Alors que la concentration des terres agricoles françaises est déjà bien entamée (50 % des terres cultivées sont aux mains de 10 % des exploitants), les investisseurs étrangers arrivent. Ils cherchent à assurer leur approvisionnement en matière première, ou attendent une hausse des prix du foncier avec l’expansion des villes. C’est l’entreprise chinoise Synutra qui investit dans le lait breton, ou les capitaux russes dans les vignobles bordelais. A la clé, une concentration plus forte des terres, et un pas de plus vers l’industrialisation de l’agriculture.