Le 27 mars 2015, les agences d’acquisition des ministères de la Défense français et britannique, respectivement la Direction générale de l’armement (DGA) et DE&S, ont notifié le contrat « Maritime Mine Counter Measures » (MMCM).
Cette notification est le résultat d’un dialogue compétitif conduit par l’OCCAR (Organisation conjointe de coopération en matière d’armement). Ce contrat est attribué à Thales associée à BAE Systems avec parmi les sous-traitants français le groupe ECA. Il permet à la France et au Royaume-Uni d’initier conjointement le développement d’une nouvelle capacité stratégique et interopérable entre nos deux marines, tout en maintenant leur industrie au meilleur niveau mondial dans le domaine de la lutte sous-marine.
Le contrat notifié au consortium industriel porte sur la définition, la réalisation et la qualification de deux prototypes d’un système de drones navals, de surface et sous-marins, d’ici 2019. Ils seront mis en œuvre à partir d’un « bateau mère » ou depuis la terre. Les évaluations seront conduites par la Marine nationale et la Royal Navy. Par comparaison aux chasseurs de mines actuels, le système permettra de maintenir l’homme en dehors de la zone de danger.
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On peut signaler que l'US Navy s'est lancé depuis quelques années dans un programme de drones spécialisés guerre des mines, éléments du Mission Package MCM des frégates LCS :
Il équipera l’avion de patrouille maritime français Atlantique 2 dans le cadre de sa rénovation, tout en étant proposé à l’export. Thales a dévoilé son nouveau radar aéroporté multirôle, le Searchmaster. Prévu pour équiper des avions de surveillance du sol et de patrouille maritime, des hélicoptères mais aussi des drones de type MALE, puisque son poids est inférieur à 80 kg, ce radar s’appuie sur la technologie des antennes actives. Thales a, bien entendu, profité des récents développements réalisés en la matière pour le radar RBE2 AESA, qui équipe le Rafale depuis 2012. Par rapport à un radar classique, l’antenne active apporte des avantages significatifs. En plus de sa portée, de l’ordre de 200 nautiques, le radar présente un temps de rafraîchissement très bref et réalise des fauchées, offrant une vue complète depuis l’aplomb de l’aéronef jusqu’à la limite de la portée du radar. A l’instar de ce qui se pratique avec les sonars à ouverture synthétique, comme le DUBM-44 (T-SAS) de Thales, le Searchmaster, également à ouverture synthétique (SAR), pourra produire une véritable imagerie radar, avec un niveau de résolution extrêmement élevé. Un atout considérable, notamment pour la détection à grande distance (plusieurs dizaines de kilomètres) de mouvements au sol, provenant par exemple de véhicules ou d’individus. Une fonction GMTI (Ground Moving Target Indicator) qui permet de facto de réaliser aussi une désignation d’objectifs au sol. C’est d’ailleurs l’un des grands besoins exprimés par l’Etat-major des armées françaises, l’Atlantique 2 jouant désormais un rôle important dans ce domaine. En plus de leur emploi maritime, les appareils de la marine sont de plus en plus sollicités sur les théâtres d’opérations terrestres afin d’effectuer des missions de renseignement, de reconnaissance et de repérage de cibles, au profit notamment des avions de combat. On a ainsi vu les ATL 2 intervenir en Libye (2011), au Mali (2012) ou encore en Irak cette année.
Le groupe français Thales a indiqué le 26 février que son bénéfice opérationnel devrait augmenter de 15% en 2015, sous l'effet conjugué d'un retour aux profits de sa filiale DCNS et de ses économies. L'équipementier spécialisé dans l'aérospatiale, la défense et la sécurité précise également dans un communiqué anticiper pour cette année une légère progression de son chiffre d'affaires grâce à la hausse de près de 20% de ses prises de commandes en deux ans.
Thales s'attend à ce que ses prises de commandes se maintiennent à un "niveau élevé" en 2015, avec une croissance dans les pays émergents....
...Retour dans le vert pour DCNS
Thales a réalisé un chiffre d'affaires de 12,974 milliards d'euros, en hausse de 2% en données publiées, mais en recul de 1% sur une base organique, au-dessus du consensus Thomson Reuters I/B/E/S. qui s'établissait à 12,872 milliards. Son bénéfice opérationnel de 985 millions d'euros, en ligne avec les attentes, donnant une marge en recul de 0,4 point à 7,6%. En excluant la contribution du constructeur naval militaire DCNS, consolidé à hauteur de 35%, la marge opérationnelle de Thales ressort toutefois en hausse de 0,9 point à 8,5%.
DCNS a annoncé le 24 février qu'il comptait retrouver un bénéfice net en 2015 après une perte nette de 336 millions d'euros en 2014 entraînée par des provisions sur plusieurs contrats. Pour 2015, Thales table sur un bénéfice opérationnel de 1,130 milliard à 1,150 milliard d'euros, soit une hausse d'environ 15% au taux de change actuel.
Le groupe confirme aussi viser pour 2017/2018 une marge opérationnelle comprise entre 9,5% et 10%, accompagnée d'une hausse "modérée" de son chiffre d'affaires. L'action a clôturé en baisse de 0,44% à 51,55 euros le 25 février, donnant une capitalisation de 10,66 milliards. Elle a regagné 14,6% depuis le début de l'année après avoir perdu 3,9% en 2014.
Le constructeur naval DCNS a plongé dans le rouge en 2014, enregistrant une perte nette de l’ordre de 300 millions d’euros. Le groupe Thales, actionnaire à hauteur de 35 % de DCNS, l’a annoncé le vendredi 23 janvier dans un communiqué. Coté en bourse, l’électronicien est dans l’obligation légale d’alerter ses actionnaires sur une situation qui va peser sur ses propres comptes.
Ces pertes, les premières depuis la privatisation de 2003, sont considérables pour le groupe DCNS puisqu’elles représentent près de 10 % du chiffre d’affaires. Pour mémoire, le chiffre d’affaires 2013 de l’industriel naval s’est établi à 3,3 milliards d’euros avec un bénéfice opérationnel de 166 millions d’euros (5 % du chiffre d’affaires).
« Les difficultés se concentrent dans les activités de diversification dans l’énergie, essentiellement dans le nucléaire civil, ainsi que sur certains programmes navals », précise Thales. Ces difficultés ont été mises au jour par une série d’audits menés au cours des derniers mois. Elles vont conduire DCNS à passer des provisions pour pertes dont le montant n’est pas encore connu. « Le conseil d’administration les validera à la fin février », indique DCNS, contacté par le marin.
Dans les activités d’énergie nucléaire civile, DCNS est notamment victime de l’ampleur des difficultés d’exécution dans la construction du réacteur de recherche Jules Horowitz pour le Commissariat à l’énergie atomique. DCNS est chargé de la réalisation de différents lots, dont la ventilation. Le chantier a démarré en 2007 à Cadarache, mais la mise en service de l’équipement n’est désormais plus envisagée avant 2020. La situation conduit aujourd’hui à revoir significativement à la hausse le coût final.
La Russie a arrêté de payer ses BPC
Sur les programmes navals, les audits ont mis en évidence une augmentation des coûts finaux, « tout particulièrement sur le programme de sous-marins nucléaires d’attaque Barracuda pour la France ».
Trois sous-marins Barracuda sont actuellement en cours de construction à Cherbourg. DCNS reconnaît un « problème de maîtrise des coûts et des délais » alors que le programme Barracuda est entré dans sa phase d’industrialisation. En revanche, l’industriel naval dément tout problème de « maîtrise technique » du programme.
Le contrat des BPC russes constitue un autre facteur négatif qui pèse sur les comptes de DCNS, même si le communiqué de Thales ne le mentionne pas. Chez DCNS, on confirme un « arrêt des paiements de la Russie », sans indiquer à quand il remonte.
Malgré tout, le chantier du BPC Sébastopol se poursuit chez STX France, sous-traitant de DCNS, à Saint-Nazaire. Ce qui se traduit déjà par un coût pour DCNS. Quant à la non-livraison du BPC Vladivostok, elle entraîne aussi des dépenses non prévues de gardiennage et de maintenance...
Yestserday, at the Gdynia Navy Shipyard, hull of the “Ślązak” class patrol vessel has been test-launched.
According to the official press release “one of the aims of the launching operation was to verify the current weight of the vessel via a capacity test, and to prepare the ship for installation of the propellers”.
Launching was carried out by getting the vessel out of the dock and mooring it at the southern pier. Later the dock-support has been changed into so called “second variant of docking”, and the hull was inserted into the dock again. Nothing surprising happened during the operation, and, what is even more important, the ship stays on the surface of the water, as expected.
Data on completeness of works
According to the information released by the Navy Shipyard on occasion of the launch, the machinery in the “Ślązak’s” engine room has been 90% complete (including: the engines, gearbox, turbine, electric energy generating devices, pumps, compressors, shafts, artillery equipment supports), structural mounts for the systems have gained 80% degree of readiness, while the hull completion status is claimed to be at the stage of 98%. It is estimated that the vessel weighs ca. 1700 tonnes.
What is more, an Organization – Preparation Group selected from the Combat Vessels Squadron takes part in the process of constructing the new patrol vessel (according to the Regulations of Service for the Navy Vessels). At the moment that group consists of 20 persons. What is more, specialized training programme has been started in November this year, by the suppliers of equipment. Future crew of the vessel is to take part in that training. Commander of the future vessel has also been selected – ex-commander of the Missile Vessel, ORP Grom – Commandor 2nd Lieutenant Sebastiana Kała.
„Ślązak” - what will it be?
Ślązak is to be a patrol vessel based on the Gawron corvette. Difference is, that Ślązak will not be equipped with the ASW systems and weaponry, it will also not be equipped with anti-ship missiles and surface to air missiles other than Grom MANPADS.
Current tasks to be fulfilled by this vessel include:
Destroying naval and aerial targets, smaller vessels and asymmetric threats;
Patrolling and protecting sea communication routes and harbour approach paths;
Escorting and protecting commercial vessels;
Monitoring sea routes, as an element of international forces;
Anti-pirate operations;
Providing support and cooperating with Special Forces;
Functioning as an ad hoc base for helicopters;
Taking part in humanitarian and environment-protection operations.
Standard displacement mass of the vessel is to be as much as 1800 tonnes, total length – 95.2 m, width – 13.5 m, height to the level of the board – 9.35 m, displacement – 3.6 m. The ship is to be able to operate autonomously for a period of 30 days.
Mixed propulsion system consists of 2 main engines (power output: 2 x 3240 kW) and a turbine, maximum power of which is to be as much as 25 000 Kw. All that is to allow the ship to reach speeds of up to 30 knots. Range of the vessel – 2000 NM at at 18 knots and 4500 NM at 14 knots. Ship’s power plant is equipped with 4 generators, 600 kW each. Additional equipment includes bow azimuth thruster, which improves manoeuvrability, and active stabilizers, which improve comfort for the crew.
The vessel command system is to be supplied by the Thales company. Armament - OTO Melara 76 mm cannon, 2 MARLIN – WS 30 mm cannon, 4 GROM missile launchers and 4 .50 cal. heavy machine guns.
Patrick H. 's insight:
En décembre dernier, la Pologne avait décidé de reprendre la construction de ce projet jadis inachevé avec le soutien de Thalès :
Thales has introduced its new Searchmaster airborne multirole surveillance radar, which will be supplied to the French navy for its Atlantique 2 (ATL2) maritime patrol aircraft upgrade programme.
The active electronically scanned array radar will be integrated into 15 of the Dassault-built aircraft. French defence procurement agency DGA announced the upgrade programme in October 2013, with the aim of extending the life of the aircraft out to the 2030s.
“The surveillance radar is part of the upgrade package,” armament chief engineer Patrick Aufort, manager officer for mission aircraft at the DGA, said during the launch at the Euronaval exhibition in Paris. “The French navy needs to improve the detection of small targets in high sea states and its coastal surveillance.”
France requires the radome for the ATL2 upgrade have the same form factor as the previous mechanical radar used on the aircraft, as well as having the ability to carry out multiple roles.
“Thales was the only one to meet our goal,” Aufort says. In addition to the radar, the ATL2 upgrade also includes an electro-optic modification and computer and console modernisation.
Aufort adds that the development of the Searchmaster benefits from research studies funded partly by the DGA and partly by Thales: “The DGA is really convinced that Searchmaster demonstrates that research between the DGA and industry shows that studies can become real and relevant equipment.”
Flight testing is expected to begin in 2016, with deliveries in 2018. The International Traffic in Arms Regulations-free radar will be available for export deliveries in 2017.
The “5-in-1” X-band radar provides capabilities in five key areas: anti-submarine warfare, anti-surface warfare, maritime surveillance, ground surveillance and mapping and tactical air support. The technology derives from that developed for the Dassault Rafale combat fighter.
The Searchmaster has a 360˚ view and a 200nm (370km) range. It can also be used on unmanned air vehicles, which Pierrick Lerey, director of strategy, intelligence, surveillance and reconnaissance at Thales, says the company is actively pursuing – in particular medium altitude, long-endurance systems.
“We are already having discussions with UAS providers,” Lerey says. “We can see this flying on a [Elbit Sytems] Hermes 900, for example.”
The radar would also be suited to lighter-than-air systems, he adds. The company hopes to announce further contracts for manned or unmanned aircraft by the end of this year.
À l’occasion de l’ouverture du salon Euronaval, la Direction générale de l’armement (DGA) a communiqué sur 3 innovations récentes, pouvant avoir des applications aussi bien civiles que militaires, dont deux ont été financées dans le cadre du dispositif RAPID (Régime d’appui pour l’innovation duale), doté d’une enveloppe annuelle d’une cinquantaine de millions d’euros.
La première de ces innovations s’appelle BORA. Il s’agir d’un système visant à prévenir les accidents de plongée grâce à la mesure instantanée du taux d’azote ou d’hélium dans les tissus de l’organisme du plongeur.
« C’est un système global ’3en 1′ qui va de la prise de mesure jusqu’à l’analyse de risque et l’émission d’une solution », explique la DGA. Un capteur porté par le plongeur envoie des signaux à une plateforme qui va les interpréter et proposer des solutions de décompression (niveau de recompression et durée des paliers) si besoin.
Ce système a été développée par la PME BG SYSTEMES, en partenariat avec l’Institut Langevin, le laboratoire I3S du CNRS et le Laboratoire de mécanique et d’acoustique de Marseille. En outre, Bora a déjà servi à établir la nouvelle norme Otan pour les procédures de décompression et il est utilisé depuis 2 ans par une socété américaine de plongée.
La seconde innovation a un nom poétique : MUSE est le premier sonar 3D compact de navigation multi-missions à usage dual. Ce système, financé en partie le dispositif RAPID et développé par IXBLUE, en partenariat avec l’École supérieure des techniques avancées (ENSTA), peut, là-encore, être installé sur des navires de surface militaires et civils.
« Le sonar 3D MUSE est un assistant à la navigation. Il réalise la cartographie du fond en haute résolution, mesure la vitesse par rapport au fond, représente l’environnement en 3D et détecte tout objet situé entre la surface et le fond, dans un rayon allant jusqu’à 1 km : iceberg, mine, conteneur, etc », indique la DGA, qui précise également qu’il « peut identifier les objets immergés en temps différé grâce à l’utilisation d’algorithmes spécifiques et l’éclairage de l’objet observé sous différents angles ».
La Marine nationale est intéressée par ce sonar. En 2013, elle l’a utilisé pour une campagne d’essais avec la DGA afin de valider ses possibilités en matière de détection des mines de surface. De nouveaux tests seront effectués l’an prochain afin de vérifier « la qualité de la mesure de vitesse par rapport au fond et le recalage géographique sur les caractéristiques des fonds marins ».
Quant à la troisième innovation, elle prépare, selon la DGA, une « rupture technologique ». Développée par Thales ainsi que par DCNS et appelée « Topside intégré », il s’agit d’un concept « d’architecture physique et fonctionnelle des superstructures d’un bâtiment de combat permettant une répartition optimale de ses senseurs, de ses équipements de transmission et de ses brouilleurs », ce qui doit permettre d’améliorer la discrétion du navire ainsi que les performances globales de son système de combat...
Navy Recognition learned from two separate sources who wished to remain anonymous that French defense companies Sagem and Thales would have been selected to provide sensor systems for South Korea’s Jangbogo III heavy diesel-electric submarine programme (KSS-III).
Sagem will likely deliver its latest periscope system: the Series 30 Attack and Search Optronic Mast. According to Sagem, it is the most modern and complete optronic surveillance mast on the market. Its four simultaneously operational sensors, image processing and operating modes make it perfect for advanced detection of airborne or surface threats. It can equip both classic and nuclear submarines, whether new or retrofit units. The Series 30 SMS is a non-penetrating mast designed for above-surface surveillance: navigation safety, surveillance, intelligence collection and self-protection combining electronic and optronic warfare. Compatible with a full range of electromagnetic antenna (GPS, ESM, early warning and communication), it includes a high-definition thermal imager as well as a high-definition camera, and can simultaneously accommodate a low-light level, anti-blooming camera and a laser range finder. Its four optronic sensors, which can be used simultaneously to obtain panoramic scene captures in record time, are the fastest on the market. Known as the “Quick Look Round” feature, it enables panoramic or segment displays in separate, full resolution or compressed windows. This mode is available in addition to the conventional, live display of the different video channels.
Details on the type (or types) of sonar to be provided by the underwater division of Thales (TUS) are confidential but Navy Recognition guess it is highly likely that KSS-III will at least be fitted with the Planar Flank Array Sonar (PFAS) passive long range sonar. TUS PFAS enables full use of the large available space on the flanks of the submarine to install acoustic arrays of maximum aperture (length x height). The use of Adaptive Beamforming provides a very efficient rejection of the own ship noise and flow noise, which increases detection and classification performances even at high operational speed. Excellent bearing resolution/discrimination also enable increased Target Motion Analysis performance. A particular highlight of the TUS PFAS is its very reduced baffle which contributes to a large bearing coverage. Flank arrays feature no maneuverability constraints as compared to Clip-On Towed Arrays.
Both the new generation optronic masts and flank array sonars will give the new boats of the ROKN an important operational advantage in threats detection, identification and tracking. Same technology has already been selected by the French Navy for the future class of Barracuda nuclear-powered submarines. KSS-III is a conventional submarine project (SSK).
The original design of the submarine includes 6 VLS (vertical launch system) tubes. They would accomodate a future cruise missile in development by LIG Nex1 while the launchers would be provided by Doosan. It was announced earlier this year that Spanish company INDRA was selected to provide its electronic defense system (ESM) PEGASO and Babcock of the UK would design and manufacture the Weapon Handling System for the submarines.
Under the Jangbogo III programme boat one is due to be handed over to the Republic of Korea Navy at the end of 2020, and boat two at the end of 2022.
Thales UK is gearing up to begin flight tests of the heavily revamped and updated Cerberus airborne early warning system it is pitching for the UK Royal Navy’s Crowsnest competition.
The up-to-£500 million ($806 million) contest will see a total of eight AgustaWestland AW101 Merlin HM2 helicopters equipped with the mission kits, to replace the navy’s current fleet of aged Westland Sea King 7s, which will begin to be retired from 2016.
Lockheed Martin is prime contractor on the effort, with Thales and Lockheed itself competing to supply the radar and operator equipment. Despite this potential conflict of interest, Thales remains confident in the integrity of the contest, says Matt Avison, the manufacturer’s sales director for intelligence, surveillance and reconnaissance and defence mission systems.
“We have no concerns about Lockheed Martin running the competition,” he says.
Thales is proposing to take its Searchwater 2000 radar – which is utilised on the RN’s current Airborne Surveillance and Control (ASaC) Sea Kings – and adapt it for installation on the Merlin platform, as well as updating the radar, software and mission system “to drive out obsolescence”.
Avison declines to specify the performance enhancements Thales has brought to the radar, but points out that it is “not just about increasing range, but also increasing the utility of the radar”. He says: “The advances in processing since [the introduction of] Searchwater 2000 mean that we can do an awful lot more with the received information. That means we are not just compliant with the competition, but over-delivering in certain areas.”
Installation of the system on a test airframe will begin shortly at AgustaWestland’s Yeovil facility in Somerset, ushering in from the end of September an intensive period of ground evaluations, which will culminate in a first test sortie in mid-November, Avison says.
The Australian Ministry of Defence has awarded the Royal Australian Navy's Adelaide-class guided-missile frigate (FFG) group maintenance contract to Thales.
The four-and-a-half-year agreement, which has extensions that could bring the value to $130m, is likely to provide both industry and navy with improved certainty and stability in the repair and maintenance of the frigates.
Australia Minister for Defence Senator David Johnston said that this is the second of the grouped-asset, long-term, performance-based contracts for the repair and maintenance of the navy's major surface ships.
"If contracted quality and service level requirements are met and efficiencies are achieved, the contract can be extended to the ship's withdrawal-from-service dates," Johnston said
Thales will carry out the work at the navy's Garden Island facility in Sydney.
"We have always recognised that the grouping of ship repair and maintenance work offers the potential for real savings, by reducing the administrative burden of per-event tender contracting, providing greater certainty of revenue streams and work effort, and promoting better planning," Johnston added.
Powered by a gas turbine for main propulsion, the Adelaide-class frigates feature two retractable auxiliary units, which provide a secondary means of propulsion and manoeuvrability in confined waters.
Furthermore, the FFGs are equipped with the standard medium-range anti-aircraft missile, the Harpoon anti-ship missile, a 76mm gun for air and surface threats, and one 20mm Phalanx close-in-weapon system for anti-missile defence.
DCNS et Thales annoncent le succès du programme de modernisation des quatre frégates de classe Almirante Padilla de la marine colombienne qui s’est conclu lors des essais d’acceptation à la mer du quatrième navire. Le contrat a été signé début 2009 avec les autorités colombiennes. DCNS en assure la maîtrise d’œuvre et Thales est en charge de l’intégration des systèmes de combat et de communications.
Dans le cadre de cette modernisation, les équipements installés et intégrés par Thales et le chantier naval colombien Cotecmar, sur les quatre bâtiments de classe Padilla comprennent : le radar de surveillance SMART-S Mk2, le système électro-optique de contrôle de tir STING EO Mk2, le système optronique de contrôle de tir MIRADOR, le système de guerre électronique (ESM) VIGILE 200S, les systèmes de communications et le lance-leurres SKWS de Terma. Thales a également modernisé le système de renseignement/transmissions (COMINT) Altesse des quatre frégates.
« Ce programme illustre la capacité de Thales àmener à bien un programme de modernisation de grande ampleur en se conformant aux délais et aux exigences fixés par le client. Il montre également que la modernisation des plates-formes existantes est un excellent moyen d’étendre la durée de vie des navires et d’améliorer leurs capacités », a déclaré Aniss Aqallal, directeur pays pour la Colombie chez Thales. « Comme l’a souligné le Ministre colombien de la Défense, Juan Carlos Pinzón, lors du discours qu’il a prononcé à l’occasion de la cérémonie d’acceptation finale, cette réussite témoigne de l’engagement fort de Thales vis-à-vis de la stratégie de défense colombienne. »
Pierre Legros, Directeur de la Division Systèmes Navals de Surface de DCNS a déclaré : « La réussite de la modernisation des frégates colombiennes Almirante Padilla démontre la capacité de DCNS à conduire la maîtrise d’œuvre d’ensemble d’un tel programme de modernisation à l’entière satisfaction du client. DCNS s’appuie à la fois sur les compétences du chantier naval choisi par la Marine colombienne (Cotecmar) et sur celles de ses partenaires, au premier rang desquels Thales, tout en s’inscrivant dans le cadre de l’accord de Gouvernement à Gouvernement signé entre la France et la Colombie ».
(Infodefensa.com) Montevideo - Before the crisis arising between Russia and Ukraine on the peninsula of Crimea , French Foreign Minister Laurent Fabius , suspended advance his tour Latin America . His sudden departure left pending meetings in Argentina , Chile and Uruguay, although it reached visit Colombia , Panama and Peru .
While in Argentina, among others, are planned concrete support from the French Foreign Minister to update the class frigates Meko 140 (locally classified as corvettes) class destroyers and Meko 360 . In the first six were built Argentina, in Astilleros Rio Santiago (AFNE), and four of the latter in Germany , in the shipyards Blohm und Voss .
The plans are to have the service of the French shipyard DCNS and the consortium Thales in this modernization.
The slope modernization Super Étendart
It was also expected to discuss updating Attack Aircraft Dassault Super Étendard remnants received a total of fourteen. Of these it is estimated that a dozen are in various stages of operation (three were lost in accidents), but only two or three are in flying order.
Argentina has more than a decade trying to modernize these venerable aircraft. During this time they have poured news ranging from purchasing new radars to carry comprehensive modifications to the standard SEM 5 (the most modern Super Étendard ). To date, however, none of this has materialized.
Continued budget cuts have also diminished the number of pilots available for this weapon system to the point that they are now less than the amount of aircraft in inventory. This complicates the outlook for the NENA ( Naval Aviation Command ).
It has not transcended the date of a potential meeting between the parties to recover the lost opportunity.
Thales and Damen Schelde Naval Shipbuilding have signed a contract for the delivery and installation of a SCOUT Mk3 naval surveillance radar. The radar system is to be installed on the Joint Support Ship commissioned by the Netherlands’ Defence Materiel Organisation that is currently under construction by Damen Schelde Naval Shipbuilding.
The Thales SCOUT Mk3 naval surveillance radar was selected because of its unique Low Probability of Intercept feature. The radar is a new product in vast range of Thales naval sensors and this contract constitutes its market introduction. The first sea trials of the new Joint Support Ship with SCOUT Mk3 installed are scheduled for May 2014.
About SCOUT Mk3
Scout Mk3 is the most sophisticated 2D maritime surveillance radar. Advanced Doppler processing ensures excellent clutter suppression and high range resolution. SCOUT Mk3 detects very small objects even in high sea states or in close vicinity to larger objects. Low-level air coverage is provided and its LPI nature enables covert operations.
Scout Mk3 offers automatic detection and tracking, helicopter and UAV approach and guidance, as well as a high availability and low life-cycle costs.
For more than 30 years the Thales SCOUT family of naval surveillance radars has been recognised for its true Low Probability of Intercept (LPI) capability. SCOUT Mk3 is no exception. Use of low output power (<3W) and continuous wave technology enable this key strategic advantage.
Patrick H. 's insight:
La fiche de caractéristiques du radar SCOUT Mk3 de THALES :
"Concernant le Scout Mk3, il s’agit du dernier-né de la famille de radars Scout, dont 170 exemplaires ont été vendus à travers le monde. Ce radar de surveillance maritime 2D, que Thales n’hésite pas à présenter comme « le plus perfectionné au monde », dispose « d’un traitement Doppler avancé assur(ant) un excellent filtrage du fouillis et une haute résolution à distance ». Il est conçu pour la détection de très petits objets, même par mer forte et à proximité immédiate d’objets plus volumineux. Le Scout Mk3 offre également une couverture aérienne à basse altitude et, selon son concepteur, « sa faible probabilité d’interception lui permet de participer aux opérations clandestines ». Il dispose de fonctionnalités de détection et de suivi automatiques, ainsi que d’aide à l’approche et à la navigation des hélicoptères et drones aériens. "
LANGKAWI, March 18 (Bernama) -- Thales has delivered the first of two further AMASCOS mission systems to the Royal Malaysian Air Force (RMAF). In a statement today, Thales said the AMASCOS was to support the conversion of four RMAF's Beech 200 aircraft to a highly-capable maritime surveillance platform, due to enter service next year. It said the AMASCOS delivered an effective maritime surveillance, airborne maritime patrol and ground surveillance capability. "Its modular and flexible design can accommodate a number of high-definition sensors (optical, radar, acoustic, electronic support measures) and integrate the data into a comprehensive yet easy to operate maritime situational awareness picture. Users are able to focus on the task in hand and remain one step ahead of the actions of those under their surveillance," Thales said.
At NAVDEX 2015 naval defense exhibition currently held in Abu Dhabi, Thales is showcasing its latest sonar solutions: - The SeeMapper, a turnkey system providing continuous, high-resolution mapping of the sea-bed using a towed synthetic aperture sonar. - The BlueWatcher hull-mounted sonar and its associated towed array sonar, the Captas-1, represent a new range of compact sonars for surface combatants and patrol vessels displacing 300 tonnes or more.
Thales has revealed details of a new anti-submarine warfare (ASW) sonar pairing specifically designed for small ship applications. Engineered to allow installation on offshore patrol vessels (OPVs) down to about 800 tonnes, the new CAPTAS-1 low-frequency variable-depth sonar and BlueWatcher hull-mounted sonar are intended to provide littoral navies with a credible ASW deterrent capability.
The CAPTAS family of low-frequency active/passive sonars was originally brought to market in the mid-1990s to meet growing demand for an improved surface ship ASW capability against quiet submarine threats. CAPTAS-1 builds on this pedigree, but shrinks the size to allow installation on small ships.
CAPTAS-1 uses a single - dependent tow for the active sonar source (a single free-flooded ring transducer operating at a centre frequency of about 1.5kHz) and a triplet receive array. Thales has also developed a compact and lightweight towed array handling system that uses a single automatic winch.
In July 2013, Thales (Stand B-030) conducted at-sea trials of a CAPTAS-1 engineering development model. According to figures released by the company, CAPTAS-1 will be able to operate at speeds of up to 12kts, and at depths down to 100m. Typical detection range is claimed to be in the region of 20-30km, depending on the target type and environmental conditions.
To enable installation on smaller OPVs, Thales has reduced deck footprint to 15m2 and weight to about 8 tonnes. One option is to install CAPTAS-1 in containerised form, with the sonar body/receive array and electrically powered towed array handling system housed in a standard 20ft shipping container; the winch control and electronic cabinets are installed in a 10ft container mounted adjacent.
Alongside CAPTAS-1, Thales is also introducing the BlueWatcher hull-mounted sonar, which repackages the transmitter and receive arrays from the FLASH airborne active dipping sonar to provide small ships with a compact, 360° multi-purpose sonar. Thales has engineered the BlueWatcher ‘wet end’ to fit in a cylindrical volume just 700mm in diameter and 600mm in height, limiting dome/draft requirements to 0.85m. Inboard components are limited to a single cabinet and the operator console.
Only a single hull penetration is required out to the array.
In active mode, used for ASW or collision/obstacle avoidance, BlueWatcher transmits on any one of three frequencies between 3-5kHz in FM (frequency modulation), CW (continuous wave) and combination pulse modes. In passive mode, the system can be used to detect small, fast surface craft. According to Thales, the implementation of adaptive beam-forming has delivered performance that is equivalent to an array twice the size. It also allows for installation on ‘noisy’ ships where there is no quietening or noise hygiene.
The Netherlands Defence Materiel Organisation (DMO) and Thales have signed a contract for the delivery of a NS100 dual-axis multi-beam surveillance radar. The system will be installed on HNLMS Rotterdam, to replace its 30-year old DA08 radar system. The NS100 will be installed in the second semester of 2017, in line with the ship’s maintenance schedule.
The Royal Netherlands Navy selected Thales’s NS100 system because of its performance and its proven AESA technology. This technology enables a 3D cue to be given to both Goalkeeper Close-In Weapon Systems on the ship. Furthermore, the selection for this radar has numerous logistic advantages since the Royal Netherlands Navy already operates the latest generation of Thales AESA radars on the majority of its vessels. The NS100 radar incorporates a Thales IFF mode 5/S subsystem, making the Royal Netherlands Navy one of the first navies in the world to deploy this modern standard.
About NS100 The NS100 is the newest member of Thales’s S-band AESA radar family. It is the first radar world-wide using dual-axis multibeam technology, which significantly enhances situational awareness in a littoral environment. NS100 is a multi-sensor integrated platform: in addition to the S-band radar, the system is designed to include the Scout Mk3 FMCW radar, the IFF mode 5/S interrogator and transponder, an IR camera, AIS and ADS-B. Positioning all sensors at the best topside position optimizes the overall field of view.
The highly modular and scalable NS100 enables a tailor-made sensor for customer specific requirements and operational profiles. Radar performance is increased by adding RX and TX Building Blocks, answering to the need set by a wide range of naval ships and missions. The flexible radar architecture enables through-life introduction of new capabilities. About Rotterdam class The Royal Netherlands Navy has 2 vessels of this class: HNLMS Rotterdam and HNLMS Johan de Witt. The most important role for those ships is supporting amphibious operations. The amphibious transport ships of the Royal Netherlands Navy are also known as Landing Platform Docks (LPD). The ships are equipped with a large helicopter deck for helicopter operations and a dock for landing craft.
In a tentative to combine its different existing products, Thales proposes its new integrated mast I-MAST 500. I-Mast 500 integrates a I-Mast 400, already installed on Dutch OPV Holland class, and an APAR Active Phased Array Radar. Thales I-Mast 500 offers all the necessary capacities needed by modern ships.
With the growing number of electronic systems that must be installed on ships today (Radar, communication, ISR, guidance systems, etc...) arises the problem of electronic interferences. Thales find a solution at this problem by gathering the different systems in an unique integrated mast. The two gathered main systems are the I-Mast 400 and the APAR radar.
The I-Mast 400 was already an integrated naval sensor & communications suite packed into an advanced mast structure. By resolving the electromagnetic conflicts and line-of-sight obstructions inherent in traditional topside arrangements, it provides remarkable advantages in terms of operational performance and shipbuilding risk. Being built and tested in parallel with the construction of the ship, the IM400 solution reduces risk and time for the entire ship-building program.
APAR is the world’s first naval AESA radar providing at hemispheric coverage out to 150 km. This system is capable of searching, tracking and supporting many ESSM and SM-2 engagements simultaneously, using the ICWI guidance mode. Any type of AAW engagement, including super-sonic high-divers, super-sonic sea skimmers and stealth targets is supported. APAR has proven its system performance in more than 40 live firings. APAR is already installed on Dutch De Zeven Provinciën, German F124 Sachsen and Danish Ivar Huitfeldt class frigates.
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A l’occasion du salon Euronaval, Thales a annoncé le développement de son nouveau radar naval multifonction, le Sea Fire 500. Doté de quatre panneaux fixes à antennes entièrement numériques, le Sea Fire 500 est destiné à équiper les grands bâtiments de surface. Ce concept de radar résulte de trois années d’études amont sur les technologies et l’architecture en matière de radars et bénéficie du soutien de la Direction générale de l’armement (DGA). Il répond à l’évolution des besoins et des menaces auxquelles doivent faire face les marines nationales. Le Sea Fire 500 devrait être opérationnel à l'horizon 2020. Le Sea Fire sera le successeur du radar Herakles qui équipe notamment les frégates Fremm. Opérant en bande S, il répond aux besoins des différentes missions, depuis l’autodéfense du navire jusqu’à la défense aérienne étendue, face à des menaces aériennes et de surface conventionnelles, asymétriques telles que des drones, ou émergentes comme les missiles balistiques anti-navires, dans des environnements complexes en zone littorale ou en présence de brouillage intense. L’association de quatre antennes actives fixes et entièrement numériques, chacune combinant une augmentation de puissance, une grande agilité dans la gestion des faisceaux et une couverture limitée à 90°, permettra d’augmenter significativement les performances de détection et de poursuite du radar avec une couverture sans masque sur 360° en azimut et jusqu’à 90° en élévation. Grâce sa conception modulaire, le radar Sea Fire 500 pourra être décliné en plusieurs versions. Des antennes de tailles différentes pourront être proposées selon le type de plateforme et les missions qui lui seront confiées. Totalement indépendantes les unes des autres, les antennes pourront être disposées en des endroits différents du navire.
Le groupe d’électronique Thales a confirmé son intérêt pour participer avec le constructeur naval DCNS, dont il est l’actionnaire, à un marché de renouvellement des sous-marins australiens, a indiqué son PDG Jean-Bernard Lévy à la presse australienne vendredi.
La Royal Australian Navy veut se doter à partir de 2025 de 12 sous-marins pour remplacer sa flotte de six sous-marins conventionnels (à propulsion diesel ou électrique) de la classe Collins, qui datent des années 1990. Mais le gouvernement hésite entre deux options: construire en Australie ou faire appel à un constructeur étranger.
Interrogé par le quotidien financier The Australian Financial Review, le PDG de Thales, Jean-Bernard Lévy -- en partance pour EDF -- a confirmé que son groupe était intéressé par le projet s’il faisait l’objet d’un appel d’offre.
«S’il y a un appel d’offre international pour remplacer les sous-marins de la classe Collins, Thales s’associera en consortium avec DCNS», constructeur du porte-avions Charles de Gaulle et des sous-marins Scorpène, a expliqué M. Lévy.
«Nous croyons comprendre que l’Australie en est toujours à faire un choix à ce sujet», a-t-il noté.
Il n’a pas précisé le type de submersible que Thales-DCNS proposerait mais selon le journal, le sous-marin nucléaire Barracuda pourrait servir de modèle.
Avant les législatives de 2013 qu’ils ont remportées, les conservateurs australiens avaient assuré que les sous-marins seraient construits en Australie-Méridionale, éventuellement avec l’aide d’un transfert de technologie japonaise.
Mais selon de récentes informations de presse, le gouvernement envisage désormais de s’adresser au Japon pour des raisons budgétaires.
L’achat de sous-marins de type Soryu grèverait le budget australien d’environ 25 milliards de dollars australiens (17 milliards d’euros) au lieu de 50 à 80 milliards si les sous-marins étaient fabriqués en Australie.
Le ministre australien de la Défense David Johnston était cette semaine à Tokyo pour demander à son homologue nippon Akinori Eto «d’étudier la possibilité d’une coopération japonaise». «Le gouvernement australien, néanmoins, n’a pas encore arrêté son choix sur une conception particulière de sous-marin et un examen approfondi est nécessaire pour prendre une décision», a-t-il ajouté.
Selon la Financial Review, Thales, qui fabrique notamment des véhicules blindés Bushmaster pour l’armée australienne, pourrait faire travailler les chantiers navals publics australiens ASC, constructeurs des sous-marins Collins.
Une décision définitive sur le sujet est attendue dans le cadre du prochain livre blanc sur la défense, en juin 2015.
Lockheed Martin Canada has awarded Thales Nederland a contract for the delivery of two SMART-S Mk2 radars, a 3D surveillance radar.
These medium-to-long range surveillance radars are to be installed on the two ANZAC class frigates operated by the Royal New Zealand Navy, in the scope of the ANZAC Frigate System Upgrade, performed by Lockheed Martin Canada. The first system is to be delivered early 2016, the second one early in 2017. SMART-S Mk2 supports the full range of MBDA’s multi-mission missile, the Common Anti-Air Modular Missile as well as it being excellent price/performance value in the market. These elements were a key factor in Lockheed Martin Canada’s decision.
This contract marks yet another success for Thales‘s SMART-S Mk2, the world’s best-selling medium-to-long range naval surveillance radar. This radar has been sold well over 50 times, to navies on all continents. Geert van der Molen, Thales’s vice-president, in charge of Surface Radar activities: “SMART-S Mk2’s proven capability to support Evolved SeaSparrow Missile, Vertical Launch MICA, and now the Common Anti-Air Modular Missile sets the standard for 3D medium range radar market. It‘s no coincidence SMART-S Mk2 is the radar of choice for Navies around the world”.
Note to editors
SMART-S Mk2 is a modern naval air and surface surveillance radar that applies the unique multi-beam concept. Its high reliability and stealth target detection, even in cluttered environments, support long missions and operation in littoral environments. The SMART-S Mk2 is very easy to operate by only two fully automatic operational modes. Furthermore the SMART-S Mk2 is easy to install and integrate and easy to maintain.
Thales et l'Agence de participations de l'Etat (APE) ont retoqué un projet de prise de participation du groupe naval dans le chantier naval indien Pipavav.
Copie à refaire pour DCNS. Un projet de participation dans le chantier naval indien Pipavav du groupe français a été retoqué au début de l'été par ses deux actionnaires, Thales et l'Agence des Participations de l'Etat (APE), selon des sources concordantes. Un peu avant son départ en juillet, l'ancien PDG du groupe Patrick Boissier a reçu un veto de ses deux actionnaires pour ce projet évalué par DCNS à 50 millions de dollars pour monter dans le capital de Pipavav, basé dans l'état du Gujarat, fief du Premier ministre indien, Narendra Modi.
Pourquoi un tel refus ? Projet mal ficelé, explique-t-on à La Tribune. "Prendre un ticket dans Pipavav pour voir, c'est comme jouer 50 millions de dollars à la loterie", précise-t-on. Du coup, c'est au nouveau patron de DCNS, Hervé Guillou, de reprendre le dossier à zéro, qui n'est pas mort, et de trouver les arguments afin de convaincre Thales et l'APE du bien fondé de cette opération pour DCNS, selon plusieurs sources. "Le projet est toujours vivant", confirme-t-on chez le groupe naval. Hervé Guillou pourrait d'ailleurs aller en Inde prochainement en vue de discuter avec le patron de Pipavav. Il devra notamment se forger la conviction que le gouvernement indien peut passer des contrats avec des chantiers privés comme Pipavav.
Déjà partenaires
DCNS et Pipavav avaient conclu en juin 2012, un partenariat stratégique. L'objectif du groupe naval, à travers ce partenariat, est de proposer à la Marine (…)
Thales annonce la livraison à la Marine turque du standard final des avions de patrouille maritime dans le cadre du programme Meltem II dont Thales assure la maîtrise d’œuvre. A ce jour, cinq des six avions ont été livrés à ce standard, le sixième le sera avant l’été. Ces livraisons font suite à celles opérées l’année dernière pour trois avions de surveillance maritime destinés aux gardes-côtes turcs.
Points clés
Finalisation du programme MELTEM II.
Etape majeure qui marque la livraison du standard final de patrouille maritime.
MELTEM II couvre six avions de patrouille maritime, trois avions de surveillance maritime, ainsi que dix systèmes de mission AMASCOS supplémentaires
Une cérémonie s’est tenue ce jour sur la base aéronavale de Topel pour célébrer la remise des appareils à la Marine turque, sous la présidence du chef d’état-major de la Marine turque, Bülent Bostanoglu, et du secrétaire d’Etat aux industries de défense (SSM), Ismail Demir.
Pierre Eric Pommellet, directeur général adjoint de Thales en charge des systèmes de mission de défense, a officiellement remis le certificat de livraison des avions au chef d’état-major de la Marine turque. A cette occasion, il a souligné les « excellentes relations établies tout au long du programme avec les partenaires industriels turcs TAI, Havelsan, Aselsan et Milsoft. Elles ont permis le succès du programme de transformation de ces appareils et ouvrent la porte à de futures collaborations entre Thales et l’industrie turque. Nous nous attachons à développer cette coopération et sommes fiers que ces avions de patrouille maritime atteignent l’excellence technologique et répondent aux plus hauts standards opérationnels. La Marine turque peut désormais s’appuyer sur AMASCOS, la solution éprouvée de Thales, pour mener à bien ses missions de patrouille maritime. »
La finalisation de ce programme atteste de la maturité de la solution AMASCOS et positionne Thales comme un acteur de référence dans le domaine de la patrouille maritime et comme systémier de premier ordre au niveau international pour répondre aux besoins des forces armées en proposant une gamme variée de systèmes de mission.
Thales Nederland has been contracted by the Polish Ministry of National Defence for the supply, integration, and acceptance of the combat system for the Polish Navy's new patrol vessel ORP Slazak .
Due to become operational in late 2016, Slazak has emerged from the ashes of the Gawron multipurpose corvette programme, which was cancelled in early 2012. However, the first-of-class Gawron vessel - which is substantially complete, at Naval Shipyard Gdynia - is now to be completed as a patrol ship.
Confirming the contract award on 14 March, Thales Nederland said its scope of supply will comprise the TACTICOS combat management system, SMART-S Mk 2 E/F-band surveillance radar, STIR 1.2 EO Mk 2 radar/electro-optical fire control director, MIRADOR electro-optical observation and fire control system, and a Link 11/16 tactical data link system.
La Direction générale de l’armement (DGA) a confié au groupe français d’électronique de défense Thales un contrat visant à équiper le porte-avions Charles de Gaulle ainsi que les deux frégates de défense aérienne de type Horizon de la Marine nationale en systèmes d’identification “ami/ennemi” (IFF pour Identification Friend or Foe) de dernière génération.
“L’installation de ces nouveaux équipements de la gamme BlueGate permettra de pallier les limitations des systèmes actuels et dotera les plates-formes de la capacité IFF Mode 5/Mode S”, explique Thales, qui ajoute que “la mise à niveau de ces bâtiments au dernier standard IFF OTAN leur donnera la capacité d’accomplir des missions militaires dans des conditions de sécurité, de fiabilité et d’intégrité optimales (Mode 5), tout en ayant la capacité de toujours et mieux identifier un avion civil (Mode S)”.
L’industriel rappelle par la même occasion que ses systèmes IFF BlueGate sont déjà opérationnels à bord de la frégate antiaérienne (de type 70) Jean Bart et qu’ils ont passé avec succès les essais d’acceptation à la mer (Sea Acceptance Tests, SAT) en octobre dernier. La frégate Cassard, de même type, devrait suivre le même chemin.
Il n’a pas précisé si l’installation de ce système IFF Mode 5/Mode S à bord du Charles de Gaulle aura lieu lors de sa prochaine Indisponibilité périodique pour entretien et réparation (IPER), laquelle commencera en octobre 2016 pour s’avever 18 mois plus tard et dont le coût sera de l’ordre de 1,3 milliard d’euros.
Quant aux deux frégates Horizon, le Chevalier Paul et le Forbin, elles verront également leurs capacités optroniques modernisées avec l’intégration du système EOMS-NG, qui permet “d’associer une veille et une poursuite panoramique infrarouge longue portée et une conduite de tir électro-optique” ainsi que la “détection, l’identification et l’engagement de toutes cibles aériennes et de surface, des missiles antinavire rasants aux embarcations rapides d’assaut”.
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Plus de détails sur le programme MMCM dans l'article de Navy Recognition :
http://www.navyrecognition.com/index.php/news/defence-news/year-2015-news/march-2015-navy-naval-forces-defense-industry-technology-maritime-security-global-news/2542-thales-wins-french-uk-l-maritime-mine-counter-measures-r-mmcm-contract-slam-fmhc.html
On peut signaler que l'US Navy s'est lancé depuis quelques années dans un programme de drones spécialisés guerre des mines, éléments du Mission Package MCM des frégates LCS :
http://sco.lt/9Korsv
http://sco.lt/7I7LgP