Auteur de "Syrie. Pourquoi l'Occident s'est trompé" (Éditions du Rocher), Frédéric Pichon, de l'université de Tours (France), estime que face à l'afflux jamais vu de candidats au djihad, les Européens n'ont d'autre choix que de reparler avec le président syrien Bachar Al Assad, " en laissant de côté la morale et l'émotion ".
En Syrie, les Occidentaux se sont fait piéger par leurs "alliés" saoudiens et qataris. Peut-être est-il temps de revoir nos alliances au Moyen-Orient ?