Critique:
Formé au documentaire institutionnel ou télévisé sur des sujets en majorité militaires, Gabriel Le Bomin use partiellement de l’inspiration historique issue de ses recherches dans ce premier long-métrage de fiction, un drame psychologique évoquant les traumatismes engendrés par la Première Guerre mondiale. À partir du cas du jeune poilu Antonin, revenu des tranchées dans un état de mutisme presque complet et soigné à la clinique du Pr Labrousse, il propose une vision intimiste du conflit..)