Dans un article intitulé "Francken, l'asile en tolérance zéro", publié sur le vif.be le 3 novembre dernier, le nouveau secrétaire d'Etat à l'Asile et à la Migration, le N-VA Theo Francken, dédiait une "mention spéciale" à "ces bureaux d'avocats, autant dire l'industrie de la migration", qui, disait-il, "peuvent se remplir les poches en essayant de trouver toutes sortes de subterfuges légaux". Un collectif d'avocats lui répond.
Quand un super-ministre de l'Intérieur ET de la Sécurité méprise le droit à ce point, on peut s'inquiéter...