Les éditeurs de presse français réclament depuis plusieurs mois une "taxe Google" car ils jugent que le moteur de recherche tire profit de leur contenus. Notre contributeur Nobrist les accuse de vouloir "le beurre, l'argent du beurre et la crémière".
Difficile d'être plus clair ! Ils veulent "le beurre, l'argent du beurre et la crémière".