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Au Québec, une deuxième résidence pour étudiants et étudiantes autochtones vient d’être inaugurée à Trois-Rivières. Bien plus qu’un simple logement, ce milieu de vie a pour objectif de briser l’isolement et de lutter contre le décrochage scolaire.
Étudier non loin de sa communauté, mais être incapable de comprendre les cours proposés. Se retrouver au milieu de nouveaux arrivants qui découvrent le pays alors que l’on est né ici. Bien des Innus vivent un réel choc linguistique lorsqu’ils quittent leur communauté après le secondaire et rejoignent un cégep.
Bien que les étudiants autochtones des cégeps anglophones soient dorénavant exemptés de l’épreuve uniforme de français, la loi 14 – qui découle de l'adoption du projet de loi 96 – est une entrave pour l’apprentissage de leur langue ancestrale, clame une professeure mohawk.
Le Cégep de l’Outaouais et le Centre d’Innovation des Premiers Peuples sont heureux d’annoncer la signature d’un partenariat unique d’une durée de dix ans entre les deux organisations qui vise notamment à permettre aux Autochtones d’être exposés à différents choix de carrières reliées à la nouvelle économie numérique.
Des étudiants de Pessamit et Montréal n’ont pas eu besoin de Wi-Fi pour connecter et tisser des liens d’amitié. Au contraire, leur échange interculturel a été bonifié par l’absence de réseau cellulaire en plein cœur du territoire du Nitassinan.
Le Collège est fier de pouvoir souligner le parcours exceptionnel d'une étudiante inuk, Louisa Papigatuk Argun. Originaire de Salluit, au Nunavik, elle a fait le grand saut pour venir étudier au Collège Montmorency afin d'apprendre un métier qui la fait rêver : celui de prendre soin de la santé des gens.
Les cultures autochtones étaient à l'honneur jeudi à l'école des Quatre-Vents de Chicoutimi-Nord.
L'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) innove avec une nouvelle formation en études autochtones qui sera offerte dès l'automne prochain.
Le slogan de la Déclaration de Los Pinos pour la Décennie des langues autochtones, « Rien pour nous sans nous », implique qu’aucune politique ne devrait être décidée sans la participation des personnes concernées. C’est aussi la devise du colloque de l’Acfas Langues autochtones : au présent et au futur, qui est axé sur ces langues qui survivent tant bien que mal à la pression exercée par les langues dominantes.
ODANAK, QC , le 1er mai 2023 /CNW/ - C'est avec beaucoup de fierté et d'enthousiasme que Kiuna, le seul centre d'études collégiales destiné aux membres des Premières Nations au Québec, lance ses bourses Kinosalwaw8gan.
Les écoles publiques de l'Ontario ont fait d'importants progrès en matière d'enseignement autochtone au cours de la dernière décennie, selon un nouveau rapport.
Deux organisations représentant les Premières Nations demandent à la Cour supérieure d’invalider de larges pans de la loi 96 sur la protection du français, puisque celle-ci met en péril « la survie culturelle et économique des Premières Nations ».
Le Collège Ahuntsic est fier d'accueillir des membres de la nation innue dans le cadre du programme Sous le shaputuan, offert par l'Institut Tshakapesh. Du 17 au 21 avril prochain, un shaputuan, campement traditionnel innu, sera érigé devant le Collège près de l'entrée du 9155 rue Saint-Hubert.
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Des ministres, des étudiants et des aînés se sont rassemblés lundi pour inaugurer la résidence pour étudiants autochtones Nutshimit au Cégep de Sept-Îles.
De nombreuses activités auront lieu cette semaine dans différents cégeps du Saguenay–Lac-Saint-Jean afin de souligner la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, et de rendre hommage aux survivants des pensionnats autochtones, aux enfants qui n’ont jamais pu retourner chez eux et à toute la communauté.
Le Musée ilnu a été le théâtre de discussions entre des acteurs clés en éducation des communautés de Mashteuiatsh et d’Opitciwan ainsi que des représentants des établissements secondaires, collégiaux et universitaire du Saguenay–Lac-Saint-Jean, jeudi.
Le Collège Ahuntsic organise chaque année un voyage immersif dans le Nitaskinan, territoire traditionnel Atikamekw.
Un dictionnaire thématique français-atikamekw a été lancé cette semaine à l'occasion de la Journée nationale des peuples autochtones, fruit de la collaboration entre une professeure de l'Université Carleton et le Conseil de la Nation Atikamekw (CNA).
Le Collège Ahuntsic, qui compte 101 étudiants autochtones sur quelque 9000 élèves, entreprend un processus d’autochtonisation depuis près de 15 ans.
Le gouvernement du Québec souhaite créer une exception dans sa nouvelle loi sur la langue française pour les étudiants autochtones répondant à certaines conditions.
Des étudiants et des employés du Cégep John Abbott ainsi que des invités spéciaux se sont réunis sur le campus le 11 mai 2023, pour la cérémonie d'accueil et de bénédiction du jardin et de la microforêt des Premiers Peuples.
Ils ont plus ou moins le même âge. Ils sont étudiants de niveau collégial. Ils vivent au Québec. Pourtant, des mondes les séparent.
La visite du ministre responsable des Relations avec les Premières Nations et les Inuit, Ian Lafrenière, prévue à Val-d’Or lundi est attendue de pied ferme. Il est de passage dans le cadre des consultations publiques sur les langues autochtones.
L'Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador (APNQL) et le Conseil en Éducation des Premières Nations (CEPN) ont annoncé le 20 avril le dépôt d'une contestation judiciaire devant la Cour supérieure du Québec à l'égard de la Loi sur la langue officielle et commune du Québec, le français. La demande de contrôle judiciaire vise 14 articles de la Charte de la langue française.
QUÉBEC — Devant la « désinvolture » du gouvernement Legault, l’Assemblée des Premières Nations du Québec-Labrador (APNQL) conteste la loi 96 sur la protection du français devant les tribunaux. La loi caquiste porte « atteinte aux droits ancestraux » des Premières Nations, selon elle.
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