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#Neymar- #Venezuela : deux histoires imbibées de pétrole -- ANTICONS - Observatoire du néo-conservatisme #qatar

#Neymar- #Venezuela : deux histoires imbibées de pétrole -- ANTICONS - Observatoire du néo-conservatisme #qatar | Infos en français | Scoop.it

#Neymar- #Venezuela : deux histoires imbibées de pétrole -- ANTICONS - Observatoire du néo-conservatisme #qatar

D’un côté, il y a le transfert au PSG du footballeur brésilien Neymar, présenté comme un joueur fantastique. De l’autre, le Venezuela en proie à une recrudescence de violences perpétrées au sein des manifestations organisées par l’opposition au Président socialiste Nicolas Maduro qui se retrouve, force est de le constater, totalement diabolisé par la presse française. De prime abord, ces deux sagas aux traitements médiatiques antagonistes peuvent paraître dépourvues de rapport. (..)

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Une bonne partie de la classe politique en #France tremble  #Qatar #terrorisme

Une bonne partie de la classe politique en #France tremble  #Qatar #terrorisme

L'Arabie et ses alliés rompent avec le Qatar, accusé de "soutenir le terrorisme"

(©AFP / 05 juin 2017 07h32)

Séisme diplomatique au Moyen-Orient: Ryad, Le Caire, Abou Dhabi et Manama ont rompu lundi avec le Qatar, accusé de soutenir le "terrorisme", quinze jours après un voyage de Donald Trump qui avait exhorté les pays musulmans à se mobiliser contre l'extrémisme.

Le Qatar, qui se targue de jouer un rôle régional et d'avoir été choisi pour organiser le Mondial-2022 de football, a également été exclu de la coalition militaire arabe qui combat des rebelles pro-iraniens au Yémen.

Doha n'a pas immédiatement réagi à ces mesures. De Sydney, le chef de la diplomatie américaine Rex Tillerson a pressé les pays du Golfe de rester unis.

Il s'agit de la crise la plus grave depuis la création en 1981 du Conseil de coopération du Golfe (CCG: Arabie saoudite, Bahreïn, Emirats arabes unis, Koweït, Oman, Qatar).

Trois de ces pays (Arabie, Emirats, Bahreïn), ainsi que l'Egypte, ont tour à tour annoncé lundi à l'aube la rupture de leurs relations diplomatiques avec le Qatar, qu'ils accusent de "soutien au terrorisme", y compris Al-Qaïda, le groupe Etat islamique (EI) et la confrérie des Frères musulmans.

L'agence officielle saoudienne SPA a annoncé que Ryad rompait ses relations diplomatiques et fermait ses frontières terrestres, aériennes et maritimes avec le Qatar pour "protéger sa sécurité nationale des dangers du terrorisme et de l'extrémisme".

"L'Arabie saoudite a pris cette mesure décisive en raison des sérieux abus des autorités de Doha tout au long des dernières années (...) pour inciter à la désobéissance et nuire à sa souveraineté", a déclaré un responsable saoudien.

"Le Qatar accueille divers groupes terroristes pour déstabiliser la région, comme la confrérie des Frères musulmans, Daech (acronyme en arabe de l'EI) et Al-Qaïda", a-t-il accusé.

Selon lui, Doha soutient aussi "les activités de groupes terroristes soutenus par l'Iran dans la province de Qatif (est)", où se concentre la minorité chiite du royaume saoudien, ainsi qu'à Bahreïn, secoué depuis plusieurs années par des troubles animés par la majorité chiite de ce pays.

- Doha dénonce une campagne -

La coalition militaire arabe, intervenant depuis plus de deux ans au Yémen sous commandement saoudien, a aussi décidé d'exclure le Qatar de cette alliance.

Dans un communiqué, la coalition indique que le Qatar soutient "le terrorisme", citant notamment Al-Qaïda et l'EI, bien implantés au Yémen, mais aussi les rebelles pro-iraniens Houthis.

Au Caire, l'Egypte a également annoncé la rupture de ses liens avec le Qatar.

Le Caire a "décidé de mettre fin à ses relations diplomatiques avec l'Etat du Qatar qui insiste à adopter un comportement hostile vis-à-vis de l'Egypte", a indiqué le ministère des Affaires étrangères égyptien.

Le communiqué annonce aussi la fermeture des frontières "aériennes et maritimes" avec le Qatar.

Bahreïn et les Emirats arabes unis ont aussi rompu tout rapport avec Doha. Les diplomates du Qatar ont 48 heures pour quitter leurs postes dans le Golfe.

Ces développements sont intervenus alors que les autorités qataries ont affirmé la semaine dernière avoir été victime de "hackers" ayant publié sur le site internet de l'agence de presse officielle QNA de faux propos attribués à l'émir cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani.

Ces propos controversés rompaient avec le consensus régional sur plusieurs sujets sensibles, notamment l'Iran, vu comme un allié stratégique alors qu'il vient d'être accusé par l'Arabie saoudite d'être "le fer de lance du terrorisme".

Ils contenaient aussi des commentaires négatifs sur les relations entre l'administration de Donald Trump et le Qatar, pourtant un proche allié des Etats-Unis.

La visite du président Trump à Ryad, son premier déplacement à l'étranger, avait été couronnée par la signature d'un accord sur "une vision stratégique" pour renforcer les relations économiques et de défense entre le royaume saoudien et les Etats-Unis.

Dans un discours le 21 mai à Ryad devant des dirigeants du monde musulman, M. Trump avait appelé à "chasser" les extrémistes et "les terroristes", en référence aux groupes jihadistes, auteurs d'attaques dans plusieurs pays. Il avait aussi demandé à la communauté internationale "d'isoler" l'Iran.

Le Qatar s'est plaint d'être victime d'une campagne hostile, notamment aux Etats-Unis, concernant son soutien présumé aux groupes islamistes.

La dernière crise ouverte dans le Golfe remonte à 2014 lorsque trois pays du CCG (Arabie, Bahreïn et Emirats) avaient rappelé leur ambassadeur à Doha pour protester contre le soutien présumé du Qatar aux Frères musulmans.



(©AFP / 05 juin 2017 07h32)

 

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#MarcFromager sur les #Chrétiens en #Syrie et en #Irak - #ChrétiensDOrient  - 26:40

#MarcFromager sur les #Chrétiens en #Syrie et en #Irak - #ChrétiensDOrient  - 26:40

Ajoutée le 16 févr. 2017

Marc Fromager, directeur de l'Aide à l'Eglise en Détresse, est venu nous présenter son dernier livre "Guerre, Pétrole et radicalisme. Les Chrétiens d'Orient pris en étau". L'écrivain revient sur la situation dramatique des Chrétiens d'Orient présents en Syrie et en Irak. Il nous explique comment les chrétiens réussissent à résister à l'emprise de l'Etat Islamique, le rôle qu'ils jouent pour entretenir une entente entre les chiites et les sunnites sans oublier leur façon de pratiquer la religion chrétienne. Enfin, selon Marc Fromager, la situation des chrétiens d'orient n'est pas désespérée et l'espoir de paix est toujours permis.

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Lettre ouverte aux charlatans de la révolution syrienne / Par #BrunoGuigue #Syrie #Syria #Siria

Lettre ouverte aux charlatans de la révolution syrienne / Par #BrunoGuigue #Syrie #Syria #Siria | Infos en français | Scoop.it

Un cri du coeur de Bruno Guigue auquel j'adhère

Adressé à tous les politiques et citoyens (pauvres gens manipulés par les premiers et les médias mainstreams) qui n'ont eu cesse d'appuyer des fous furieux, de leur faire des donations, de les inviter à des conférences

Vous avez été et pour certains, continuez à être ( "errare humanum est, PERSEVERARE DIABOLICUM" !!!) les idiots utiles des vendeurs d'armes et des compagnies gazières et pétrolières

 

Lettre ouverte aux charlatans de la révolution syrienne / Par #BrunoGuigue #Syrie #Syria #Siria

Par Bruno Guigue le 13 mai 2016

Au moment où un dirigeant historique de la résistance arabe libanaise, en Syrie, vient de mourir sous les coups de l’armée sioniste, j’adresse cette lettre ouverte aux intellectuels et militants de « gauche » qui ont pris parti pour la rébellion syrienne et croient défendre la cause palestinienne tout en rêvant de la chute de Damas.

Vous nous disiez, au printemps 2011, que les révolutions arabes représentaient un espoir sans précédent pour des peuples subissant le joug de despotes sanguinaires. Dans un excès d’optimisme, nous vous avons écoutés, sensibles à vos arguments sur cette démocratie miraculeusement naissante et à vos proclamations sur l’universalité des droits de l’homme. Vous aviez presque réussi à nous persuader que cette protestation populaire qui emporta les dictateurs tunisien et égyptien allait balayer la tyrannie partout ailleurs dans le monde arabe, en Libye comme en Syrie, au Yémen comme à Bahreïn, et qui sait où encore.

Mais cette belle envolée lyrique laissa rapidement paraître quelques failles. La première, béante, apparut en Libye. Adoptée par le conseil de sécurité pour secourir des populations civiles menacées, une résolution de l’ONU se transforma en chèque en blanc pour la destitution manu militari d’un chef d’Etat devenu encombrant pour ses partenaires occidentaux. Digne des pires moments de l’ère néoconservatrice, cette opération de « regime change » accomplie pour le compte des USA par deux puissances européennes en mal d’affirmation néo-impériale aboutit au désastre dont la malheureuse Libye continue de payer le prix. L’effondrement de ce jeune Etat unitaire livra le pays aux ambitions effrénées des factions et des tribus, sciemment encouragées par les convoitises pétrolières des charognards occidentaux.

Il y avait pourtant de bonnes âmes, parmi vous, pour accorder des circonstances atténuantes à cette opération, comme il y en avait, davantage encore, pour exiger qu’un traitement analogue fût infligé au régime de Damas. Car le vent de la révolte qui soufflait alors en Syrie semblait valider votre interprétation des événements et donner une justification a posteriori au bellicisme humanitaire déchaîné contre le potentat de Tripoli. Pourtant, loin des médias « mainstream », certains analystes firent observer que le peuple syrien était loin d’être unanime, que les manifestations antigouvernementales se déroulaient surtout dans certaines villes, bastions traditionnels de l’opposition islamiste, et que la fièvre sociale de couches paupérisées par la crise n’entraînerait pas pour autant la chute du gouvernement syrien.

Ces avertissements de bon sens, vous les avez ignorés. Comme les faits ne correspondaient pas à votre narration, vous les avez triés comme bon vous semble. Là où des observateurs impartiaux voyaient une polarisation de la société syrienne, vous avez voulu voir un tyran sanguinaire assassinant son peuple. Là où un regard dépassionné permettait de discerner les faiblesses, mais aussi les forces de l’Etat syrien, vous avez abusé de rhétorique moralisante pour instruire à charge le procès d’un gouvernement qui était loin d’être le seul responsable des violences. Vous avez vu les nombreuses manifestations contre Bachar Al-Assad, mais vous n’avez pas vu les gigantesques rassemblements de soutien au gouvernement et aux réformes qui emplirent les rues de Damas, Alep et Tartous. Vous avez dressé la comptabilité macabre des victimes du gouvernement, mais vous avez oublié celles des victimes de l’opposition armée. A vos yeux, il y avait de bonnes et de mauvaises victimes, des victimes qui méritent qu’on en parle et des victimes dont on ne veut pas entendre parler. Délibérément, vous avez vu les premières, tout en vous rendant aveugles aux secondes.

Au même moment, ce gouvernement français, dont vous critiquez volontiers la politique intérieure pour entretenir l’illusion de votre indépendance, vous a donné raison sur toute la ligne. Curieusement, la narration du drame syrien qui était la vôtre coïncidait avec la politique étrangère de M. Fabius, chef d’œuvre de servilité mêlant l’appui inconditionnel à la guerre israélienne contre les Palestiniens, l’alignement pavlovien sur le leadership américain et l’hostilité recuite à l’égard de la résistance arabe. Mais votre mariage ostensible avec le Quai d’Orsay ne sembla pas vous gêner. Vous défendiez les Palestiniens côté cour, et vous dîniez avec leurs assassins côté jardin. Il vous arriva même d’accompagner les dirigeants français en visite d’Etat en Israël. Vous voilà embarqués, complices, pour assister au spectacle d’un président qui déclare qu’il « aimera toujours les dirigeants israéliens ». Mais il en fallait plus pour vous scandaliser, et vous avez repris l’avion avec le président, comme tout le monde.

Vous aviez condamné à juste titre l’intervention militaire américaine contre l’Irak en 2003. La vertu roborative du bombardement pour la démocratie vous laissait froids, et vous doutiez des vertus pédagogiques des frappes chirurgicales. Mais votre indignation à l’égard de cette politique de la canonnière version « high tech » s’avéra étrangement sélective. Car vous réclamiez à cor et à cri contre Damas, en 2013, ce que vous jugiez intolérable dix ans plus tôt contre Bagdad. Une décennie a suffi pour vous rendre si malléables que vous voyiez le salut du peuple syrien, désormais, dans une pluie de missiles de croisière sur ce pays qui ne vous a rien fait. Reniant vos convictions anti-impérialistes, vous avez épousé avec enthousiasme l’agenda de Washington. Sans vergogne, non seulement vous applaudissiez par avance aux B 52, mais vous repreniez la propagande US la plus grotesque, dont le précédent irakien et les mensonges mémorables de l’ère Bush auraient dû vous immuniser.

Pendant que vous inondiez la presse hexagonale de vos inepties, c’est un journaliste américain, enquêteur hors pair, qui mit en pièces le pitoyable « false flag » destiné à rendre Bachar-Al-Assad responsable d’une attaque chimique dont aucune instance internationale ne l’a accusé, mais que les expertises du Massachussets Institute of Technology et de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques, en revanche, ont attribuée à la partie adverse. Ignorant les faits, les travestissant au besoin, vous avez joué à cette occasion votre misérable partition dans cette cacophonie de mensonges. Pire encore, vous continuez de le faire. Alors qu’Obama lui-même laisse entendre qu’il n’y a pas cru, vous vous obstinez à réitérer ces sornettes, comme des chiens de garde qui aboient après la disparition de l’intrus. Et pour quel motif ? Pour justifier le bombardement, par votre propre gouvernement, d’un petit Etat souverain dont le tort principal est de refuser l’ordre impérial. Pour venir en aide à une rébellion syrienne dont vous avez sciemment masqué le véritable visage, accréditant le mythe d’une opposition démocratique et laïque qui existe seulement dans les salons des grands hôtels de Doha, de Paris ou d’Ankara.

Cette « révolution syrienne », vous l’avez donc exaltée, mais vous avez pudiquement détourné les yeux de ses pratiques mafieuses, de son idéologie sectaire et de ses financements troubles et douteux. Vous avez soigneusement occulté la haine interconfessionnelle qui l’inspire, cette aversion morbide pour les autres confessions directement inspirée du wahhabisme qui en est le ciment idéologique. Vous saviez que le régime baassiste, parce qu’il est laïque et non confessionnel, constituait une assurance-vie pour les minorités, mais vous n’en aviez cure, allant même jusqu’à qualifier de « crétins » ceux qui prenaient la défense des chrétiens persécutés. Mais ce n’est pas tout. A l’heure du bilan, il restera encore cette ultime ignominie : vous avez cautionné la politique d’un Laurent Fabius pour qui Al-Nosra, branche syrienne d’Al-Qaida, « fait du bon boulot ». Tant pis pour les passants déchiquetés dans les rues de Homs ou les alaouites de Zahra assassinés par les rebelles : à vos yeux, ils ne sont que du menu fretin.

Entre 2011 et 2016, les masques tombent. Vous vous réclamez du droit international, mais vous applaudissez à sa violation contre un Etat souverain. Vous prétendez promouvoir la démocratie pour les Syriens, mais vous êtes devenus les fourriers du terrorisme qu’ils endurent. Vous dites que vous défendez les Palestiniens, mais vous êtes dans le même camp qu’Israël. Lorsqu’un missile sioniste s’abat sur la Syrie, n’ayez crainte : il ne frappera jamais vos amis. Grâce à Israël, grâce à la CIA, et grâce à vous, ces courageux rebelles vont continuer à préparer l’avenir radieux de la Syrie sous l’emblème du takfir. Le missile sioniste, lui, va tuer un des dirigeants de cette résistance arabe que vous avez trahis.

Bruno Guigue | 13 mai 2016

Bruno Guigue est un haut fonctionnaire, essayiste et politologue français né à Toulouse en 1962. Ancien élève de l’École Normale Supérieure et de l’ENA. Professeur de philosophie et chargé de cours en relations internationales dans l’enseignement supérieur. Il est l’auteur de cinq ouvrages, dont Aux origines du conflit israélo-arabe, l’invisible remords de l’Occident (L’Harmattan, 2002).

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#MichelOnfray : «Nous sommes déjà en guerre civile»-RT 35 mn - #France #Manifs #Daech #Diplomatie #MoyenOrient

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Ajoutée le 1 juin 2016

Le philosophe a reçu RT France pour un entretien d’actualité. De la contestation sociale en France en passant par l’Etat islamique et l’avenir de l’Hexagone, Michel Onfray a livré une analyse sombre qu’il veut réaliste.

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Nos très chers émirs (Christian Chesnot / Georges Malbrunot) - #Qatar #ArabieSaoudite #France #Corruption

Nos très chers émirs (Christian Chesnot / Georges Malbrunot) - #Qatar #ArabieSaoudite #France #Corruption

Une note de lecture sur l'enquête "Nos très chers émirs" de Christian Chesnot et Georges Malbrunot

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#BérengèreBonte : Révélations dans #livre "La République française du #Qatar" -  #corruption

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#France ,  #terrorisme et #diplomatie & carton -itw #PierreConesa 69 mn  #ArabieSaoudite #Qatar #Yémen #Syrie

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Ajoutée le 25 oct. 2016

Interview de Pierre Conesa, ancien haut fonctionnaire du Ministère de la Défense.
Vidéo enregistrée le 7 octobre 2016.

SUJETS :
Arabie Saoudite, Qatar, Quai d'Orsay, Diplomatie, Droit de l'homme, Salafisme, Terrorisme, Attentats, Schizophrénie diplomatique, OTAN, Irak, Yémen, flux de migrants, Syrie, Alep, Russie, Djihad, Afghanistan, Iran, UK, USA, Etat d'urgence, renseignement de terrain.

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"Les armes, c'est super !", la drôle d'humeur de #PierreEmmanuelBarré - #France #armement #humour

"Les armes, c'est super !", la drôle d'humeur de #PierreEmmanuelBarré - #France #armement #humour

Retrouvez la chronique de Pierre-Emmanuel Barré, chaque vendredi dans "La bande originale" de Nagui (11h-12h30

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