Donc, Monsieur Claude Guéant, alors directeur de cabinet du ministre de l’Intérieur Nicolas Sarkozy, touchait tous les six jours, en liquide et dégrevé d’impôts, en plus de ses rémunérations ordinaires et de ses frais, l’équivalent ce que beaucoup...
Il comptait blanchir l'argent sale avec ses machines à laver ? Il n'a pas tout compris, le pauvre Claude ! Capone, lui, achetait carrément des blanchisseries. Mais c'était un truant d'un autre calibre...