Participation citoyenne
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Infos sur les expériences de démocratie participative ainsi que sur les nouvelles pratiques participatives, en ligne et IRL
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La Personne et le Territoire : la pensée du Bien commun par des intellectuels et praticiens.


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Bien commun, Global/Local : Les Personnes au-delà des Ressources

Définition du Bien commun (philosophie, économie, droit, sciences politiques, sociologie) Interrogation sur les théories existantes sur la gouvernance des biens communs (ressources matérielles ou immatérielles) : Garett Hardin, Elinor Ostrom, Peter Samuelson, Mancur Olson 

Critique de l'homoeconomicus et de l'économie orthodoxe (économétrie). 

Questions quant à la démocratie réelle (au-delà de la démocratie participative ou représentative), au Droit (nouvelles formes de droit), et l'économie (antuutilitarisme, économie hétérodoxe, place du non-mesurable, sensible, culturel...)


Via COMMON GOOD FORUM, association concert urbain, Bernard BRUNET
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Agir par le bien commun, une nouvelle approche économique

Agir par le bien commun, une nouvelle approche économique | Participation citoyenne | Scoop.it

Agir par le bien commun, une nouvelle approche économiquePublié le : 27 mars 2015Tags: économie

Les biens communs sont des ressources matérielles ou immatérielles que l’on considère indispensables à la vie de tous. Le Labo de l’économie sociale et solidaire publie ce mois-ci une réflexion sur les clés politiques qu’offre cette notion pour gérer ce qui échappe – ou devrait échapper – au marché.

L’analyse de la gouvernance économique et des biens communs a refait surface en 2009. Elinor Ostrom et Olivier Williamsom recevaient alors le « prix Nobel » d’économie en soutenant qu’à côté de la gestion par des droits de propriété individuels ou par l’État, il pouvait exister un troisième cadre institutionnel efficace dans lesquels des communautés géraient collectivement des biens communs.

L’économie sociale et solidaire, qui refuse de ne voir dans l’être humain qu’un simple individu rationnel et isolé, est en mesure de fournir un échappatoire à cette lecture libérale. « Agir par le bien commun suppose de reconnaître la dimension relationnelle des hommes, entre eux et avec leur environnement. Contrairement au libéralisme juridique qui cherche à protéger l’individu dans la société par le droit (…), l’homme n’est plus considéré comme un simple individu, mais plutôt comme une personne, un être communautaire doué d’affect, de spiritualité et d’imagination», explique Violaine Hacker, consultante en politique publique.

Le numérique, par l’abondance des contenus et des contributeurs en mesure de mettre en ligne ces contenus et de les échanger, appuie cette approche. Les modes de production basés sur une simple propriété privée tendent à s’effacer. Et les acteurs de l’innovation sociale, en s’emparant du numérique, créent de nouveaux biens communs : des ressources cognitives, des lieux virtuels, des solutions open sources. Penser par le bien commun consiste à « adopter une logique de construction dynamique où chacun apporte son expérience personnelle plutôt que de fixer de façon statique des interdits (violation des droits fondamentaux) et des possibilités (égalité des chances dans la diversité des talents) », résume l’auteure.


Via COMMON GOOD FORUM
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