 ans, sauf exception, et la limite de 17 heures de travail hebdomadaires pour les employé.e.s assujetti.e.s à l'obligation de fréquentation scolaire.
L a conciliation études-travail a toujours existé, et ce, même avant la pénurie de main-d’oeuvre. Ici, je n’apprends rien à personne. Le problème, c’est qu’aujourd’hui, les jeunes sont davantage courtisés par les employeurs; ils doivent affronter la hausse vertigineuse du coût de la vie, la pression sociale, et résister à des salaires plus alléchants dans certains secteurs.
Aujourd’hui, la pénurie de main-d’œuvre est un problème beaucoup plus gros dans la société québécoise, au point que bien des jeunes de 13-14 ans décident d’aller travailler pour gagner de l’argent. Comme à l’habitude, les gens trouvent le tour de se plaindre ou d’être en désaccord, car selon eux, ils sont trop jeunes pour travailler.
On dit que l’histoire ne se répète pas, mais qu’il y a des analogies, comme le démontrent les réactions au projet de loi du ministre Jean Boulet pour encadrer le travail des enfants.
Le projet de loi 19 sur l'encadrement du travail des enfants présenté mardi par le ministre du Travail, Jean Boulet, a suscité des réactions partagées dans le Bas-Saint-Laurent.
Présentement, 70 % des étudiants inscrits à l’Université Laval ont un emploi pendant leurs sessions. Et selon la rectrice Sophie d’Amours, ils travaillent trop. Malgré les besoins grandissants, les employeurs devraient donner la chance aux étudiants «de se rendre au bout» de leurs études, plaide-t-elle.
Dans le réseau scolaire, les inquiétudes sont grandes: le risque que le travail fait planer sur la réussite des élèves dès le début du secondaire est préoccupant et pourrait contribuer au décrochage chez les plus âgés, craignent des intervenants.
Occuper un emploi durant les études est bénéfique pour la majorité des élèves qui souhaite le faire. Cependant, le cumul des études et du travail peut avoir d'importantes conséquences négatives sur la réussite éducative et la santé des jeunes lorsque certaines conditions ne sont pas respectées. Ces différents aspects du travail des jeunes sont présentés dans le nouveau dossier thématique de Réseau réussite Montréal, publié dans la foulée du lancement de la 13e édition montréalaises des Journées de la persévérance scolaire.
|
Oui, les enfants ont le droit à l’éducation, mais ils ont aussi le droit au travail. C’est une proposition qui dérange.
MONTRÉAL, le 20 avril 2023 /CNW/ - La Fédération autonome de l'enseignement (FAE) salue le dépôt du projet de loi 19 sur l'encadrement du travail des enfants, mais elle estime que le ministre du Travail, Jean Boulet, ne va pas assez loin. Jeudi prochain, en commission parlementaire, elle lui demandera de réduire de 17 à 10 heures le nombre d'heures qu'un élève peut travailler par semaine et de limiter à 4 le nombre d'heures travaillées en semaine, soit du lundi au vendredi.
La Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (FCEI) présente le 18 avril son mémoire dans le cadre des consultations particulières et auditions publiques du projet de loi 19, Loi sur l'encadrement du travail des enfants. Pour ce sujet délicat, il est important d'emprunter une démarche constructive, documentée et bienveillante. Aussi, la FCEI soumet cinq recommandations afin d'agir en faveur du bien-être et du développement des jeunes.
Dans le but d'encourager la lecture chez les jeunes et l'accès aux livres d'ici, le gouvernement du Québec annonce l'attribution d'une somme annuelle de 300 $ par enseignante et enseignant pour garnir les bibliothèques de classe de livres québécois. Des investissements de 55,6 millions de dollars d'ici l'année 2027-2028 permettront la mise en place de cette mesure. Le ministre de l'Éducation, M. Bernard Drainville, en a fait l'annonce le 18 avril.
Le nombre d’accidents de travail chez les enfants de 14 ans et moins a explosé. Il y en a sept fois plus qu’en 2017, ce qui fait dire au ministre Jean Boulet qu’il est capital de mieux encadrer la place des jeunes au boulot.
À l’entrée en vigueur du projet de loi 19, qui interdira aux jeunes de moins de 14 ans de travailler, certains secteurs s’ennuieront de cette jeune main-d’oeuvre pendant les quarts de travail.
La liste des employeurs qui pourront embaucher des jeunes de moins de 14 ans s’allongerait. « La porte n’est pas fermée », admet le ministre du Travail Jean Boulet, à l’aube des consultations sur le projet de loi pour encadrer le travail des enfants.
Un des trois candidats au rectorat de l’UQAM, l’économiste Stéphane Pallage, a-t-il défendu, dans un article scientifique, les « pires formes » du travail des enfants ?
En réponse au dépôt du projet de loi 19 visant à mieux encadrer le travail des enfants au Québec, la Table Éducation Outaouais (TÉO) tient à souligner la nécessité de mieux encadrer le travail des jeunes et, par le fait même, à souligner le courage du gouvernement du Québec d'allant de l'avant avec des propositions audacieuses dans le contexte de la rareté de main d'oeuvre sans précédent que nous connaissons dans la région et partout au Québec.
L’âge minimal pour travailler devrait être fixé à 14 ans au Québec et les jeunes de moins de 16 ans ne pourront se rendre au boulot plus de 17 heures par semaine durant l’année scolaire. Il n’y aura pas d’exception pour les secteurs de la restauration et du commerce de détail, a appris Le Journal.
À quelques jours du dépôt d’un projet de loi à Québec pour « mieux encadrer le travail des jeunes », La Presse vous raconte l’histoire tragique de Danick. À 16 ans, sa vie a basculé lors d’un accident de travail. Même si l’issue n’est pas toujours aussi dramatique, l’adolescent est loin d’être le seul. Les blessures au travail chez les jeunes ont explosé depuis 10 ans.
Le Collège d’Alma a lancé, plus tôt cette semaine, une plateforme dédiée à la recherche et la diffusion d’emplois étudiants pour sa communauté. De cette façon, l’institution peut en profiter pour faire de la sensibilisation auprès des entreprises et des étudiants sur les enjeux liés à la persévérance scolaire.
|