Riccardo Petrella, insiste ici sur le fait que les pauvres sont en réalité des appauvriEs et que la pauvreté est le résultat d'un processus d'appauvrissement.

Par la suite, il enchaîne sur ce qu'il nomme les « fabriques de l'appauvrissement ».

Parmi elles, il y a celle de l'inévitabilité de la pauvreté : « il y en a toujours eu et il y en aura toujours ». Elle a comme effet « d'individualiser » la pauvreté dans nos têtes : ce serait de la faute des personnes si elles sont pauvres, tout comme ce serait le mérite des personnes riches d'avoir fait des efforts pour le devenir