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Les phtalates sont une famille de produits chimiques qui sont utilisés quotidiennement. Dans une nouvelle étude, les chercheurs ont étudié comment ces composés affectent le développement des tissus dans les systèmes reproducteurs des souris femelles.
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Phtalates, bisphénols, parabènes… Les « perturbateurs endocriniens » se retrouvent dans la plupart des produits industriels courants. Que sait-on exactement de leur toxicité ? Comment la France et l’Europe surveillent-elles leurs effets ?
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Bisphénols, phtalates, pesticides, résidus de produits pharmaceutiques… Autant de perturbateurs endocriniens accusés d’être responsables de la baisse de la fertilité, de l’autisme, de l’obésité, des cancers et autres pathologies. À l’heure où la Commission européenne s’apprête à légiférer sur le sujet, la conférence fera un point objectif sur ces questions. Une conférence à réécouter, donnée dans le cadre des Mardis de l'espace des sciences.
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Conférence / débat « Polluants du quotidien, origines, impacts et solutions » Bisphénol A, phtalates, parabens, résidus de médicaments, pesticides, métaux lourds, nous sommes en permanence soumis à des polluants chimiques de toutes sortes. Quelles sont leurs origines ? Quel sont les effets de ces polluants de notre quotidien sur notre santé et celle des écosystèmes ? Quelles solutions et alternatives ? 26 octobre 2017 de 18 h à 20 h, Alixan (Valence TGV).
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The Committee for Socio-Economic Analysis (SEAC) adopted their opinions on two restriction proposals on four phthalates (DEHP, DBP, DIBP and BBP) in articles and on TDFAs in sprays used by the general public. The committee also agreed on 14 draft opinions on 10 applications for authorisation and adopted one final opinion.
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Un arrêté paru dans le « Journal Officiel » du 21 avril fixe les niveaux de concentration en di-(2-éthylhexyl) phtalate (DEHP) au-dessus desquels l'utilisation de tubulures en comportant est interdite dans les services de pédiatrie, de néonatalogie, et dans les maternités. Le DEHP, utilisé dans les tubulures pour donner plus de souplesse au plastique, est classé en catégorie 2 (forte présomption d'effet) sur l'échelle européenne de 3 niveaux des produits cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction.
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This document defines the phthalate ester category and summarizes key scientific information on those substances. This report is the result of a review of phthalate esters by the TURA Science Advisory Board (SAB) in response to a request by MassDEP. This report has three main sections. The first section reviews the history and definition of the phthalate ester category. The second section summarizes the scientific information reviewed by the TURA SAB, including scientific information on ortho, meta, and para phthalates and cumulative and low dose effects. The third part was prepared by TURI and discusses the policy context, such as information on substance identification, uses, substitution, and interchangeability.
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The Committee for Risk Assessment (RAC) and the Committee for Socio-Economic Analysis (SEAC) agreed on a restriction proposal on four phthalates (DEHP, DBP, DIBP and BBP) in articles and on TDFA in sprays used by the general public. The committees also agreed on 19 draft opinions and adopted three final opinions on applications for authorisation.
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Un nouveau site pour une information élargie à de nouvelles substances « Chères lectrices, chers lecteurs du SNA Substitution, Nous vous annoncions dans la précédente newsletter de Septembre 2016 un élargissement du site vers de nouveaux produits chimiques. C’est désormais chose faite : le SNA a changé d’aspect pour vous offrir, en plus de celles consacrées aux bisphénols, de nouvelles pages d’information sur les alternatives aux phtalates […]. »
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Au sommaire : les agents chimiques
« Les Traitements anticancéreux : prévention du personnel de santé et impact sur l'environnement » (Laetitia Le, Éric Caudron).
« Exposition environnementale et conséquences sur la santé humaine » (Patrick Thonneau).
« Interactions entre retardateurs de flamme bromés et environnement maternel, nutritionnel ou animal » (Mireille Defranceschi).
« Exposition in utero aux phtalates, restriction de la croissance fœtale et mécanismes physiopathologiques potentiels » (Cécile Marie, Françoise Vandittelli, Marie-Pierre Sauvant-Rochat).
« Effets de l’exposition simultanée à l’arsenic et à trois métaux lourds toxiques en faibles concentrations dans l'eau de boisson » (Radhouane Chakroun).
« Impact de certains composants environnementaux sur les cellules germinales » (Célia Ravel).
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L'ECHA et les États membres ont évalué les besoins réglementaires de groupes de substances dans le but d'accélérer les mesures réglementaires sur les substances chimiques préoccupantes, de protéger les personnes et l'environnement et d'éviter les substitutions inopportunes. Parmi les premières évaluations publiées figurent quatre groupes de phtalates et de substances analogues aux phtalates qui ont été évalués en tant que groupe en raison de leurs propriétés reprotoxiques, perturbatrices endocriniennes ou persistantes, bioaccumulables et toxiques (PBT) potentielles.
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ECHA has submitted a recommendation to the European Commission to amend Authorisation List (Annex XIV of REACH) entries by adding the endocrine disrupting properties of four phthalates. Once the Commission decides on the amendment, some previously exempted uses will require authorisation.
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Women of reproductive age could be exposing themselves to harm by working on retail cosmetics and perfume counters. Researchers found higher levels of phthalates in these workers in Taiwan and warn that this can pose health risks, particularly for pregnant women.
Phthalates are a class of compound added to plastics to introduce flexibility and put in cosmetics as carriers for fragrances. Several phthalates have been listed as endocrine disruptors and attention has focused on their potential cumulative effects on reproductive health.
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Utilisés, entre autres, comme plastifiants dans les produits du quotidien, les phtalates sont classés comme perturbateurs endocriniens pour leurs effets délétères sur le développement de l’appareil reproducteur masculin, chez les rongeurs comme chez l’homme.
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Plusieurs publications récentes ont mis en évidence la possible contamination par des produits chimiques de type « perturbateurs endocriniens », via l’usage de produits cosmétiques et de soins cutanés dans la population féminine, et plus particulièrement chez les adolescentes.
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Wastewater-based epidemiology could help pinpoint problem spots for phthalates Our plastics are rubbing off on us. Endocrine-disrupting compounds called phthalates, used to make polymer resins softer and more flexible, leach from many plastics and cosmetic products. The compounds end up in our bodies when they are consumed, absorbed through the skin, or inhaled. Now researchers are trying to estimate phthalate exposure on a community level by sampling wastewater for metabolites of the compounds excreted in people’s urine (Environ. Sci. Technol. 2017, DOI: 10.1021/acs.est.6b05612). The application is still in its early stages and needs refinement before it can be used with accuracy, scientists say.
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Paris / Rennes - Du bisphénol A aux phtalates, les perturbateurs endocriniens sont de plus en plus redoutés. Mais comment mesure-t-on leurs effets sur le vivant ? Et comment la recherche permet-elle de s'en préserver ? Venez le découvrir lors de la prochaine conférence «Santé en questions», gratuite et ouverte à tous.
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L’information n’a pas fait l’objet d’un traitement médiatique important, pourtant elle mérite d’être largement relayée : l’Union européenne vient de classer perturbateurs endocriniens (PE) pour l’être humain quatre phtalates (plastifiants) : le DEHP, le DIBP, le DBP et le BBP. C’est la première fois que des substances sont classées perturbateurs endocriniens pour l’être humain.
Les autorités danoises, dont l’Agence de protection de l’environnement a œuvré depuis des années pour ce classement, se sont réjouies de la nouvelle. Une bonne nouvelle, alors qu’une réunion décisive pour l’adoption de critères de définition des perturbateurs endocriniens est prévue ce 28 février.
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L’Anses publie ce jour les résultats de son expertise sur les risques sanitaires liés à une exposition orale à plusieurs substances chimiques présentes dans des jouets et équipements en matière plastique, pouvant être mis à la bouche par des nourrissons et des enfants de moins de 3 ans.
L’Agence ne met pas en évidence de risque pour la santé des enfants pour quatre des substances étudiées qui sont des substituts de phtalates (DINCH, DEHTP, ATBC et TXIB).
L’Agence recommande toutefois qu’une évaluation des risques soit conduite systématiquement, préalablement à leur mise sur le marché, pour toute substance nouvelle entrant dans la composition des plastiques utilisés dans les jouets et équipements destinés aux enfants.
Elle engagera prochainement une évaluation des risques sanitaires cumulés liés à l’exposition des enfants à certains phtalates classés toxiques pour la reproduction, prenant en compte plusieurs voies d’exposition (articles de consommation, air, poussières, alimentation, etc.).
Si l'exposition des salariés au formaldéhyde, au plomb, aux huiles minérales entières, aux gaz d'échappement diesel, à l'amiante et aux poussières de bois a diminué, elle a toutefois fortement augmenté pour les phtalates et plus légèrement pour la...
Via PierreYves Montéléon
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Article en anglais.