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Dans certains #médias dominants, la vérité commence à surgir sur la #Ghouta en #Syrie. Ca, c'était sur #Channel4 , ce week-end

Dans certains #médias dominants, la vérité commence à surgir sur la #Ghouta en #Syrie. Ca, c'était sur #Channel4 , ce week-end

According to former French foreign minister Roland Dumas, Britain had planned covert action in Syria as early as 2009: "I was in England two years before the violence in Syria on other business", he told French television: "I met with top British officials, who confessed to me that they were preparing something in Syria. This was in Britain not in America. Britain was preparing gunmen to invade Syria."

 

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#Mélenchon révèle du lourd  : #Macron pose un lapin à #Poutine après accord téléphonique le jour de l'attaque en #Syrie - #Douma #AttaqueChimique #Russie

#Mélenchon révèle du lourd : #Macron pose un lapin à #Poutine après accord téléphonique le jour de l'attaque en #Syrie - #Douma #AttaqueChimique #Russie

Message de Jean-Luc Mélenchon le 18 avril 2018 suite à son échange avec le nouvel ambassadeur de Russie en France. Ce dernier lui a expliqué qu'Emmanuel Macron et Vladimir Poutine avaient convenu que les ministres de la Défense des deux pays échangeraient ensemble de l'opportunité d'une enquête à Douma en Syrie pour étudier ce qui s'est passé. Or cet échange n'a jamais eu lieu. Et, le soir même, les missiles français, américains et britanniques s'abattaient sur le sol syrien. Jean-Luc Mélenchon revient sur cette attaque sans preuve, sans mandat de l'ONU, sans objectif militaire clair et sans objectif politique.

 

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La vérité sur la #Syrie par Peter Ford, ancien ambassadeur de Grande-Bretagne en Syrie (2003-2006) sur la BBC #explosif

Ajoutée le 10 avr. 2018
 Peter Ford on BBC Radio Scotland (who obviously didn't get the memo on keeping him out) outing the 'monitors' of the alleged attacks. The interviewer tried for about ten seconds to talk him down but Fmr. Ambassador Peter Ford ploughed on and dropped several truth bombs. Fortunately it was live.
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Utilisation par les #USA d’ #uranium appauvri en #Syrie, par #SamuelOakford (journaliste d'investigation pour #AirWars ) - Les Crises  #Syria #Siria #LigneRouge

Utilisation par les #USA d’ #uranium appauvri en #Syrie, par #SamuelOakford (journaliste d'investigation pour #AirWars ) - Les Crises  #Syria #Siria #LigneRouge | Infos en français | Scoop.it
 
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A  lire absolument » #Syrieleaks : Suites, propagande et dividendes… Par #RichardLabévière #AGENDA #Syrie

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A lire absolument » #Syrieleaks : Suites, propagande et dividendes… Par #RichardLabévière #AGENDA #Syrie

 

L’envers des cartes

Beyrouth, 26 février 2017.

A la demande de plusieurs lecteurs et auditeurs, nous revenons sur notre « information exclusive » de la semaine dernière (19 février 2018), publiée par prochetmoyen-orient.ch (numéro 166) : « Syrieleaks : un câble diplomatique britannique dévoile la stratégie occidentale ». ( https://www.les-crises.fr/syrieleaks-un-cable-diplomatique-devoile-la-strategie-occidentale-par-richard-labeviere/)

C’est le légendaire Pierre Lazareff qui disait que « pour un journaliste, sortir une exclusivité est toujours une épreuve, sinon une douleur ». Et le patron de France-Soir ne connaissait pas encore les réseaux numériques (abusivement nommés « réseaux sociaux »), les Fake News et les futures lois sur les Fake News

Il y a d’abord ceux qui vous somment d’exhiber le document sur le champ. Il y a aussi ceux qui vous disent que « les médias sérieux n’en parlent pas ». Il y a encore ceux qui vous demandent très tranquillement de dévoiler vos sources. Enfin, d’autres s’étonnent de « votre discrétion sur la toile », ne comprenant pas qu’on puisse vivre sans relater immédiatement faits, gestes, émotions sur les réseaux numériques !

Les mêmes ne peuvent imaginer qu’on ne dispose d’aucun compte face ou tweet ou autre, ni qu’on ait passé l’âge de se précipiter sur les plateaux des télévisions de l’immédiateté et de l’émotion en continu, aux côtés d’experts auto-proclamés de telle ou telle spécialité… En réalité, que s’est-il réellement passé ?

EPISTEMOLOGIE D’UN SCOOP

Daté du 12 janvier 2018, le télégramme diplomatique britannique (TD) – signé par Benjamin Norman (qui suit les dossiers du Proche-Orient à l’ambassade de Grande Bretagne à Washington) – a beaucoup circulé dans les coulisses de la Wehrkunde, la dernière Conférence sur la sécurité de Munich (du 16 au 18 février derniers). Pourquoi ? Parce que ce document – assez exceptionnel – révèle le contenu d’une réunion (du « Petit Groupe sur la Syrie », réunissant des diplomates de hauts rangs des Etats-Unis, de Grande Bretagne, de France, d’Arabie saoudite et de Jordanie), qui aurait dû rester strictement confidentiel.

Pourquoi ? Parce qu’elle révèle, par le menu, la « stratégie occidentale » concernant la guerre en Syrie : nourrir et multiplier les hostilités par tous les moyens pour empêcher une Pax Russiana ; poursuivre une intense campagne de communication sur les bombardements russes et syriens qui tuent des civils ; cadrer le représentant spécial des Nations unies pour la Syrie – Staffan de Mistura – par une feuille de route contraignante ; saboter la conférence de paix de Sotchi pour revenir à Genève dans un format tripartite : opposition syrienne, gouvernement syrien et Forces démocratiques syriennes (FDS – principalement constituées de supplétifs kurdes aux ordres du Pentagone).

En filigrane, le TD britannique décrivait les deux objectifs politiques principaux visés : saboter la conférence de Sotchi et préparer la même campagne de propagande massive qui accompagna la libération d’Alep en décembre 2016, destinée à ponctuer la reconquête, certes dévastatrice, par l’armée gouvernementale syrienne de la Ghouta orientale (banlieue de Damas) aux mains de différents groupes terroristes. A la lecture du document, on comprend que cette stratégie occidentale opte pour « une guerre sans fin » en Syrie, tout en dénonçant auprès de l’opinion publique internationale une nouvelle « catastrophe humanitaire ». En conclusion, le TD se félicite du leadership américain, exercé pour la mise en œuvre effective et la médiatisation – la plus large possible – de cette stratégie.

Voulant d’abord protéger sa source, prochetmoyen-orient.ch a choisi de ne pas publier la totalité du TD pour transmettre son fac-similé à ses amis de la rédaction de L’Humanité-Dimanche, afin d’en publier des extraits le jeudi 22 février. Toujours dans les coulisses de la réunion de Munich, un autre fac-similé a été transmis à plusieurs journalistes arabes. C’est ainsi que le quotidien Al-Akhbar de Beyrouth, en a fait sa une du même jeudi de février, reproduisant de larges extraits du document dans un dossier spécial de plusieurs pages. A l’exception de la presse française, ces deux titres ont été largement repris par des médias du monde entier…

Précision d’importance : toujours à Munich, le document en question avait fait l’objet d’une scrupuleuse authentification par deux experts de services européens de renseignement, ainsi que par le chef des forces de sécurité de l’un des pays arabes participant à la réunion bavaroise ! Voilà pour les mal-pensants, les imprécateurs des Fake News, des complots globaux, conspirations et nouvelles cuisines.

L’OPTION D’UNE GUERRE SANS FIN

Plus sérieusement, ce TD était parfaitement annonciateur de ce qui s’est passé par la suite et de ce qui se déroule encore actuellement sur le plan opérationnel en Syrie : ajouter de nouvelles guerres à la guerre en cours. Depuis plusieurs années, prochetmoyen-orient.ch qualifie le conflit syrien de « guerre civilo-globale », en précisant qu’il fait interagir quatre principales dynamiques : 1) Etats-Unis contre Russie ; 2) Arabie saoudite contre Iran ; 3) Turquie contre Kurdes ; 4) enfin, jihadistes globaux (Al-Qaïda) contre jihadistes locaux (Dae’ch, notamment).

Sur le plan opérationnel, les révélations du TD de Benjamin Norman se sont avérées parfaitement pertinentes. En annonçant la formation d’un corps de supplétifs de 30 000 combattants (quelques jours avant le sommet de Sotchi), le Pentagone appuyait délibérément sur le bouton rouge d’une nouvelle intervention militaire turque. Non seulement Washington donnait implicitement son feu vert à Ankara, mais en prime, les stratèges américains créaient une indémêlable zizanie entre factions kurdes pour consolider leurs alliés des FDS, dont ils entendent imposer la présence à Genève…

Autrement préoccupante, est la cinquième et nouvelle dimension de cette « guerre civilo-globale », à savoir l’extension et l’officialisation d’une ingérence israélienne massive. A Munich toujours, Benjamin Nétanyahou a brandi, à la tribune officielle de la conférence, un morceau de tôle en affirmant qu’il s’agissait du débris d’un drone iranien abattu dans l’espace aérien israélien. Ce numéro lui a permis de menacer l’Iran, martelant encore et encore que ses « forces du mal » cherchaient à s’installer durablement aux frontières de l’Etat hébreu et que cette éventualité justifiait désormais des actions militaires « préventives ».

Cela dit, Tel-Aviv était surtout furieux d’avoir eu l’un de ses avions de chasse abattu en Syrie par un missile de l’armée gouvernementale. Toujours est-il – cela fait longtemps et chaque jour que Dieu fait – que l’on voit chasseurs et bateaux de guerre israéliens violer « préventivement » les espaces aériens et maritimes libanais, sans que cette réalité n’émeuve beaucoup la « communauté internationale », à commencer par les Etats-Unis et leurs alliés européens… Sur cette menace récurrente, on ne saurait que conseiller la lecture ou la relecture du livre magistral du politologue franco-libanais Frédéric Domont et de son coauteur, Walid Charara : Le Hezbollah, un mouvement islamo-nationaliste.

En définitive, aux quatre dynamiques de la « guerre civilo-globale » de Syrie, s’en ajoute désormais une cinquième – celles des ingérences militaires israéliennes -, au moment même où Donald Trump annonce la mise en chantier de « Mini-Nucs », des armes nucléaires de théâtre ! Cette annonce est doublement préoccupante : parce qu’elle rompt avec la doctrine nucléaire classique de dissuasion qui repose sur l’existence d’« armes de non – emploi » ; dans un contexte qui voit le rapprochement, non seulement des Etats-Unis et d’Israël, mais aussi de l’Arabie saoudite, trois des acteurs de la « guerre civilo-globale » qui veulent en découdre avec Téhéran !

BOMBARDEMENTS, MENSONGES ET VIDEO

Pendant ce temps, en ville et dans nos étranges lucarnes, on assiste au même déferlement propagandiste qui a prévalu lors de la libération d’Alep durant le dernier semestre 2016. A ce sujet, le dernier livre de Maria Khodynskaya-Golenishcheva déconstruit très précisément les logiques de communication et de propagande mises alors en œuvre par les médias américains et occidentaux. Aujourd’hui, pour la Ghouta, la même machinerie est en action, à l’identique.

Par contre, pas un mot sur les dizaines d’obus de mortier (tirés par les terroristes de la Ghouta) qui s’abattent quotidiennement sur la place des Abbassides (nord-est de Damas), ni sur les quartiers chrétiens (comme par hasard) – Bab Touma et Bab Cherki – du centre-ville. Au moment où nous mettons sous presse, on dénombre plus d’une centaine de victimes et de nombreux blessés, mais ces morts-là n’intéressent pas la presse occidentale !

Personne ne peut nier la violence et l’horreur des opérations qui se déroulent actuellement dans la Ghouta orientale et d’autres banlieues de Damas où les groupes jihadistes utilisent les populations civiles comme boucliers humains sous les bombardements du régime. Le quotidien français Libération cite complaisamment un ancien ambassadeur de France à Damas – Michel Duclos – qui semble découvrir que « les Russes et le régime de Bachar al-Assad semblent déterminer à récupérer tout le territoire syrien, comme ils l’ont souvent répété ». Toute proportion gardée bien entendu, les Syriens qui vivent dans leur pays seraient ils légitimes s’ils condamnaient les autorités françaises cherchant à reprendre le contrôle de la ZAD de Notre Dame des Landes, ou à remettre les nationalistes corses au pas? La question que l’on doit toujours se poser dans les guerres civiles, les plus atroces des guerres : qui sont les vrais sauvages ? On ne saurait que conseiller la relecture de Montaigne à cet égard !

Durant la bataille d’Alep, la presse occidentale pleurait à chaudes larmes sur une « ville martyr » et « assiégée » alors que dans le même temps elle parlait de la « libération » de Mossoul… Quoi de plus logique de voir l’armée gouvernementale d’un Etat-nation chercher à reprendre le contrôle de la totalité de son territoire dans l’exhaustivité de ses frontières historiques ? Et, de grâce, qu’on ne vienne pas essayer de faire passer les terroristes de Jabhat al-Nosra, et d’autres groupes armés – soutenus par l’Occident, les pays du Golfe et Israël – pour des « combattants de la liberté » !

Maria Khodynskaya l’explique très précisément dans son livre déjà cité : depuis plusieurs années les diplomates russes demandent à leurs homologues américains et européens la liste des groupes « armés » dits « modérés, laïcs et démocratiques ». Sans surprise, cette liste n’a jamais pu être produite, alors qu’actuellement les forces spéciales américaines recyclent des terroristes de Dae’ch dans de nouvelles unités des… FDS et d’autres factions armées destinées à poursuivre la lutte contre « le régime de Bachar al-Assad ».

Aucune surprise ! Les services américains sont coutumiers du fait. Au lendemain de la Seconde guerre mondiale, ils ont recyclé nombre d’anciens nervis de la Gestapo dans leurs unités spéciales, bras armés de la Guerre froide. Ils ont employé nombre de nazis au service des dictatures latino-américaines – dans la cadre du Plan Condor, au Chili, en Argentine, au Brésil ou à Panama -, et d’autres tueurs professionnels, les « Contras » pour anéantir la révolution sandiniste à partir de la fin des années 1970. On pourrait multiplier des exemples plus récents en Afghanistan, en Irak, en Libye et en Ukraine…

Comment les Américains osent-ils, encore aujourd’hui, donner des leçons de « guerres propres », comme si une telle fantasmagorie pouvait exister… En attendant un rendez-vous à Sodeco, sur la Ligne verte du Beyrouth de la guerre civile (1975 – 1989), je scrute de belles maisons ottomanes dont murs, colonnes et voûtes sont encore perforées d’impacts de balles et de tirs de mortiers. Relisant Jules Roy – il faut relire Jules Roy sur l’Indochine, la guerre d’Algérie et d’autres malheurs du monde – je retrouve ce passage où l’écrivain évoque une conversation avec un avocat des Forces libanaises : « si je lui avouais qu’à l’époque nous ne nous posions même pas de questions, moi du moins, qui ne suis pourtant pas insensible. Aller jeter des bombes au phosphore et des bombes explosives sur des villes allemandes pour tout incendier et tout raser nous semblait dans le cadre de notre mission. Pas le choix : question de vie ou de mort, seul moyen de reculer l’heure où l’Allemagne emploierait les armes secrètes qu’elle n’était pas loin de mettre au point. Peut-être aurait-il été plus efficace d’anéantir les usines où l’on assemblait les ogives et les moteurs des fusées, mais quel plus sûr moyen d’écraser le moral de l’adversaire : bousiller civils, femmes et enfants ? Non, non, je n’ai jamais hésité. Sur mon carnet de vol, on ne trouve pas Dresde, mais Duisbourg, Hambourg, Stuttgart, Coblence, Cologne deux fois, sans compter les usines d’essence synthétique ou de roulements à billes de la Ruhr, le train-train habituel, le dieu Moloch qui dévore les équipages. Je réponds simplement que je n’avais pas beaucoup de scrupules en ce temps-là ».

Notre époque sans mémoire aurait-elle oublié les guerres que nos démocraties ont mené, comment elles les ont menées et avec quelles conséquences ? Depuis la fin de la Guerre froide, la nature de la guerre a foncièrement changé, surtout avec « la guerre contre le terrorisme », déclarée par Georges W. Bush dès le lendemain des attentats du 11 septembre 2001, une « guerre » qui n’a pas encore dit toutes ses ruses. Mais, après la disparition du bloc de l’Est, il fallait impérativement reconstruire un ennemi étatique d’envergure qui puisse garantir la reproduction du complexe militaro-industiel, en garantir les millions d’emplois et les juteux dividendes.

Dans cette perspective, une poignée de main effective entre Donald Trump et Vladimir Poutine eût été catastrophique, les bourses occidentales étant littéralement tétanisées par une telle perspective, d’où le feuilleton sans fin de l’ingérence russe dans les élections américaines et les systèmes médiatiques européens. Dès 2012, Alain Joxe nous expliquait que l’objectif des nouvelles guerres américaines – et par extension occidentales – ne visait plus la victoire sur le terrain, le contrôle du territoire et des populations, mais bien la production, l’exportation et la généralisation de nouvelles armes, de nouveaux logiciels de cyberguerres, faisant basculer les rapports de force jusqu’à leur numérisation totale.

La mondialisation contemporaine a instauré la « guerre de tous contre tous », et par tous les moyens possibles afin de produire de nouveaux outils d’accumulation du capital. Dans la droite ligne de cette logique mortifère s’est imposé le continuum nécessaire entre la guerre, la propagande et le profit. Le TD de Benjamin Norman nous annonce « une guerre sans fin » en Syrie et plus largement aux Proche et Moyen-Orient, illustrant à la perfection le constat édifiant de Cecil Rhodes : « l’argent, c’est le sang des autres… »

Bonne lecture et à la semaine prochaine.

Richard Labévière

 

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Ce politologue. #BassamTahhan, était invité sur les plateaux TV-radio au début du conflit en #Syrie . Aujourd'hui, plus du tout .. A l'encontre de la doxa, #RTFrance lui donne la parole &c'est int...

Ce politologue. #BassamTahhan, était invité sur les plateaux TV-radio au début du conflit en #Syrie . Aujourd'hui, plus du tout .. A l'encontre de la doxa, #RTFrance lui donne la parole et c'est intéressant #Ghouta #Syria #médias

Entretien du 26/02/2018 avec Bassam Tahhan, politologue franco-syrien. Les combats se sont intensifiés ces derniers jours à la Ghouta, entre l'armée régulière syrienne et les groupes islamistes. Parmi eux : le Fatah al-Cham (alias Front al-Nosra), la Faylaq al-Rahmane (Légion du Tout miséricordieux), l'Armée de l'islam et le groupe rebelle salafiste Ahrar al-Cham al-Islamyya.

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#LInformationCommeJeLAime : L'#info la plus EQUILIBREE sur les évènements de la #Ghouta en #Syrie , c'est sur  #LeMediaTV #LeMedia le 23.02.18 par #ClaudeElKhal que je l'ai vue et entendue  #médias...

#LInformationCommeJeLAime : L'#info la plus EQUILIBREE sur les évènements de la #Ghouta en #Syrie , c'est sur #LeMediaTV #LeMedia le 23.02.18 que je l'ai vue et entendue #médias #MédiasBiaisés

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#Liban Démarches discrètes pour entamer le processus de rapatriement des Syriens vers la #Syrie  - Scarlett HADDAD - 15.01.2018  - #réfugiés #humanitaire

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#Liban Démarches discrètes pour entamer le processus de rapatriement des Syriens vers la #Syrie - Scarlett HADDAD - 15.01.2018 - #réfugiés #humanitaire

La classe politique se consacrant actuellement aux prochaines élections législatives prévues le 6 mai, le dossier des déplacés syriens semble donc mis en veilleuse. Aucune des parties politiques n'a en effet intérêt à ce que ce dossier soit présent dans les campagnes électorales en raison de la délicatesse du sujet et de l'état d'esprit général des électeurs toutes tendances confondues au sujet de la présence de ces déplacés dans leurs localités.
Les incidents entre Libanais et déplacés syriens se multiplient un peu partout sur le territoire libanais et de nombreux Libanais voient la présence des Syriens, déplacés ou non, comme une concurrence économique illégale et une source de problèmes sociaux, voire même sécuritaires. En même temps, ce dossier est lié à la communauté internationale qui finance en grande partie la présence de ces déplacés au Liban dans un but précis, celui de les empêcher d'affluer vers les pays occidentaux. Il a aussi une dimension politique liée à l'approche du dossier syrien dans son ensemble et à l'attitude à adopter vis-à-vis du régime syrien et de son président Bachar el-
Assad. Ceux qui considèrent que le chemin obligé pour le règlement de ce dossier passe par un dialogue avec Damas ne peuvent pas utiliser leurs arguments pour ne pas mettre leurs alliés au pied du mur et ceux qui rejettent tout dialogue avec les autorités de Damas savent que leur position n'est pas populaire auprès de leurs électeurs et qu'elle est plus ou moins dépassée par les développements sur le terrain. Même les études publiées dans les médias sur l'opportunité que représente pour le Liban la présence des déplacés syriens ne convainquent pas la population qui reste assez hostile à l'égard des déplacés syriens indépendamment des considérations humanitaires. La violente polémique autour de la visite de certains ministres à Damas s'est donc soudainement calmée après le retour du Premier ministre Saad Hariri de son séjour controversé à Riyad et rien n'indique qu'elle sera rouverte au cours des prochains mois.
Pourtant, il ne faut pas croire que ce dossier ne connaît pas des développements importants qui se font toutefois dans la plus grande discrétion. L'initiative vient cette fois du régime syrien, avec une coordination discrète avec les autorités libanaises concernées, sachant que le directeur général de la Sûreté générale est officiellement chargé des contacts avec Damas. Au cours des dernières semaines, le ministre d'État syrien à la Réconciliation nationale, Ali Haïdar, a ainsi effectué plusieurs visites au Liban et en particulier dans les camps de déplacés dans le but de commencer à préparer le processus de leur retour. En décembre, M. Haïdar s'est donc rendu au camp de déplacés installé dans le village de Srifa au Liban-Sud et il s'est entretenu avec les Syriens qui y vivent, essayant de procéder à une sorte de recensement. Il a voulu ainsi savoir d'où ils viennent et si leurs localités d'origine font partie des zones sûres. Il les a aussi sondés sur leur volonté de retourner chez eux.
Selon des sources qui suivent le dossier, le ministre syrien se serait entretenu aussi bien avec les déplacés considérés comme proches du régime syrien qu'avec ceux qui sont proches de l'opposition, pour les inciter tous à revenir en S(..)

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#Suisse : un garde-frontière déclaré coupable de la mort d'un bébé à naître syrien - (mais écope de seulement 6 mois avec sursis suite à cet acte d'inhumanité ) #réfugiés

#Suisse : un garde-frontière déclaré coupable de la mort d'un bébé à naître syrien - (mais écope de seulement 6 mois avec sursis suite à cet acte d'inhumanité ) #réfugiés | Infos en français | Scoop.it

#Suisse : un garde-frontière déclaré coupable de la mort d'un bébé à naître syrien - (mais écope de seulement 6 mois avec sursis suite à cet acte d'inhumanité ) #réfugiés

ll avait refusé une aide médicale à une réfugiée syrienne qui faisait une fausse couche. La justice militaire suisse a condamné, jeudi 7 décembre, à une peine de prison avec sursis de six mois un garde-frontière suisse. Ce garde-frontière a été reconnu coupable de lésions corporelles par négligence, de tentative d'interruption de grossesse et de violations répétées des prescriptions de service, a rapporté l'agence suisse ATS.

Les faits remontent au 4 juillet 2014. Ce jour-là, un groupe de 36 réfugiés a été reconduit de Vallorbe, dans le Jura suisse, à Domodossola en Italie après avoir été remis aux gardes-frontières suisses par les autorités françaises. La réfugiée syrienne faisait partie de ce groupe et voyageait en compagnie de son époux et d'un enfant de 2 ans.

"Ce malheur aurait pu être évité"

Les réfugiés avaient été obligés de prendre place dans un bus afin d'être refoulés vers l'Italie. Durant le trajet, la femme enceinte de sept mois s'était plainte de douleurs au bas-ventre et de saignements. Elle avait ensuite perdu son bébé dans le train qui conduisait le groupe vers l'Italie.

La justice suisse a estimé que la Syrienne avait fait une fausse couche car le garde-frontière, responsable de cette reconduite à la frontière, lui avait refusé une aide médicale. Le médecin italien, qui avait traité à son arrivée en Italie la femme enceinte, avait déclaré à la télévision suisse SRF que "si cette femme avait reçu de l'aide en Suisse, ce malheur aurait pu être évité".

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Chute de #Raqqa, la fin de #Daech ?

Chute de #Raqqa, la fin de #Daech ?

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Essentiel, écouter attentivement - Moyen-Orient - Entretien avec #GabrielGalice - #Syrie #Irak 27 mn - octobre 2017

Essentiel, écouter attentivement - Moyen-Orient - Entretien avec #GabrielGalice - #Syrie #Irak 27 mn - octobre 2017

Ajoutée le 14 oct. 2017
 
 
Alors que la bataille de Rakka touche à sa fin, qu’avec la perte annoncée de Mayadine l’Organisation de l’État islamique (OEI) n’est plus que l’ombre de ce qu’elle fut, nous avons souhaité obtenir les analyses de Gabriel Galice – spécialiste, entre autres, des conflits – sur les événements qui agitent la région du Levant, et les idées qui gravitent autour du concept de Grand Moyen-Orient. Ce dernier, mais surtout la théorie du chaos qui lui fut associée, furent portés, entre autres, par le think tank néoconservateur Project for the New American Century (PNAC) [1] à partir de sa création en 1997, mis en avant par l’administration Bush au sommet du G8 de Sea Island en 2004, et intégrés à la doctrine Bush définie dans le rapport The National Security Strategy of the United States of America [2]. Passé par l’Institut d’études politiques (IEP) de Grenoble, et docteur de l’université de Grenoble, Gabriel Galice est économiste et politologue. Ses thèmes de prédilection sont la nation, l’Europe, ainsi que les questions tournant autour de la guerre et de la paix. Il est auteur ou directeur de plusieurs ouvrages et articles, notamment La guerre est-elle une bonne affaire ? (L’Harmattan, 2008) [3], Les causes des guerres à venir (L’Harmattan, 2009) [4] ou encore Penser la République, la guerre et la paix sur les traces de Jean-Jacques Rousseau (Slatkine, 2012). Il a été Conseiller régional de la région Rhône-Alpes de 1986 à 1992, chercheur puis directeur au GIPRI [5], qu’il préside actuellement. Le GIPRI est l’Institut international de recherches pour la paix à Genève, un institut de recherche et une fondation indépendante qui réunit toutes celles et ceux qui ont la paix à cœur, en tentant d’en clarifier les enjeux.
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Selon l' #ONU, plus de 600 000 réfugiés syriens sont retournés habiter en #Syrie

Selon l' #ONU, plus de 600 000 réfugiés syriens sont retournés habiter en #Syrie | Infos en français | Scoop.it

Selon l' #ONU, déjà plus de 600 000 réfugiés syriens sont revenus habiter en #Syrie en 2017

Surtout à #Alep ( #SaveAleppo écrivaient certains ici et là )

Donc, depuis qu'Assad avec l'aide de la #Russie, du #Hezbollah et de l' #Iran reprend des territoires au Groupe Etat Islamique et à la centaine de groupes djihadistes, majoritairement composés de non-syriens, qui pullulent en Syrie cachés voire défendus par les médias dominants occidentaux au nom de la desmauxcrassie depuis le début de la soi-disante "révolution" de 2011.

S' ils reviennent en Syrie , qu' #Assad est toujours au pouvoir, je pars du principe que ce n'est pas le régime d'Assad qu'ils fuyaient mais bel et bien la barbarie fondamentaliste des différents groupes djihadistes.

La nouvelle date du 11 août ... Demandons-nous pourquoi elle n'a pas fait grand bruit dans les médias dominants.

 

 

 

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La campagne contre l’armée... et la bataille annoncée de Ersal - #ScarlettHADDAD #Liban #Syrie #Djihadisme

La campagne contre l’armée... et la bataille annoncée de Ersal - #ScarlettHADDAD #Liban #Syrie #Djihadisme | Infos en français | Scoop.it

Saura-t'on un jour reconnaître les efforts du #Liban pour sa lutte contre le terrorisme djihadiste tant à travers son armée que le #Hezbollah tout en accueillant des millions de refugiés syriens ?

 

La campagne contre l’armée... et la bataille annoncée de Ersal - #ScarlettHADDAD #Liban #Syrie #Djihadisme

Décryptage
17/07/2017

Alors que le Liban se prépare à une semaine active, avec une réunion du Conseil des ministres et une autre du Parlement prévue sur deux jours au rythme de deux séances quotidiennes, les préoccupations internes portent surtout sur le bras de fer entre les partisans de l'armée libanaise et les défenseurs des droits des déplacés syriens. Si le ministère de l'Intérieur ne prend pas aujourd'hui une décision ferme sur ce sujet, les deux camps pourraient s'affronter dans deux manifestations prévues mardi presque simultanément et presque au même endroit. En principe, les deux causes sont justes et devraient pouvoir être défendues de pair. Mais depuis l'opération militaire préventive de l'armée dans deux camps de déplacés aux alentours de Ersal, un climat malsain règne dans le pays.

Profitant de la mort de quatre des personnes arrêtées par l'armée dans le cadre de cette opération, des associations humanitaires appuyées par des courants politiques mettent en cause l'armée et réclament le châtiment des coupables présumés. Dans un communiqué, l'armée a expliqué les circonstances de la mort des quatre détenus, après avoir effectué une enquête interne sur ce dossier. Mais les voix continuent à s'élever mettant en cause l'armée, qui pourtant bénéficie d'un large appui populaire. Les critiques étaient si violentes que le Premier ministre a dû convoquer le commandant en chef de l'armée au Sérail pour lui demander des précisions sur la question. Saad Hariri a aussi profité de cette réunion pour déclarer son appui à l'armée, en lui donnant en principe « une couverture politique totale ».

 

Mais les associations humanitaires précitées ont maintenu leurs critiques, allant même jusqu'à lancer un appel à manifester, mardi, en faveur des déplacés syriens « malmenés » par l'armée, provoquant immédiatement une réaction chez les partisans de la troupe, notamment chez les familles des soldats enlevés par les éléments armés syriens dans le jurd de Ersal, qui ont à leur tour appelé à une manifestation. Le ministère de l'Intérieur pourrait bien aujourd'hui décider d'interdire les deux rassemblements, mais il s'agira d'une solution en demi-teinte comme d'habitude et le feu continuera à couver sous la cendre.

Selon des politiciens chevronnés, cette situation commencerait à ressembler à celle qui prévalait dans les années 70 avec les réfugiés palestiniens. Après le coup de force du président Sleiman Frangié contre les camps palestiniens, qui lui a valu d'ailleurs les critiques violentes du monde arabe, l'État libanais a petit à petit commencé à céder du terrain face aux fedayine. Ce qui avait abouti à la guerre de 1975.

Aujourd'hui, il est clair que le Liban politique est divisé au sujet du dossier des déplacés syriens, ouvrant ainsi une brèche dans laquelle s'empressent de se faufiler certaines parties régionales et locales ayant des objectifs qui dépassent le Liban.

Selon des sources proches du 8 Mars, cette soudaine campagne contre l'armée vise à l'empêcher de mener la bataille du jurd de Ersal, Ras Baalbeck et Qaa, devenue pourtant imminente. En effet, depuis la prise du contrôle de la région séparant la Syrie de la frontière libanaise (notamment Zabadani et Madaya), cette poche du jurd libano-syrien, qui regroupe près d'un millier de combattants appartenant à trois formations, Daech, Fateh al-Cham (ex-Front al-Nosra) et Ahrar al-Cham, ne peut plus constituer une menace pour le régime syrien et sa capitale, comme c'était le cas au cours des années précédentes. La poche ne représente plus une menace que pour l'intérieur libanais en raison de la facilité de circulation des combattants entre le jurd syrien et les camps de déplacés installés entre la frontière et Ersal. Selon les experts militaires, il serait plus efficace, pour mettre ainsi un terme à la menace qu'ils représentent pour le Liban, de lancer une vaste offensive contre les combattants dans leur fief, plutôt que de multiplier les opérations à l'intérieur des camps à la recherche des terroristes qui s'y cachent.

C'est dans cette logique que le secrétaire général du Hezbollah a appelé dans ses derniers discours à régler la question du jurd de Ersal et de ses environs. En principe, c'est à l'armée libanaise que devrait revenir cette mission et le Hezbollah a remis aux soldats libanais ses positions dans ce secteur. Mais avec la soudaine campagne menée au sujet de prétendus sévices contre les détenus syriens, il semble que des parties internes et externes veulent empêcher l'armée de mener cette opération. Les sources du 8 Mars précitées précisent que l'objectif de ce refus est de maintenir la pression sur le Hezbollah et sur le Liban en général pour garder cette carte au cas où le Liban déciderait unilatéralement de renouer ses relations avec le régime syrien. Les mêmes sources ajoutent que la prestation télévisée du député membre du courant du Futur, Okab Sakr, et ses critiques à l'encontre de l'armée suite à l'opération menée dans deux camps de déplacés syriens, est un message clair non seulement aux Libanais en général, mais aussi à l'armée et au Premier ministre. Pacifier la poche du jurd couperait donc tout lien physique entre les combattants dans cette zone et l'intérieur libanais. Ce qui faciliterait par la suite le démantèlement des réseaux cachés en territoire libanais. Ce serait donc un grand pas vers plus de stabilité... dont certains semblent ne pas vouloir. À moins qu'il ne s'agisse de pousser le Hezbollah à agir pour ensuite le montrer du doigt.

 

 

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Nouveau témoignage de la mise en scène de la vidéo de l’ #attaquechimique présumée - #Syrie #Douma

Nouveau témoignage de la mise en scène de la vidéo de l’ #attaquechimique présumée - #Syrie #Douma

Nouveau témoignage de la mise en scène de la vidéo de l’attaque chimique présumée. Présenté par les Casques blancs comme une personne touchée par la présumée attaque chimique du 7 avril à Douma, le garçon syrien Hassan Diab et son père ont raconté à un journaliste russe comment la vidéo sur «l’attaque» avait été filmée.

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Vendredi 13.04.2018,#RogerWaters de #PinkFloyd a eu le courage de dire la vérité sur la #propagande des Casques Blancs de #Syrie durant un concert à Barcelone Filmé par mon amie syrienne #DimaAbbou...

Filmed by Dima Aboud in Spain. Roger Waters exposes NATO-member-state White Helmets as a multi million dollar funded propaganda construct for terroris
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interview de #AlainJuillet, Ancien Directeur du #Renseignement au sein de la #DGSE, Haut Responsable pour l’Intelligence Économique en #France auprès du 1er ministre, le 07/04/2018 #syrie #skripal ...

interview de #AlainJuillet, Ancien Directeur du #Renseignement au sein de la #DGSE, Haut Responsable pour l’Intelligence Économique en #France auprès du 1er ministre, le 07/04/2018 #syrie #skripal #libye #secretdesaffaires #russie

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article d'archive 2008 : "Pourquoi les époux #Kouchner veulent-ils la tête de #RichardLabévière (ndlr :auteur du scoop #SyrieLeaks révélant agenda cynique occidental en #Syrie)  ? #BernardKouchner ...

article d'archive 2008 : "Pourquoi les époux #Kouchner veulent-ils la tête de #RichardLabévière (ndlr :auteur du scoop #SyrieLeaks révélant agenda cynique occidental en #Syrie)  ? #BernardKouchner ... | Infos en français | Scoop.it

article d'archive 2008 : "Pourquoi les époux #Kouchner veulent-ils la tête de #RichardLabévière (ndlr :auteur du scoop #SyrieLeaks révélant agenda cynique occidental en #Syrie) ? #BernardKouchner #ChristineOckrent #médias #néocons#BernardKouchner #ChristineOckrent (scoop ici : https://prochetmoyen-orient.ch/syrieleaks-suites-propagande-et-dividendes/)

La direction du pôle audiovisuel public extérieur de la France a signifié son licenciement à Richard Labévière, rédacteur-en-chef à Radio France Internationale (RFI)

Cette décision soulève une tempête dans l’audiovisuel public, mais aussi aux Affaires étrangères et à la Défense, tant elle semble motivée par des considérations exclusivement politiques.

Selon la direction, le comportement de M. Labévière aurait soudain brusquement changé. Le rédacteur-en-chef aurait pris des initiatives incontrôlées plaçant sa radio dans l’embarras. Ainsi, il aurait interviewé à Damas le président syrien Bachar El-Assad et aurait diffusé ce long entretien sans en référer à sa hiérarchie.

De leur côté, les avocats de l’intéressé exhibent des correspondances attestant que cette interview avait été approuvée par la direction. Ils notent que le président El-Assad, après avoir été persona non grata en France, était quelques jours plus tard l’invité du président Sarkozy au sommet de la Méditerranée et au défilé du 14-Juillet. L’initiative était donc conforme à l’évolution de la politique étrangère française dont RFI et TV5-Monde doivent se faire l’écho. Ils observent également que cette évolution à été voulue par le président de la République contre l’avis de son ministre, Bernard Kouchner. Or, la directrice de l’information de l’audiovisuel extérieur qui a prononcé le licenciement n’est autre que la propre épouse du ministre, Christine Ockrent.

Vu la précipitation avec laquelle Richard Labévière a été révoqué, malgré le statut très protégé de sa fonction, chacun comprend qu’un enjeu important se cache derrière cette décision.

Dans une période où le président de la République pousse à de multiples réformes de l’audiovisuel public et supervise personnellement la politisation des grands médias détenus par ses amis, l’affaire inquiète les professionnels. Les journalistes du services public qui avaient dénoncé la nomination népotique de Mme Ockrent-Kouchner, en violation des statuts de l’entreprise publique, craignent que ce licenciement préfigure celui des non-sarkozystes à l’occasion de la fusion de RFI, de France 24, et de la composante française de TV5-Monde.

Mais l’affaire dépasse le cadre des médias.

Les diplomates s’inquiètent aussi du sens de ce licenciement. En effet, l’épouse de Richard Labévière, Anne Gazeau-Secret, n’est autre que l’ancienne directrice de cabinet de Bernard Kouchner (en 1991), devenue directrice générale de la coopération internationale et du développement au ministère des Affaires étrangères. Elle y dirige plus de 7 000 personnes. Or, c’est une des haut fonctionnaires les plus en pointe dans la contestation de la réforme du Quai d’Orsay, initiée par Bernard Kouchner, qui vise à rationaliser les services diplomatiques en les intégrant dans un réseau d’abord européen, puis atlantique.

En outre, Richard Labévière n’est pas uniquement rédacteur-en-chef à RFI. Il est aussi officier de réserve de la marine nationale, expert dans divers cénacles militaires, et rédacteur-en-chef de la revue des anciens de l’Institut des hautes études de la défense nationale. Il est l’auteur d’ouvrages documentés, étudiés dans les écoles de guerre, mettant en évidence le financement par les États-Unis et l’Arabie saoudite du prétendu terrorisme « islamique » [1]. Il va jusqu’à écrire qu’ « Al-Qaïda n’existe pas » [2] en tant qu’organisation, que l’on a tort de donner un nom générique à une constellation d’individus et de groupuscules autonomes. Il explique que ce terrorisme est une « invention » des États-Unis et de l’Arabie saoudite qui l’instrumentent et le financent. Surtout, Richard Labévière est un des rares journalistes à rendre compte du point de vue du courant gaulliste au sein « la Grande muette ». Une tendance aujourd’hui mise à écart, comme on l’a vu avec la placardisation de Jean-Claude Cousseran (ancien directeur de la DGSE) ou la démission du général Bruno Cuche (ancien chef d’état-major de l’armée de terre), tous opposés à l’intégration des armées françaises dans l’état-major de l’OTAN.

C’est pourquoi le licenciement de Richard Labévière n’illustre probablement pas uniquement une politisation du service public de l’audiovisuel, mais aussi une politisation des ministères des Affaires étrangères et de la Défense.

[1] Lire notamment Les Dollars de la terreur. Les États-Unis et les islamistes, Grasset, 1999.
[2] Titre du chapitre 15 des Coulisses de la terreur, Grasset, 2003.

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Le journaliste de #lemedia @kouamouo rappelle dans ce biillet que #NoëlMamère a voté ,en tant que député des Verts, et à l'encontre de son parti, en faveur de la poursuite de l'engagement de la #Fr...

Le journaliste de #lemedia @kouamouo rappelle dans ce biillet que #NoëlMamère a voté ,en tant que député des Verts, et à l'encontre de son parti, en faveur de la poursuite de l'engagement de la #France dans la guerre en #Libye #BalanceTonTartuffe

 

 

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(Attention, ce qui suit vient du TRES compétent et informé #RichardLabévière) #SYRIELEAKS : UN CÂBLE DIPLOMATIQUE BRITANNIQUE DEVOILE LA « STRATEGIE OCCIDENTALE » … 19.02.2018 #Syrie #Syria #Siria

Attention, ce qui suit vient du TRES compétent et informé #RichardLabévière : #SYRIELEAKS : UN CÂBLE DIPLOMATIQUE BRITANNIQUE DEVOILE LA « STRATEGIE OCCIDENTALE » … 19.02.2018 #Syrie #Syria #Siria

Conférence sur la sécurité - Munich, 17 février. Dans un anglais quelque peu familier mais précis, Benjamin Norman - diplomate en charge du dossier Proche et Moyen Orient à l’ambassade de Grande Bretagne à Washington - rend compte dans un Télégramme diplomatique confidentiel (TD)1 du 12 janvier 2018 de la première réunion du « Petit groupe…

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[ #Mélenchon Baching] #PierrePlottu, #FranceSoir et le #complotisme - Les Crises   #journalisme #propagande #médias #USA #Russie #Syrie #Venezuela #CIA

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[ #Mélenchon Baching] #PierrePlottu, #FranceSoir et le #complotisme - Les Crises #journalisme #propagande #médias #USA #Russie #Syrie #Venezuela #CIA

Nous allons aujourd’hui nous intéresser à un article qui s’est fait remarquer par sa violence et sa teneur particulièrement militante et manipulatoire. Il vise le leader de la France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon, et a été rédigé par le journaliste Pierre Plottu pour France Soir, le 21 décembre 2017.

Nous avons décidé d’en faire l’exégèse sur ce site, car il est tout symptomatique d’une nouvelle tendance que nous dénonçons fermement ici : celle qui consiste à dénigrer les personnes plutôt que leurs idées. Le tout en employant rarement des arguments de fond, mais plutôt des raccourcis rhétoriques déplorables que vous reconnaîtrez d’ailleurs certainement à la lecture du texte. Il s’agit d’une tendance qu’il n’est pas exagéré de qualifier de « propagande », comme nous allons le voir.

 

Loin de vouloir jouer les défenseurs inconditionnels de Jean-Luc Mélenchon, ou les exégètes de sa pensée, ce qui est dit de lui dans cet arti(..)

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A propos des 50 000 syriennes emprisonnées et violées | Arrêt sur Info- tellement de #propagande diffusée par l' "autre camp" que je suis très méfiant à propos du #documentaire #LeCriEtouffé #Syrie...

A propos des 50 000 syriennes emprisonnées et violées | Arrêt sur Info- tellement de #propagande diffusée par l' "autre camp" que je suis très méfiant à propos du #documentaire #LeCriEtouffé #Syrie... | Infos en français | Scoop.it

A propos des 50 000 syriennes emprisonnées et violées | Arrêt sur Info- tellement de #propagande diffusée par l' "autre camp" que je suis très méfiant à propos du #documentaire #LeCriEtouffé #Syrie #Syria Lire ceci, réfléchir

 

LEO BLUERIDET·|  2 DÉCEMBRE 2017 | OPINION

Mis à jour le 2 décembre à 12.10

PREMIERE REMARQUE : “Syrie : le cri étouffé”, un documentaire exceptionnel de Manon Loizeau » déjà primé à Genève est utilisé à des fins de propagande pour torpiller la conférence de Genève en cours entre la coalition victorieuse (Syrie – Russie – Iran – Liban) et la coalition vaincue (USA – UE – Golfe). L’heure et la date de diffusion permettront aux diplomates, qui négocient à Genève, de voir le film le soir dans leurs hôtels. Il influencera donc directement l’atmosphère les jours suivants à la table des négociations. Cela s’apparente à la fiole d’anthrax brandie par Colin Powell à l’ONU (5 février 2003), ou à la jeune fille en pleurs qui racontait à la tribune d’une commission de l’ONU aussi (10 octobre 1990), que des bébés avaient été jetés hors de leurs couveuses dans un hôpital koweïtien par des soldats irakiens. Pour ces 2 guerres du Golfe, en fait la fiole contenait de la “poudre de perlimpinpin” et il n’y avait pas d’ADM en Irak, et la jeune fille était la fille de l’ambassadeur du Koweït à Washington, et avait reçu une formation spéciale pour pleurer et faire pleurer l’audience. Il n’y a jamais eu d’hôpital détruit par Saddam Hussein. De la basse propagande donc. Sauf que cette fois, c’est la France qui s’en charge, et qu’elle inonde la Suisse au passage, pays neutre, dans un contexte de neutralité internationale battu en brèche par des méthodes de mafieux des ondes.

DEUXIEME REMARQUE : L’armée d’Assad est une armée de conscription, dont beaucoup d’appelés ne veulent pas aller faire la guerre. Mal payés, du reste 100 000 soldats sont morts au front. Il convient de noter que ce sont en majorité des musulmans SUNNITES comme les « rebelles » grassement payés par les Monarchies du Golfe qu’ils combattent durement. Pourquoi ne pas envisager que certains d’entre eux aient été « retournés » pour opérer des abominations sous uniforme de l’armée syrienne ? Il est avéré qu’une pluie de dollars a inondé la Syrie dès le début de la guerre. Nombres d’officiers de l’armée régulière syrienne ayant déserté a loi martiale a été appliquée et les fidèles au gouvernement Assad ont été encadrés. Dès le début de cette sale guerre, un attentat a liquidé TOUTE la tête du Renseignement syrien devant leur Ministère (6 morts). La Syrie a répliqué en blessant gravement le chef du renseignement saoudien à Riyad. Aujourd’hui il survit retiré de toute vie politique. Dans ces conditions, pensez-vous que le Gouvernement syrien contrôle efficacement la totalité de son armée ?

TROISIEME REMARQUE : De toute façon, si ces faits sont avérés et commis par des « membres du régime syrien », alors leur nombre ne peut être que fortement exagéré. C’est TOUJOURS le cas dans les médias de pays à la fois juges et partie. On en a un bon exemple avec l’affaire de la tentative d’établir un califat à Hama en Syrie, en février 82 (déjà). TOUS nos journaux ont parlé d’une répression ayant fait 30 000 morts… sauf qu’en décembre 82, la DIA américaine parle de 3000 morts, dont 1000 civils égorgés en place publique devant femmes et enfants chaque jour à midi pendant 2 semaines, par des Moudjahidines (jihadistes Frères Musulmans) venus d’Egypte. Hafeez Al Assad a alors envoyé son frère Rifaat Al Assad mater ce massacre. Je me demande ce que Sarkozy ou Hollande aurait fait à sa place… A l’époque, cela n’avait pas effrayé TF1 qui jugeait Hafeez Al Assad à la pointe du progressisme au Moyen Orient… Vous me direz « ça fait encore 5000 cas »… certes.

QUATRIEME REMARQUE qui rebondit sur la troisième : Il y a eu au début de la guerre une vague de terreur dans les campagnes suite à une autre vague d’attentats dans les grandes villes qui « ne prenait pas » et dont nos médias ont peu parlé. Des villages entiers ont été décimés par des écorcheurs égorgeurs violeurs liés « aux rebelles ». Les journalistes qui voulaient enquêter sur ces actes ont été menacés, ou sont morts, toujours à cause des pseudos rebelles qui les pourchassaient ou les attiraient dans des zones de tirs de l’armée syrienne (témoignage de Alex Thomson, Channel 4)… cette situation n’a pas permis à aujourd’hui de savoir QUI a commis ces atrocités…. mais à votre avis… QUI est soupçonnable ?

CINQUIEME REMARQUE : Rappelons qu’a contrario nous avons aidé depuis le début de cette campagne de déstabilisation une constellation effarante de bataillons rebelles, tous plus ou moins inféodés aux égorgeurs, car sur le terrain c’est toujours la loi du plus fort qui prévaut entre tribus de mercenaires n’appartenant pas à une armée régulière. Nous avons financé des armées moyenâgeuses, volatiles et peu fiables, car cupides et toutes en concurrence pour faire main basse sur la manne des pétrodollars saoudiens, qataris ou OTAN. Et pour se faire bien voir de nous (au propre comme au figuré), leurs monstruosités ont été tellement atroces, notamment auprès des femmes, que même nos médias furent obligés d’admettre qu’ils étaient absolument coupables de dizaines de milliers d’assassinats, tortures, viols… dans des conditions toutes plus sordides les unes que les autres. D’où ma question ; Sommes-nous en droit de donner des leçons au “camp d’en face” ? La vraie communauté internationale comprend 192 pays je crois. Que vont penser les 170 autres pays non impliqués dans cette campagne de déstabilisation ?

SIXIEME REMARQUE : Tout in chacun peut observer les mêmes schémas d’opérations lors de la mise en oeuvre de campagnes de déstabilisation d’un gouvernement ou d’un pays entier par la CIA ou comme en Syrie. Ainsi les mêmes schémas s’appliquent parfaitement au coup d’Etat contre Allende au Chili, contre Mossadec en Iran, contre Najibulah en Afghanistan, contre Zelaya au Salvador, contre Chavez puis Maduro au Vénézuéla, contre Kadhafi en Libye, et depuis Assad, contre Ianoukovitch en Ukraine. Dans ces schémas, on retrouve toujours parmi les éléments de diabolisation de l’ennemi, le sort réservé aux femmes… (sort dont le camp du bien USA – UE – OTAN – Golfe ne se préoccupe pas ou peu ou mal en Palestine, en Arabie Saoudite et dans le Golfe, en Afrique francophone, ou dans l’ancien Commonwealth…). Dans une guerre les femmes sont toujours victimes d’atrocités des ceux côtés. Pourquoi diable voudriez-vous qu’en Syrie il en aille différemment ?

SEPTIEME ET ULTIME REMARQUE : Elle est récurrente et procède de l’évidence même. « Cui bono ? » Tout chef d’Etat dans la ligne de mire des Etats-Unis et de l’OTAN sait qu’il va aussi être la cible d’attaques sans relâche des médias « occidentaux », de loin les plus puissants en termes de diffusion. Pour quelles raisons Bachar Al Assad et son gouvernement iraient-ils se compromettre sur des dossiers aussi sensibles que la ligne rouge de l’usage d’armes chimiques, ou la maltraitance des minorités comme les Kurdes, ou la maltraitance des femmes, des enfants et des déshérités ? C’est parfaitement absurde. Et d’ailleurs il me vient ce souvenir tout aussi absurde qui a concerné Muammar Kadhafi : Les journaux occidentaux ont dit qu’il avait importé un cargo de préservatifs et d’excitants sexuels pour son armée… voilà qui rappelle le captagon saoudien dont les femmes syriennes se souviennent sans doute aussi… et mon propos n’est pas d’en rire. Il est de comprendre la machine « en marche ». Alors « Cui bono ? » Il est absolument évident que « le camp d’en face », celui qui négocie sa reddition à Genève, a lui toutes les bonnes raisons de se frotter les mains d’un tel timing médiatique.

Je ne dis pas que les faits sont faux ni ne veut sous-estimer leur gravité bien sûr. Je dis : Retenons les leçons de l’Histoire, de Sun Zu (-400) à aujourd’hui. Extrême prudence devant des témoignages et des productions venant de tiers à la fois juges et partis. La sincérité peut cacher des mensonges malgré elle. Exagération, distorsion des faits, camouflage des identités, manipulation et instrumentalisation des témoins, des médias et de l’opinion publique, récurrence de schémas narratifs agissent pour détruire la vérité, toujours dans le sens des maîtres.

Source: Leo.Bluerider

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Attaques chimiques en #Syrie: la #Russie s'oppose aux Occidentaux à l'#ONU - AFP 8.11.17   #ONUMensonges #UNLies

Attaques chimiques en #Syrie: la #Russie s'oppose aux Occidentaux à l'#ONU - AFP 8.11.17   #ONUMensonges #UNLies | Infos en français | Scoop.it

Attaques chimiques en #Syrie: la #Russie s'oppose aux Occidentaux à l'#ONU - AFP 8.11.17 #ONUMensonges #UNLies

(..) Comme d'autres responsables russes ces semaines dernières, un représentant russe adjoint à l'ONU, Vladimir Safronkov, s'en est pris particulièrement au récent rapport des experts sur le massacre au gaz sarin commis le 4 avril à Khan Cheikhoun (plus de 80 morts). Leurs conclusions imputent la responsabilité de l'attaque chimique au régime syrien.

Comment peut-on recourir à autant d'expressions comme "probable", "possible", "vraisemblable" dans un document accusant Damas, s'est insurgé le diplomate russe. "Pour le régime de non-prolifération, il est utile de désigner des coupables", mais des "lacunes systémiques" ont été décelées dans le travail des enquêteurs, a-t-il ajouté.

Vladimir Safronkov a dénoncé le fait que ces derniers ne se soient pas rendus à Khan Cheikhoun, préférant "un travail à distance", et réclamé que la composition de leur groupe soit revue. "Leurs conclusions ne tiennent pas la route", a-t-il insisté, soulignant que le danger en Syrie était "le terrorisme chimique". (...)

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Interview 18.10.17 #ArtemStudennikov,ministre-conseiller ambassade de #Russie #France sur prise de #Raqa #Syrie

Interview d' #ArtemStudennikov, ministre conseiller de l'ambassade de #Russie #France sur prise de #Raqa #Syrie et le rôle prépondérant russe , mais peu médiatisé, lors de celle-ci.
Il s'interroge aussi sur un propable double-jeu  contre-productif des US vis à vis de #Daech afin d''affaiblir #Assad

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#Lafarge :les députés refusent l'amendement #Franceinsoumise qui "réquisitionne" les entreprises finançant #Daech

#Lafarge :les députés refusent l'amendement #Franceinsoumise qui "réquisitionne" les entreprises finançant #Daech | Infos en français | Scoop.it

#Lafarge :les députés refusent l'amendement #Franceinsoumise qui "réquisitionne" les entreprises finançant #Daech

Lors de l'examen de loi sur la sécurité intérieure, les Insoumis ont proposé un amendement visant à autoriser une "saisie inamicale" lorsque des entreprises comme Lafarge sont accusées de financer des groupes terroristes. Un amendement rejeté qui tirait son origine d'une proposition de Mélenchon durant la campagne présidentielle.

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L’offensive de l’armée libanaise contre l’ #EI aurait commencé - L'Orient Le Jour - #Liban #Syrie #Hezbollah

L’offensive de l’armée libanaise contre l’ #EI aurait commencé - L'Orient Le Jour - #Liban #Syrie #Hezbollah | Infos en français | Scoop.it

L’offensive de l’armée libanaise contre l’ #EI aurait commencé - L'Orient Le Jour - #Liban #Syrie #Hezbollah

07.08.2017 - Jeanine Jalckh

Le commandement militaire face au double défi du terrain et des tiraillements politiques.

La bataille de l'armée libanaise contre le groupe État islamique (EI) dans le jurd de Qaa et Ras Baalbeck semble avoir commencé, si l'on en croit les stratèges militaires. Le pilonnage intensif des positions de l'EI au cours du week-end dernier en serait le premier signe. Dans le jargon militaire, c'est ce qu'on appelle « les tirs préparatoires », ou encore « le barrage de feu pour faciliter l'avancée de l'infanterie », explique à L'Orient-Le Jour un officier à la retraite, le général Khalil Hélou, qui commentait les opérations menées depuis quelques jours sur ce front.

Annoncée depuis plusieurs jours après un déploiement en force des troupes dans les régions limitrophes de Ras Baalbeck et dans le Qaa, la bataille que mènera l'armée dans ces zones arides et sinueuses s'avère bien plus difficile sur le plan politique que militaire. Elle survient après la finalisation de la première manche de l'opération militaire menée par le Hezbollah contre les éléments du Fateh el-Cham (ex-Front al-Nosra) et dans un contexte politique des plus complexes sur le plan local et régional.

Moralement soutenue par une large partie de la population, qui n'a plus aucun doute sur les capacités de la troupe à marquer des victoires considérées comme « flamboyantes » contre les jihadistes (à Nahr el-Bared, à Tripoli et à Ersal), l'armée se trouve toutefois prise entre le marteau et l'enclume : entre le Hezbollah d'une part, qui semble de plus en plus pousser en direction d'un « mariage forcé » dans le cadre du célèbre triptyque armée-peuple-résistance, et la communauté internationale d'autre part, plus particulièrement les États-Unis, principaux pourvoyeurs de la troupe en équipements et en munitions.

Ayant poussé à son paroxysme la pression sur le parti chiite qu'elle considère comme une « organisation terroriste », l'administration US verrait ainsi d'un très mauvais œil toute coopération entre l'armée libanaise, qu'elle n'a cessé de soutenir depuis des années, et le Hezbollah, « qui fait de son mieux pour attirer l'institution militaire dans son giron », comme le précise le général Hélou.

« L'armée libanaise est capable de remplir cette mission (...). Elle n'a pas besoin d'aide. Ce serait une insulte à l'armée qu'elle puisse disposer d'un soutien américain – il en est question – pour une telle bataille », avait persiflé le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, dans un discours prononcé vendredi soir. Il faisait allusion à l'éventualité d'une intervention américaine en soutien à l'armée dans le cadre de la coalition internationale dirigée par les États-Unis.

Polémique

 

Les interrogations restent entières sur le modus operandi de cette seconde manche destinée à épurer la totalité de la zone occupée par l'EI, soit une superficie variant entre 300 et 400 km², dont près de 155 km² se trouveraient en Syrie. L'une des questions qui s'imposent pour l'heure est de savoir si l'armée mènera seule ou avec l'appui du Hezbollah cette bataille, le secrétaire général du parti chiite ayant gracieusement offert ses services à l'armée, se disant disposé à la soutenir si une décision politique était prise dans ce sens.
Après la finalisation de l'opération militaire menée par le Hezbollah contre les éléments du Fateh el-Cham dans le jurd de Ersal, qui vient de se conclure par l'exécution intégrale de l'accord d'échanges de prisonniers et dépouilles mortelles entre les deux parties, la décision de confier la bataille du jurd de Qaa et de Ras Baalbeck à l'institution militaire a suscité une série d'interrogations. Elles portent sur un éventuel partage des rôles entre l'armée officielle et la résistance et sur la décision de la guerre et de la paix qui continue de déchirer la classe politique.

La polémique s'est d'ailleurs poursuivie durant le week-end entre les tenants de la théorie souverainiste qui maintiennent que l'institution militaire est la seule habilitée à prendre cette décision, et les alliés du parti chiite qui continuent de louer « l'opération héroïque » menée par ce dernier contre le Fateh el-Cham. Les hommages rendus à la résistance ont également afflué d'Iran, dont le président Hassan Rohani, qui venait de rencontrer le chef du Parlement Nabih Berry, a salué le Hezbollah pour ses « victoires » qui, a-t-il dit, feront réfléchir « plus d'une partie (adverse) dans la région ».
La réponse à la polémique sur l'unilatéralisme de l'action de l'armée dans cette bataille est venue encore une fois de Hassan Nasrallah. 
Selon lui, « le problème n'est pas dans l'institution militaire ou sécuritaire au Liban, mais dans l'appareil et la décision politiques. Qui a empêché l'armée de livrer la bataille du jurd de Ersal ? Pourquoi est-elle capable maintenant de se battre et ne l'était pas avant ? » s'était-il interrogé vendredi.
D'ailleurs, le parti chiite ne semble pas avoir attendu un feu vert quelconque pour lancer (hier en soirée) une première escarmouche en direction des éléments de l'EI qu'il affirme avoir visés, près de Kherbet Daoud, à coups d'obus et de tirs directs, « faisant plusieurs tués et blessés ». Une initiative qui semble donner le ton de ce qui va advenir.

Pas de coopération avec l'armée syrienne

L'autre pendant de la polémique est la question de savoir si l'armée combattra en concertation ou non avec l'armée régulière syrienne à qui incombera la tâche d'épurer la partie du jurd se trouvant sur son territoire. La réponse est venue, tangentielle, du ministre de la Défense, Yaacoub Sarraf. « Il n'y a pas de coordination en raison des différends politiques », a-t-il dit, pour ajouter aussitôt après : « Mais en quoi la coordination avec la Syrie serait un problème si elle est dans l'intérêt du Liban ? »

Samedi, une source au sein de l'armée libanaise avait d'ailleurs affirmé à l'agence Reuters que le commandement militaire n'allait pas coopérer avec l'armée syrienne pour combattre les jihadistes de l'EI. Pour le général Hélou, parler de coordination entre les deux armées « est une absurdité », l'institution militaire n'ayant pas besoin, selon lui, de coordonner avec qui que ce soit sur le territoire qu'elle défend.
Appelée à mener sur le terrain un combat des plus ardus qu'elle ne peut plus éviter si elle veut sauvegarder son prestige, l'armée libanaise « risque de faire encore une fois les frais des tiraillements politiques internes et de la guerre des axes que mènent les grandes puissances dans la région », commente un analyste. Pour le général Hélou, « le mutisme du chef de l'État, Michel Aoun, qui est le commandant suprême des forces armées, est surprenant. Plus étonnant encore, la passivité déroutante du Conseil supérieur de défense à un moment aussi critique ».

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