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AUDITION PARLEMENTAIRE - Réseau "Sortir du #nucléaire" - février 2018 - 58 mn #sécurité #santé #énergie

AUDITION PARLEMENTAIRE - Réseau "Sortir du #nucléaire" - février 2018 - 58 mn #sécurité #santé #énergie

Le jeudi 15 février 2018, Charlotte MIJEON (chargée de communication médias et des relations extérieures) et Martial CHATEAU (administrateur) ont été auditionnés par la Commission d'enquête sur la sûreté et la sécurité des installations nucléaires, présidée par Paul Christophe (UDI). L'intervention des porte-paroles aborde notamment : - le vieillissement des installations nucléaires, - le projet Cigéo prévu à Bure, - l'EPR de Flamanville et sa cuve défectueuse, - la filière de retraitement des déchets radioactifs à l'usine Orano de La Hague, - les failles du système de contrôle de la sûreté (entre mauvaise foi des exploitants et place ambiguë de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), qui joue plus un rôle d’"accompagnatrice" que de "gendarme")., - le recours à la sous-traitance et les conditions de travail des travailleurs du nucléaire.

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#NUCLEAIRE : #NicolasHulot répond à la députée M. #Panot ( #FI ) sous l'oeil attentif de #Mélenchon ... #environnement

#NUCLEAIRE : #NicolasHulot répond à la députée M. #Panot ( #FI ) sous l'oeil attentif de #Mélenchon ... #environnement

Ajoutée le 12 juil. 2017

Quand Nicolas Hulot, "ministre de la transition écologique et solidaire", va devoir affronter les députés de la France Insoumise après avoir tant loué leur programme écologique L'avenir en commun (et déjà L'humain d'abord en 2012)...

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#Areva #Nucléaire #France - #Niger : une vente présumée douteuse d' #uranium fait scandale #corruption

#Areva #Nucléaire #France - #Niger : une vente présumée douteuse d' #uranium fait scandale #corruption

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Pourquoi #Trump va à la confrontation avec l’ #Iran - #RadioSputnik 28 mn #DesordreMondial #Nucléaire #israel

Pourquoi #Trump va à la confrontation avec l’ #Iran - #RadioSputnik 28 mn #DesordreMondial #Nucléaire #israel

Désordre Mondial avec Rachel Marsden Depuis le retour des Républicains à la Maison Blanche, l’Iran est à nouveau dans la ligne de mire des néo-conservateur

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VOS FACTURES #EDF VONT EXPLOSER : LE VRAI COÛT DU #NUCLÉAIRE - chronique Mediapart 6 - 06.02.17

VOS FACTURES #EDF VONT EXPLOSER : LE VRAI COÛT DU #NUCLÉAIRE - chronique Mediapart 6 - 06.02.17

Ajoutée le 6 févr. 2017

Et si l'énergie nucléaire n'était pas si bon marché ? Osons Causer examine les dépenses à venir pour l'entretien et la prolongation des centrales nucléaires françaises. 100 milliards d'euros pour le "grand carénage", des dizaines de milliards pour l'enfouissement des déchets ou pour les EPR, EDF va faire face à des investissements très importants financés par nos factures. A l'heure où le nucléaire est une énergie de plus en plus contestée, découvrez un de ses aspects méconnus : son prix de plus en plus important.

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Radio Sputnik : Émission du Mardi 27 Décembre 2016 38 mn #infos #Syrie #Alep #nucléaire #US #Russie

Radio Sputnik : Émission du Mardi 27 Décembre 2016 38 mn #infos #Syrie #Alep #nucléaire #US #Russie

Présentée par Marie Clareville et Édouard Chanot. Journalistes: Clément Ollivier, Maxime Perrotin, Gaëlle Nicolle, Ksénia Lukyanova, Daphné Chazalon Oxan

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#Nucléaire #Suisse : #BenoîtGenecand (honte à lui..)& #AdèleThorens face aux questions des auditeurs - RTS 26 mn

#Nucléaire #Suisse : #BenoîtGenecand (honte à lui..)& #AdèleThorens face aux questions des auditeurs - RTS 26 mn | Infos en français | Scoop.it

#Nucléaire #Suisse : #BenoîtGenecand (honte à lui..)& #AdèleThorens face aux questions des auditeurs - RTS 26 mn

Les citoyens helvétiques voteront le 27 novembre sur le sort des cinq réacteurs nucléaires suisses. Débat entre les conseillers nationaux Benoît Genecand (PLR/GE) et Adèle Thorens (Verts/VD), qui répondent aux questions des auditeurs.

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Audio RTS 8 mn : La #Russie se prépare-t-elle à une guerre #nucléaire?

Audio RTS 8 mn : La #Russie se prépare-t-elle à une guerre #nucléaire? | Infos en français | Scoop.it

Audio RTS 8 mn : La #Russie se prépare-t-elle à une guerre #nucléaire?

Les autorités russes mènent cette semaine un gigantesque exercice de protection civile qui implique la participation de 40 millions de citoyens. Il s'agit de tester la coordination entre autorités locales, régionales et fédérales, d'évaluer l'état des abris et des réserves de survie. L’interview d’Igor Delanoë, directeur adjoint de l’Observatoire franco-russe à Moscou.

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Tic… Tac… Tic… Tac…, par Noam Chomsky #nucléaire #USA

Tic… Tac… Tic… Tac…, par Noam Chomsky #nucléaire #USA | Infos en français | Scoop.it

Tic… Tac… Tic… Tac…, par Noam Chomsky #nucléaire #USA

Source : TomDispatch.com, le 12/06/2016

Posté par Noam Chomsky, le 12 juin 2016

Cela faisait trois mois qu’il n’avait pas mis les pieds à son bureau lorsqu’il se rendit à Prague, capitale de la République Tchèque, et fit une allocution sur le dilemme nucléaire mondial. Ses déclarations semblaient venir de militants antinucléaires, pas du président des États-Unis. En appelant à utiliser de nouvelles formes d’énergie, Barack Obama a parlé avec une rare éloquence des dangers d’une planète où les armes nucléaires se sont répandues à tel point que leur utilisation va s’avérer « inévitable ». Il a plaidé pour un « monde sans armes nucléaires » et a même affirmé : « En tant que puissance nucléaire, en tant que seule puissance nucléaire à avoir utilisé l’arme nucléaire, les États-Unis ont la responsabilité morale d’agir. » Il a même promis de prendre « des décisions concrètes » pour commencer à construire un tel monde sans de telles armes.

Sept ans plus tard, il est temps de faire le bilan de notre soi-disant premier président abolitionniste. L’arsenal nucléaire américain – 4 571 ogives (quoique bien moins que les 19 000 de 1991 lors de l’implosion du l’Union Soviétique) – reste assez puissant pour détruire plusieurs planètes de la taille de la Terre. Selon la Fédération des Scientifiques Américains, les derniers chiffres du Pentagone sur cet arsenal indiquent que « l’administration Obama a réduit les réserves moins que n’importe quel autre depuis la fin de la guerre froide, et que le nombre d’ogives démantelées en 2015 était le plus faible depuis l’arrivée au pouvoir du président Obama. » Pour mettre cela en perspective, Obama a fait significativement moins que George W. Bush en matière de réduction de l’arsenal.

Dans le même temps, notre président abolitionniste s’occupe actuellement de la modernisation du même arsenal, un projet en cours depuis trois décennies, dont le coût est estimé à au moins 1000 milliard de dollars – sans compter, bien sûr, les habituels surcoûts impromptus. Dans l’opération, de nouveaux systèmes d’armement seront produits, la première bombe atomique dite « intelligente » (c’est à dire plus précise et plus destructrice), et Dieu sait quoi d’autre.

Un seul succès antinucléaire peut lui être attribué, son accord avec l’Iran s’assurant que ce pays ne produise pas une telle bombe. Un bilan aussi dérisoire venant d’un président qui semblait sur la voie de l’abolitionnisme nous éclaire sur la réalité du dilemme nucléaire et l’emprise que la sécurité nationale a sur sa pensée (et probablement sur celle de n’importe quel futur président).

Il est effrayant que, sur notre planète, l’humanité continue d’encourager deux forces apocalyptiques, dont chacune – l’une immédiate (menace nucléaire) et l’autre sur la durée (réchauffement climatique) – pourrait mutiler voire détruire l’humanité telle que nous la connaissons. Cela devrait tous nous faire réfléchir. C’est ce dont nous parle Noam Chomsky dans cet essai extrait de son remarquable nouveau livre Who Rules the World? (« Qui dirige le monde ? »). Tom

L’horloge de la fin du monde (Doomsday Clock)

Armes nucléaires, changement climatique, et les perspectives de survie

Par Noam Chomsky

[Cet essai est extrait du dernier livre de Noam Chomsky, Who Rules the World? (Metropolitan Books)]

En janvier 2015, le bulletin des scientifiques atomistes a avancé sa célèbre horloge de la fin du monde à minuit moins trois minutes, un niveau de menace qui n’avait pas été atteint depuis 30 ans. Le communiqué du bulletin explique le choix d’avancer l’horloge par deux menaces majeures pour notre survie : les armes nucléaires et le changement climatique non contrôlé. L’appel accuse les dirigeants mondiaux, qui « ont échoué à agir à la vitesse requise pour protéger les citoyens d’une catastrophe potentielle, » mettant en danger chaque personne sur Terre en échouant à accomplir leur plus important devoir : assurer et préserver la santé et la vitalité de la civilisation humaine.

Depuis lors, il y a de bonnes raisons de penser que nous sommes encore plus proches de la fin du monde.

Fin 2015, les dirigeants mondiaux se sont réunis à Paris pour résoudre le grave problème du « changement climatique incontrôlé. » Pas un jour ne se passe sans nouvelles preuves de la gravité de la crise. Pour prendre un exemple presque au hasard, peu de temps avant l’ouverture de la conférence de Paris, le Jet Propulsion Laboratory de la NASA a publié une étude surprenante et alarmante de deux scientifiques qui ont étudié la glace de l’Arctique. L’étude a montré que l’énorme glacier du Groenland, Zachariae Isstrom, « est passé d’une position glaciaire stable en 2012 à une phase de recul accéléré, » par un développement inattendu et de mauvais augure. Le glacier « contient suffisamment d’eau pour élever le niveau global de la mer de plus de 18 pouces (46 centimètres) s’il venait à fondre complètement. Il a maintenant entamé un régime de fonte rapide, perdant 5 milliards de tonnes de masse chaque année. Toute cette glace se désagrège dans l’océan Atlantique Nord. »

Cependant il y a peu d’espoir que les dirigeants du monde à Paris « agissent avec la vitesse ou à l’échelle requise pour protéger les citoyens de la catastrophe potentielle. » Et même si, par miracle, ils l’avaient fait, cela aurait été d’une portée limitée, pour des raisons qui seraient profondément troublantes.

Lorsque l’accord a été approuvé à Paris, le ministre français des affaires étrangères Laurent Fabius, qui a accueilli les débats, a annoncé qu’il était « juridiquement contraignant ». Cela peut nous permettre d’espérer, mais de nombreux obstacles doivent retenir toute notre attention.

Si l’on considère l’ensemble de la couverture médiatique de la conférence de Paris, peut-être les commentaires les plus importants sont ceux-ci, enfouis à la fin d’une longue analyse du New York Times : « Traditionnellement, les négociateurs se sont efforcés de rédiger un traité juridiquement contraignant qui requière des gouvernements des pays participants à la conférence que la ratification ait une valeur. Dans le cas présent, il n’y a aucun moyen de l’obtenir, à cause des États-Unis. Un tel traité serait mort-né en arrivant à Capitol Hill sans les deux tiers des voix de majorité requis au Sénat contrôlé par les Républicains. Ainsi, les objectifs volontaires prennent la place des objectifs contraignants et obligatoires. » Et les plans volontaires sont une garantie d’échec.

« A cause des États-Unis. » Plus précisément, à cause du Parti républicain, qui maintenant est en train de devenir un réel danger pour une survie humaine décente.

Les conclusions sont soulignées dans un autre article du Times sur l’accord de Paris. A la fin d’un long texte louant la réalisation, l’article note que le système créé à la conférence « dépend en grande partie des points de vue des futurs leaders mondiaux qui appliqueront ces politiques. Aux États-Unis, chaque candidat républicain à la présidence de 2016 a publiquement remis en question ou refusé d’admettre le changement climatique, et s’est opposé aux politiques de M. Obama à ce sujet. Au Sénat, Mitch McConnell, leader républicain, qui a mené la charge contre le programme de M. Obama concernant le changement climatique, a déclaré : “Avant que ses partenaires internationaux ne sabrent le champagne, ils feraient mieux de se rappeler que c’est un objectif inatteignable, basé sur un plan énergétique probablement illégal, que la moitié des États l’ont attaqué en justice pour l’arrêter, et dont le Congrès a déjà voté le rejet.” »

Les deux partis se sont déplacés vers la droite pendant la période néolibérale de la génération précédente. Les démocrates mainstream sont maintenant à peu près ce que l’on appelait « les républicains modérés ». Pendant ce temps, le Parti républicain a largement dérivé hors du spectre, devenant ce que le respecté analyste politique conservateur Thomas Mann et Norman Ornstein appellent une « insurrection radicale » qui a pratiquement abandonné la politique parlementaire normale. Avec la dérive droitière, le dévouement du Parti républicain à la richesse et aux privilèges est devenu si extrême que ses politiques réelles pourraient ne pas attirer les électeurs, il a donc dû chercher une nouvelle base populaire, mobilisée pour d’autres motifs : les chrétiens évangéliques qui attendent la seconde venue, nativistes qui craignent qu’« ils » mènent notre pays loin de nous, racistes impénitents, les gens avec de vrais griefs qui confondent gravement leurs causes, et d’autres comme eux qui sont des proies faciles pour les démagogues et peuvent facilement se transformer en insurrection radicale.

Au cours des dernières années, l’establishment républicain a réussi à ignorer les voix de la base qu’il avait mobilisée. Mais plus maintenant. À la fin 2015, l’establishment exprimait la consternation et un désespoir considérable pour son incapacité à le faire, alors que la base républicaine et ses choix sont hors de contrôle.

Les élus républicains et prétendants à la prochaine élection présidentielle ont exprimé un mépris clair pour les délibérations de Paris, refusant même de participer à la procédure. Les trois candidats qui menaient dans les sondages du moment – Donald Trump, Ted Cruz et Ben Carson – ont adopté la position de la base largement évangélique : les humains n’ont pas d’impact sur le réchauffement climatique, si tant est que le réchauffement existe.

Les autres candidats rejettent l’action du gouvernement face à la question. Immédiatement après le discours d’Obama à Paris, promettant que les États-Unis seraient à l’avant-garde de la recherche d’une action mondiale, un vote du Congrès dominé par les Républicains a sabordé les dernières règles de l’Agence de Protection de l’Environnement destinées à réduire les émissions de carbone. Comme la presse l’a rapporté, ce fut « un message provocant adressé à plus de 100 dirigeants du monde, soulignant que le président américain n’a pas le plein soutien de son gouvernement sur la politique climatique » – un euphémisme, en quelque sorte. Pendant ce temps, Lamar Smith, chef républicain de la commission de la Chambre sur la science, l’espace et la technologie, a renforcé son djihad contre les scientifiques du gouvernement qui osent dénoncer les faits.

Le message est clair. Les citoyens américains sont confrontés à une énorme responsabilité chez eux.

Sur ce même sujet, le New York Times souligne que « les deux tiers des Américains sont favorables à ce que les États-Unis adoptent un accord international contraignant pour freiner la croissance des émissions de gaz à effet de serre. » Et trois Américains sur cinq considèrent le climat comme plus important que l’économie. Mais ce n’est pas le problème. L’opinion publique est ignorée. Ce fait, une fois de plus, envoie un message fort aux Américains. Il leur incombe de corriger les dysfonctions du système politique, dans lequel l’opinion populaire est une donnée marginale. La disparité entre l’opinion publique et la politique, dans ce cas, a des conséquences importantes pour le sort du monde.

Nous ne devons pas, bien sûr, nous lamenter sur un « âge d’or » révolu. Néanmoins, en examinant simplement l’évolution actuelle, on y voit des changements importants. L’affaiblissement du fonctionnement de la démocratie est l’une des conséquences de l’agression néolibérale sur la population mondiale de la dernière génération. Et cela ne se produit pas seulement aux États-Unis ; en Europe l’impact est peut-être pire.

Le cygne noir que nous ne verrons jamais

Passons maintenant à l’autre (et traditionnelle) préoccupation des scientifiques atomiques qui ajustent l’horloge de la fin du monde : les armes nucléaires. La menace actuelle de la guerre nucléaire justifie amplement leur décision de janvier 2015 d’avancer l’horloge de deux minutes vers minuit. Ce qui est arrivé depuis révèle encore plus clairement la menace croissante, une question qui suscite une préoccupation insuffisante, à mon avis.

La dernière fois que l’horloge de la fin du monde a atteint trois minutes avant minuit c’était en 1983, au moment des exercices Able Archer de l’administration Reagan ; ces exercices d’attaques simulées sur l’Union Soviétique ont servi à tester leurs systèmes de défense. Des archives russes publiées récemment révèlent que les Russes étaient profondément préoccupés par les opérations et se préparaient à répliquer, ce qui aurait signifié, tout simplement : La Fin.

Nous en avons appris plus sur ces exercices irréfléchis et inconscients qui ont conduit le monde à deux doigts de la catastrophe, de la part de militaires américains et de l’analyste américain du renseignement Melvin Goodman, qui était chef de la division de la CIA et analyste principal au Bureau des affaires soviétiques de l’époque. « En plus de l’exercice de mobilisation Able Archer qui a alarmé le Kremlin, écrit Goodman, l’administration Reagan a autorisé des exercices militaires inhabituellement agressifs près de la frontière soviétique qui, dans certains cas, ont violé la souveraineté territoriale soviétique. Les mesures risquées du Pentagone comprenaient l’envoi de bombardiers stratégiques américains sur le pôle Nord pour tester les radars soviétiques, et des exercices navals de temps de guerre où les navires américains ont été plus proches de l’URSS que jamais. Ainsi que des opérations secrètes de simulation d’attaques navales surprises sur des cibles soviétiques. »

Nous savons maintenant que le monde a été sauvé de la destruction nucléaire probable dans ces jours effrayants par la décision d’un officier russe, Stanislav Petrov, de ne pas transmettre aux autorités supérieures le rapport des systèmes de détection automatisés prévenant que l’URSS subissait une attaque de missiles. Par conséquent, Petrov prend sa place aux côtés du commandant de sous-marin russe Vasili Arkhipov, qui, à un moment dangereux de la crise des missiles cubains de 1962, a refusé d’autoriser le lancement de torpilles nucléaires lorsque des sous-marins ont été attaqués par les destroyers américains qui maintenaient le blocus maritime.

D’autres exemples révélés récemment viennent enrichir le dossier déjà effrayant. L’expert de la sécurité nucléaire Bruce Blair déclare que « le moment où les Etats-Unis ont été le plus proche de voir le Président décider par inadvertance d’un lancement stratégique a eu lieu en 1979, quand le système d’alerte précoce NORAD (North American Aerospace Defense Command) a détecté une attaque soviétique de grande ampleur. Le conseiller de sécurité nationale Zbigniew Brzezinski a été appelé deux fois dans la nuit pour lui annoncer que les États-Unis étaient attaqués. Il a aussitôt décroché le téléphone pour convaincre le président Carter qu’une réponse à grande échelle était nécessaire et devait être immédiate, quand un troisième appel l’a informé que c’était une fausse alerte. »

Cet exemple nouvellement révélé évoque un incident critique de 1995, lorsque la trajectoire d’une fusée américano-norvégienne transportant du matériel scientifique ressemblait à la trajectoire d’un missile nucléaire. Ce qui a provoqué l’inquiétude russe qui a atteint rapidement le président Boris Eltsine, qui est en charge de décider de lancer une frappe nucléaire.

Blair ajoute d’autres exemples tirés de sa propre expérience. Dans un cas, pendant la guerre du Moyen-Orient en 1967, « un équipage d’avion porteur de charge nucléaire a reçu un ordre d’attaque réelle au lieu d’un exercice de formation et d’entrainement nucléaire. » Quelques années plus tard, au début des années 1970, le Strategic Air Command de Omaha a « réémis un ordre d’exercice de lancement comme un ordre de lancement réel. » Dans les deux cas, les contrôles de code avaient échoué ; une intervention humaine a empêché le lancement. « Vous avez là un exemple de la dérive, » ajoute Blair. « Il n’était tout simplement pas rare que ce genre de SNAFU se produise. » [SNAFU : « Situation Normal: All Fucked Up », acronyme ironique indiquant que la situation est mauvaise, mais que c’est la situation normale, NdT]

Blair a fait ces commentaires en réaction au rapport du pilote John Bordne qui a été récemment blanchi par l’US Air Force. Bordne servait sur la base militaire américaine à Okinawa en octobre 1962, au moment de la crise des missiles de Cuba et au moment de graves tensions en Asie. Le système d’alerte nucléaire des États-Unis avait été augmenté à DEFCON 2, un niveau inférieur à DEFCON 1, niveau auquel des missiles nucléaires peuvent être lancés immédiatement. Au sommet de la crise, le 28 octobre, un équipage de missiles a reçu l’autorisation de lancer ses missiles nucléaires par erreur. Ils ont décidé de ne pas le faire, évitant probablement la guerre nucléaire. Ils rejoignent ainsi Petrov et Arkhipov dans le panthéon des hommes qui ont décidé de désobéir au protocole et ainsi sauvé le monde.

Comme Blair l’a observé, ces incidents ne sont pas rares. L’étude récente d’un expert a révélé des dizaines de fausses alertes chaque année au cours de la période examinée, de 1977 à 1983 ; l’étude a relevé un nombre de cas variant de 43 à 255 par an. L’auteur de l’étude, Seth Baum, résume avec les mots appropriés : « La guerre nucléaire est le cygne noir que personne ne voit jamais, sauf en ce bref instant où il nous tue. Nous retardons la suppression de cette menace à nos risques et périls. Il est grand temps de le faire, tant que nous sommes encore en vie. »

Ces études, comme celles reprises dans le livre d’Eric Schlosser, Command and Control, se bornent principalement aux systèmes américains. Les systèmes russes en revanche sont bien plus sources d’erreurs. Sans oublier les autres systèmes, notamment pakistanais.

« Une guerre n’est plus inimaginable »

Parfois, la menace n’est pas un accident, mais de l’aventurisme, comme dans le cas d’Able Archer. Le cas le plus extrême est celui des Missiles Cubains de 1962, quand la menace d’un désastre était bien trop réelle. La façon dont cela a été géré en est choquante ; de même que la manière dont cela a été interprété par la suite.

Avec ce triste record en tête, il est utile d’observer les débats stratégiques et leur préparation. Un cas qui fait froid dans le dos est celui de l’étude du STRATCOM (United States Strategic Command) “Eléments essentiels de la dissuasion post-Guerre Froide” (« Essentials of Post-Cold War Deterrence »), sous Clinton en 1995. L’étude appelle à conserver le droit de la « première frappe » [en stratégie militaire, une première frappe désigne une attaque surprise préventive avec un grand nombre d’armes, NdT], même contre les pays ne possédant pas l’arme nucléaire. L’étude explique que les armes nucléaires sont constamment utilisées, dans le sens où elles « assombrissent chaque crise ou conflit. » Elle incite également à renvoyer l’image d’un pays au caractère vindicatif et irrationnel, afin d’intimider le monde.

La doctrine actuelle est analysée dans l’éditorial du journal International Security, un des journaux de référence dans le monde de la doctrine stratégique. Les auteurs expliquent que les États-Unis sont engagés dans une primauté stratégique – c’est-à-dire éviter les représailles. C’est la logique de la « nouvelle triade » d’Obama (renforcer les sous-marins et les missiles au sol ainsi que les forces de bombardement), en plus de missiles de défense pour contrer des représailles. Le problème levé par les auteurs est que la demande américaine pour une primauté stratégique pourrait mener la Chine à réagir en abandonnant sa politique consistant à ne pas lancer de première frappe et en étendant les limites de sa dissuasion. Les auteurs pensent que cela n’arrivera pas, mais les perspectives restent incertaines. Clairement, cette doctrine augmente les dangers dans une région conflictuelle et à risque.

C’est également vrai pour l’OTAN et son expansion vers l’est en violation avec les promesses verbales faites à Mikhaïl Gorbatchev alors que l’URSS s’écroulait et qu’il donna son accord pour permettre à l’Allemagne, une fois unifiée, d’intégrer l’OTAN – concession assez remarquable quand on repense à l’histoire du XXe siècle. L’expansion vers l’Allemagne de l’Est s’est faite dans un premier temps. Dans les années qui ont suivi, l’OTAN s’est étendue jusqu’aux frontières russes ; il y a maintenant des raisons de craindre que cela puisse aller jusqu’à une inclusion de l’Ukraine, cœur géostratégique de la Russie. On imagine très bien comment les États-Unis réagiraient si le pacte de Varsovie existait encore, si une grande partie de l’Amérique latine l’avait rejoint, et si maintenant, le Mexique et le Canada étaient candidats également.

Mis à part cela, la Russie comprend comme la Chine (et les stratèges américains, d’ailleurs) que les systèmes américains de défense antimissile près des frontières de la Russie sont, en effet, des armes de première frappe, visant à établir la primauté stratégique – l’immunité contre les représailles. Peut-être que leur mission est tout à fait impossible, comme certains spécialistes le soutiennent. Mais on ne peut être sûr de rien. Et les réactions militaires de la Russie sont interprétées naturellement par l’OTAN comme une menace pour l’Occident.

Un éminent chercheur britannique spécialiste de l’Ukraine présente ce qu’il appelle un « paradoxe géographique fatidique » : que l’OTAN « n’existe que pour gérer les risques créés par son existence. »

Les menaces sont maintenant bien réelles. Heureusement, l’abattage d’un avion russe par un F-16 turc en novembre 2015 n’a pas mené à un incident international, mais il aurait pu, particulièrement au vu des circonstances. L’avion était en mission de bombardement en Syrie. Il est passé pendant à peine 17 secondes au-dessus d’une frange du territoire turc qui forme une saillie dans la Syrie, et se dirigeait de manière évidente vers la Syrie, où il s’est abîmé. L’abattre apparaît comme ayant été un acte inutilement imprudent et provocateur, et un acte suivi de conséquences.

En réaction, la Russie a annoncé que ses bombardiers seraient dorénavant accompagnés par des avions de chasse et qu’elle déploierait des systèmes sophistiqués de missiles anti-aériens en Syrie. La Russie a également ordonné à son croiseur lance-missiles Moskva, avec son système de défense aérienne longue portée, de se rapprocher de la côte afin qu’il puisse être « prêt à détruire n’importe quelle cible aérienne portant un potentiel danger contre sa flotte aérienne, » a annoncé le ministre Sergei Shoigu. Tout cela jette les bases de confrontations qui pourraient être létales.

Les tensions sont également constantes aux frontières entre la Russie et l’OTAN, incluant les manœuvres militaires des deux côtés. Peu après que l’horloge de la fin du monde ait été, de manière inquiétante, rapprochée de minuit, la presse nationale déclara que « des véhicules de combat militaire américains ont paradé mercredi à travers une ville estonienne qui jouxte la Russie, un acte symbolique qui souligne les enjeux pour les deux côtés au milieu des pires tensions entre l’Occident et la Russie depuis la guerre froide. » Peu avant, un avion de guerre russe est passé à quelques secondes d’une collision avec un avion de ligne civil danois. Les deux côtés pratiquent une mobilisation rapide et un redéploiement des forces vers la frontière Russie-OTAN, et « tous deux pensent qu’une guerre n’est plus impensable. »

Perspectives de survie

S’il en est ainsi, les deux côtés sont au-delà de l’imbécillité, car une guerre pourrait bien tout détruire. Il est reconnu depuis des dizaines d’années qu’une première frappe d’une puissance majeure pourrait détruire l’attaquant, même sans représailles, simplement des effets d’un hiver nucléaire.

Mais c’est le monde d’aujourd’hui. Et pas seulement celui d’aujourd’hui – mais celui dans lequel nous vivons depuis 70 ans. Le raisonnement de toutes les parties est incroyable. Comme nous l’avons vu, la sécurité pour les populations n’est, typiquement, pas le premier souci des politiciens. Cela est vrai depuis les premiers jours de l’âge nucléaire, quand dans les centres de formation politique il n’y avait aucun effort – apparemment même aucune pensée exprimée – pour éliminer la sérieuse menace potentielle pour les États-Unis, ce qui aurait pu être possible. Et ainsi le même problème continue de persister, comme le montrent les exemples que nous venons de citer.

C’est le monde dans lequel nous avons vécu et vivons encore aujourd’hui. Les armes nucléaires posent un danger constant de destruction instantanée, mais au moins nous savons comment réduire la menace, et même comment l’éliminer ; une obligation qui engageait les puissances nucléaires qui ont signé le traité de non-prolifération, et dont ils n’ont pas tenu compte. La menace du réchauffement climatique n’est pas immédiate, bien qu’elle soit pressante à long terme et pourrait empirer soudainement. Notre capacité à la gérer reste à préciser, mais il n’y a aucun doute que plus le délai sera long, plus extrême sera le désastre.

Les perspectives d’une survie décente à long terme ne sont pas élevées à moins qu’il n’y ait un changement significatif dans la trajectoire. Une grande partie de la responsabilité est entre nos mains – les opportunités également.

Noam Chomsky est professeur émérite dans le département de linguistique et de philosophie au Massachussetts Institute of Technology (MIT). Dans son œuvre de réinformation [Allusion au site TomDispatch.com, qui se définit comme antidote aux médias mainstream, NdT], on trouve parmi ses récents livres Hegemony or Survival (« Hégémonie ou Survie ») et Failed States (« Des États ratés »). Cet essai est tiré de son nouveau livre, Who Rules the World? (« Qui dirige le monde ? », Metropolitan Books, the American Empire Project). Son site est www.chomsky.info.

Copyright 2016 Valeria Galvao Wasserman-Chomsky

Source : TomDispatch.com, le 12/06/2016

Traduit par les lecteurs du site www.les-crises.fr. Traduction librement reproductible en intégralité, en citant la source.

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#Brexit:  pas d'impact pour #EDF et son projet #nucléaire à Hinkley Point -AFP #BusinessIsBusiness #énergie #Europe

#Brexit:  pas d'impact pour #EDF et son projet #nucléaire à Hinkley Point -AFP #BusinessIsBusiness #énergie #Europe | Infos en français | Scoop.it

#Brexit:  pas d'impact pour #EDF et son projet #nucléaire à Hinkley Point -AFP #BusinessIsBusiness #énergie #Europe

Paris - Le Brexit n'a pas d'impact sur l'activité et la stratégie d'EDF au Royaume-Uni, notamment son projet de construire une nouvelle centrale nucléaire à Hinkley Point (Angleterre), a déclaré vendredi le PDG de l'électricien public français, Jean-Bernard Lévy.

Aujourd'hui, nous estimons que ce vote n'a pas d'impact sur notre stratégie, et notre stratégie (...) pour notre filiale britannique n'est pas modifiée, a assuré le dirigeant à des journalistes, avant de décoller pour Perpignan où il devait inaugurer un nouveau parc éolien d'EDF.

Notre stratégie d'entreprise n'est pas liée à l'appartenance politique de la Grande-Bretagne à l'Union européenne, donc nous n'avons pas de raison de changer cette politique, a-t-il ajouté.

EDF Energy, la filiale britannique d'EDF, dit produire environ un sixième de l'électricité du Royaume-Uni, par le biais de centrales nucléaires, thermiques ou éoliennes qui alimentent environ 5,5 millions de particuliers et d'entreprises. Elle emploie environ 15.000 personnes.

Jean-Bernard Lévy a notamment dit ne pas craindre une remise en cause de la construction de deux réacteurs nucléaires EPR à Hinkley Point (sud-ouest de l'Angleterre), un gigantesque projet de 18 milliards de livres (environ 22 milliards d'euros au taux de change actuel) contesté par les syndicats français du groupe et pour lequel une décision finale d'investissement se fait attendre.

Je voudrais juste souligner que, dans les derniers jours, il est apparu clairement que les porte-parole du camp du Brexit sur les sujets d'énergie, en particulier Mme Andrea Leadsom - qui est la secrétaire d'État à l'Energie (...) -, à de nombreuses reprises et encore ces derniers jours, a pris position en faveur du maintien de la politique de décarbonation, du maintien du choix du nucléaire et du maintien du projet Hinkley Point. Donc, nous n'avons aujourd'hui pas de conséquences à tirer de ce vote, a insisté le PDG.

Le comité central d'entreprise d'EDF, qui doit se prononcer sur ce projet - avec une séance prévue le 4 juillet -, a engagé cette semaine des démarches pour saisir la justice afin d'obtenir des documents supplémentaires, estimant qu'il ne dispose pas de tous les éléments pour émettre valablement un avis. L'audience a été fixée au 22 septembre, ont indiqué vendredi à l'AFP deux sources proches du dossier.

Interrogé, EDF, qui a assuré mercredi avoir fourni une information complète au CCE, n'a pas souhaité commenter.

La décision finale d'EDF sur le projet Hinkley Point était initialement attendue début mai, après un précédent report.

M. Lévy s'est également voulu rassurant sur l'impact financier de la chute de la livre sterling sur les comptes d'EDF. Nous sommes un opérateur sur les marchés comme toute grande entreprise, et nous avons fait en sorte de ne pas prendre de position dite directionnelle. C'est-à-dire que nous sommes dans une situation de neutralité vis-à-vis des mouvements qui pourraient se produire sur les marchés, a-t-il dit.

Les économistes de marché pensent que la livre va baisser mais si la monnaie baisse, l'économie devient plus compétitive. Je pense que nous devons nous adapter à des situations économiques ou à des taux de change qui peuvent évoluer, a-t-il précisé.

mhc-mpa-sp/cb/gib

EDF - ELECTRICITE DE FRANCE

AREVA


(©AFP / 24 juin 2016 15h59)

 

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Une ferme aquacole géante installée s/1 ancienne base atomique / #France Inter 37 mn #Polynésie #Nucléaire  #Environnement

Une ferme aquacole géante installée s/1 ancienne base atomique  / #France Inter 37 mn #Polynésie #Nucléaire  #Environnement | Infos en français | Scoop.it

Une ferme aquacole géante installée s/1 ancienne base atomique / #France Inter 37 mn #Polynésie #Nucléaire  #Environnement

Une entreprise chinoise projette de transformer l'atoll de Hao dans l’archipel des Tuamotu, au cœur de la Polynésie française -  ancienne base militaire pendant les essais nucléaires - en gigantesque ferme usine d’élevage de poissons tropicaux destinés à nos assiettes. 

Un bord de mer de rêve en plein Pacifique, à l’heure atomique : tel était le grand atoll de Hao, durant près de quarante ans. Hao, base de vie des militaires lors des campagnes françaises d’essais atomiques. Puis tout s’est interrompu  lorsque le Centre d’Expérimentation du Pacifique (CEP) a été fermé en 2000. Mais l’atoll de Hao s’apprête à connaitre une incroyable révolution : il pourrait bientôt accueillir sur plus de trente-deux hectares la plus grande ferme au monde d’élevage de poissons. Un comble dans une zone ultra polluée…

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Des soupçons de falsifications planent sur le géant français du #nucléaire #Areva 3.5.16 - rts.ch -2 mn #StopNucléaire

Des soupçons de falsifications planent sur le géant français du #nucléaire #Areva 3.5.16 - rts.ch -2 mn #StopNucléaire | Infos en français | Scoop.it

Des soupçons de falsifications planent sur le géant français du #nucléaire #Areva 3.5.16 - rts.ch -2 mn #StopNucléaire

Des soupçons de falsifications planent sur le site nucléaire de Creusot Forge, propriété d'Areva. Suite à l’audit mené après la découverte d’une "anomalie" sur cette cuve, des "incohérences" ont été révélées, selon une information du magazine Les Echos.

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Le #lobby #nucléaire, Le moment Meurice - France Inter 5 mn  #environnement #France

Le #lobby #nucléaire, Le moment Meurice - France Inter 5 mn  #environnement #France

Ajoutée le 16 mars 2016

Finalement interdit de convention annuelle de la Société française d'énergie nucléaire, Guillaume Meurice est resté sur le pas de la porte et a quand même réussi à interroger quelques participants notamment sur la question : le nucléaire est-il rassurant ?

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interview #JoséPluki . ingénieur en #énergie  - Thinkerview - 1.8.17 - 46 mn - #NUCLEAIRE #ACCIDENTNucléaire

interview #JoséPluki . ingénieur en #énergie - Thinkerview - 1.8.17 - 46 mn - #NUCLEAIRE #ACCIDENTNucléaire

Interview de José Pluki en direct. Son site : http://du-goudron-et-des-plumes.fr/ ECOUTER EN PODCAST AUDIO : https://thinkerview.com/feed/podcast

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CLIMAT, NUCLÉAIRE, GUYANE, AGRICULTURE, SOUFFRANCE ANIMALE, ÉCOLOGIE - #Mélenchon au #PandaLive

CLIMAT, NUCLÉAIRE, GUYANE, AGRICULTURE, SOUFFRANCE ANIMALE, ÉCOLOGIE - #Mélenchon au #PandaLive

Ajoutée le 27 mars 2017

Le lundi 27 mars, Jean-Luc Mélenchon participait au « Panda Live » de la WWF. Parmi les questions abordées : l'emballement du climat, la sortie du nucléaire et le passage à 100% d'énergie renouvelables, la situation en Guyane, la sortie de l'agriculture productiviste et le passage à l'agriculture bio, la diminution des protéines carnées et la souffrance animale...

Retrouvez ce « Panda Live » sur : https://www.facebook.com/WWFFrance/vi...

***RETROUVEZ JEAN-LUC MÉLENCHON SUR***
- Le site de campagne : http://www.jlm2017.fr
- Le blog : http://melenchon.fr
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Si vous souhaitez aider, vous pouvez rejoindre l'équipe qui rédige bénévolement les sous-titres de cette chaîne YouTube en écrivant un mail à l'adresse : traducteurs.insoumis@gmail.com

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#RDLS19 - SPIRULINE, CONSTRUIRE EN TERRE,  #LEMISSIONPOLITIQUE,  #NUCLÉAIRE DES #USA

#RDLS19 - SPIRULINE, CONSTRUIRE EN TERRE,  #LEMISSIONPOLITIQUE,  #NUCLÉAIRE DES #USA

Ajoutée le 27 févr. 2017

Dans ce 19e épisode de la Revue de la semaine, Jean-Luc Mélenchon revient sur la journée de l'écologie de la France insoumise et en particulier sur deux stands : celui de production de spiruline, une algue riche en protéines permettant de diminuer notre consommation de protéines carnées, et celui de la construction en terre qui permet de bâtir en réduisant considérablement les émissions de CO2. Jean-Luc Mélenchon revient ensuite sur «L'Émission politique» de France 2 et le «traquenard» que cela a été. Enfin, il explique que Donald Trump a annoncé qu'il voulait renforcer l'arsenal nucléaire américain. Bon visionnage ! (Désolés pour le souffle que nous avons atténué au montage, mais nous enregistrions à côté d'un routeur informatique...)

***SOMMAIRE***
01:14 : La journée de l’écologie de la France insoumise
05:02 : La spiruline pour réduire les protéines carnées
06:58 : La construction en terre
12:57 : Retour sur « L’émission politique » de France 2
19:25 : Trump renforce l’arsenal nucléaire américain

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#Fukushima : Au coeur de réacteur - C à vous - 10/02/2017 #nucléaire 13 mn

Pujadas évoque le manque de préparation des autorités japonaises face à cette catastrophe

Et en Suisse, et en France, etc ?

Quels sont les plans si une explosion d'un réacteur nucléaire a lieu  (qui n'a pas eu lieu à Fukushima précisons-le)

 

#Fukushima : Au coeur de réacteur - C à vous - 10/02/2017 #nucléaire 13 mn

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#MÉLENCHON - « IL FAUT SORTIR DU NUCLÉAIRE ET PASSER AU 100% RENOUVELABLE» (et #CarolineRoux à la rue )

#MÉLENCHON - « IL FAUT SORTIR DU NUCLÉAIRE ET PASSER AU 100% RENOUVELABLE» (et #CarolineRoux à la rue )

Le 24 janvier, Jean-Luc Mélenchon était l'invité des 4 vérités (http://www.france2.fr/emissions/telematin/actu/les-4-verites-jean-luc-melanchon_548695). I

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#Suisse 11 mn:Comment convaincre les indécis avant le vote "pr une sortie programmée du #nucléaire "? #VoterOUI

#Suisse 11 mn:Comment convaincre les indécis avant le vote "pr une sortie programmée du #nucléaire "? #VoterOUI | Infos en français | Scoop.it

#Suisse 11 mn:Comment convaincre les indécis avant le vote "pr une sortie programmée du #nucléaire "? #VoterOUI

Débat entre Roger Nordmann, conseiller national socialiste vaudois, président du groupe socialiste aux Chambres, et Raymond Clottu, conseiller national neuchâtelois UDC.

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#USA -#Russie : Tensions #Géopolitique s & #Terrorisme - - Thinkerview 50 mn #diplomatie #guerre #Syrie #OTAN

#USA -#Russie : Tensions #Géopolitique s & #Terrorisme - - Thinkerview 50 mn #diplomatie #guerre #Syrie #OTAN

Ajoutée le 10 oct. 2016

Entretien avec Artem Studennikov (Ministre Conseiller de l'Ambassade de Russie).
Vidéo enregistrée le 7 octobre 2016.

SUJETS :
Conflit Nucléaire, Ministre Conseiller, Russie, USA, Iran, Arabie Saoudite, Syrie, Libye, France, Liban, Yémen, OTAN, Guerre froide, Moyen-Orient, Afghanistan, Cameroun, Tchad, Mali, Nigeria, Tchétchénie, Terrorisme, Déstabilisation extrémiste, opposition modérée, Etat Islamique, Égypte, Bavures, Alep.

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Nous devons prendre nos distances vis-à-vis de l’ #OTAN si nous voulons éviter le #guerre - #paix #peace #NATO

Nous devons prendre nos distances vis-à-vis de l’ #OTAN si nous voulons éviter le #guerre - #paix #peace #NATO | Infos en français | Scoop.it

Nous devons prendre nos distances vis-à-vis de l’ #OTAN si nous voulons éviter le #guerre - #paix #peace #NATO

Par Anders Romelsjö, Leif Elinder, Martin Gelin le 27 août 2016

Le risque de guerre nucléaire n’a jamais été plus grand, et c’est partiellement parce que l’OTAN a réarmé les pays qui entourent la Russie. Pourtant, ces pays sont sûrs d’être eux aussi des cibles, si Poutine décide de riposter. Voilà ce qu’écrivent trois médecins suédois, dans un article qui a paru sur Göteborgsposten, le vendredi 12 août.

Pendant la crise des missiles cubains, le président Kennedy avait discuté avec ses conseillers les différentes options qui s’offraient à lui. L’une était de lancer une attaque limitée sur des bases anti-missiles soviétiques. On escomptait que Moscou accepterait cette réaction, au lieu de riposter d’une façon dont le résultat serait la dévastation aussi bien des États-Unis que de l’Union Soviétique.

De 1950 aux années 1980, il y a eu une doctrine de stratégie militaire appelée MAD (Destruction Mutuellement Assurée). MAD signifiait que si une grande puissance attaquait l’autre en premier, il serait toujours possible que la nation attaquée rendît les coups. Cette possibilité de frappe en retour a longtemps servi de dissuasion suffisante.

La sécurité relative qu’offrait la doctrine MAD n’existe plus. Les États-Unis et la Russie s’accusent aujourd’hui mutuellement et ouvertement de constituer une « menace existentielle ». L’équilibre, dans la stratégie militaire, devient de plus en plus inégal.

Le réarmement nucléaire des États-Unis et l’encerclement de la Russie par l’OTAN ont créé une situation hautement précaire et dangereuse. Il devient de plus en plus difficile de résister aux avantages d’une « première frappe ». Avec le soutien de l’OTAN, la Roumanie et la Pologne sont en train d’installer un nouveau système robotique de défense appelé « Aegis ashore ». Le président Poutine a averti les deux pays qu’en cas de conflit ils seraient ses premières cibles. Les inquiétudes de la Russie quant à une première attaque destinée à la désarmer semblent réelles. Si ces inquiétudes sont fondées, nous ne pouvons pas le savoir. Mais les arrière-pensées et les intentions de chaque superpuissance sont absolument cruciales pour notre sécurité.

Les risques n’ont jamais été plus grands.

L’ex-secrétaire à la Défense US William Perry a mis le monde en garde : les risques d’une guerre nucléaire sont aujourd’hui plus grands que jamais. Et le sont pour les raisons suivantes :

– La rupture de l’engagement pris lors de la dissolution de l’URSS (en 1990) de ne jamais étendre l’OTAN.

– Le nombre de pays membres de l’OTAN est passé, depuis, de 13 à 28.

– L’intervention illégale de l’OTAN en Yougoslavie (1999) et la création non moins illégale d’un Kosovo indépendant.

– La dénonciation unilatérale du TNP (Traité de non-prolifération des armes nucléaires) en 2001 par les États-Unis.

– L’installation de bases « anti-missiles » en Roumanie et en Pologne (voi ci-dessus), qui sont très facilement reprogrammables en bases d’attaque robotisées.

– La modernisation du système d’armement nucléaire US qui a coûté un trillion (douze zéros) de dollars.

– Le coup d’État illégal fomenté et soutenu par les USA (2014) en Ukraine.

– La supériorité militaire stratégique de l’OTAN en termes de possibilités de recourir à une « première frappe ».

– La démonisation de Vladimir Poutine, par comparaison systématique avec Hitler (Un « Hitler » n’est pas quelqu’un avec qui on puisse négocier, mais quelqu’un qui doit être éliminé.)

Les analystes américains indépendants en matière de sécurité tels que VIPS (Anciens Agents de Renseignement Professionnels pour la Santé Mentale) considèrent les jeux de guerre de l’OTAN dans le voisinage immédiat de la Russie comme extrêmement provocateurs et dangereux. De plus en plus d’hommes politiques européens prennent publiquement leurs distances avec la politique agressive de l’OTAN. Par exemple le Premier ministre grec Tsipras, le ministre des Affaires étrangères allemand Frank-Walter Steinmeier et le président français François Hollande. [?? NdT]

Effets opposés

L’OTAN est globalement fort. L’OTAN dépense, en armes, dix fois plus d’argent que la Russie. Beaucoup de pays s’imaginent que devenir membre de l’OTAN est un gage de sécurité. Mais quand un équilibre militaire est asymétrique, les conséquences logiques sont inversées. Si les USA et l’OTAN décident de frapper « préventivement » la Russie à partir des bases encerclant la Russie, les chefs de l’armée russe n’auront pas le temps de réagir.

La Russie a fait savoir clairement qu’une telle situation ne serait pas tolérée. Par conséquent, la Russie applique présentement une doctrine qui prévoit une frappe nucléaire avec des restrictions (« Concept de Désescalade »). L’avantage supposé de cette doctrine est qu’une première attaque limitée rendra une guerre tous azimuts moins probable. En ne répondant pas [à une frappe qui serait limitée à des pays d’Europe, NdT ] les États-Unis éviteront le risque d’une extension du conflit à leur propre territoire. Franchement, est-ce qu’un président des États-Unis voudra risquer de voir dévaster son propre territoire sous prétexte de punir les Russes d’une première frappe sur des bases européennes ?

La situation militaire stratégique est donc extrêmement instable. Des pays voisins de la Russie ont permis l’installation de bases de l’OTAN sur leur sol, au risque de plus en plus grand de devenir eux-mêmes les objectifs d’une première frappe. Le résultat de l’élection présidentielle US, quelle qu’en soit l’issue, ne peut être d’aucun secours.

Des causes et des effets

Si les politiciens occidentaux sont incapables de faire la différence entre des causes et des effets, entre une provocation et une réaction, les conséquences peuvent être dévastatrices. La Russie se trouve face à trois solutions possibles, en termes de rapports avec l’OTAN :

1) Céder, se laisser faire, et accepter de devenir vassale des USA

2) Attendre qu’une première frappe de l’OTAN la neutralise.

3) Frapper la première, avec des armes nucléaires tactiques, certaines bases « anti-missiles » européennes constituant pour elle une menace directe, en escomptant que les USA ne répliqueront pas pour ne pas risquer une contre-attaque sur leur territoire. (Donald Trump a déjà fait comprendre que les USA ne s’engageront pas militairement de façon inconditionnelle pour protéger leurs alliés de l’OTAN.)

Le président Poutine a fait savoir que c’est le troisième scénario que la Russie envisage aujourd’hui. L’unique détail qui ne soit pas sûr est « quand ». Le seul perdant assuré, dans tous les cas de figure, sera l’Europe.

Le rapprochement entre la Suède et l’Otan a augmenté le risque, pour notre pays, d’être entraîné dans une guerre. Pour cette raison, il est particulièrement important – pour la Suède et pour les autres pays d’Europe – de soutenir toutes les initiatives allant dans le sens d’une détente et d’un désarmement, et d’ainsi créer une opinion publique qui exige que nous prenions nos distances d’avec l’OTAN.

Leif Elinder, Anders Romelsjö et Martin Gelin – I.C.H.20 août 2016

Publié initilement en suédois sur Göteborgsposten – Titre original : “Vi måste fjärma oss från Nato om vi vill slippa krig”. Traduit en anglais par Siv O’Neall: http://www.informationclearinghouse.info/article45320.htm

Traduit en francais par c.l. pour Les Grosses Orchades

 

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Cinquantaine de bombes nucléaires #US stockées dans une base en #Turquie à 2 pas de la frontière avec la #Syrie

Cinquantaine de bombes nucléaires #US stockées dans une base en #Turquie à 2 pas de la frontière avec la #Syrie | Infos en français | Scoop.it

je vous le dis .. être atlantiste c'est militer pour la sécurité mondiale .. vive l' #OTAN, vive l'Empire .. 

je vais aller à l'ONU, tel Colin Powell, pour demander de déclarer la guerre aux USA car ils stockent des armes de destruction massives dans des pays étrangers ...

sauf que là, c'est vrai ..

ah, j'oubliais, je suis con, les USA ont le droit d'exercer la violence où bon leur semble

 

Cinquantaine de bombes nucléaires #US stockées dans une base en #Turquie à 2 pas de la frontière avec la #Syrie - RFI

Publié le 15-08-2016 Modifié le 15-08-2016 à 13:56

Ces armes sont entreposées dans la base aérienne d'Incirlik à une centaine de kilomètres seulement de la frontière syrienne. Et lors du coup d'Etat manqué du 15 juillet dernier contre Reccep Tayyip Erdogan, cette base a été pendant plusieurs heures coupée du monde.

Que ce serait-il passé si la tentative de coup d'Etat du 16 juillet avait réussi, et si une guerre civile avait éclaté en Turquie ? Cette question, un groupe de réflexion américain la pose dans un rapport consacré à l'arsenal nucléaire américain en Europe.

Le rapport du Stimson Center relève que le soir du coup d'Etat l'électricité a été coupée durant plusieurs heures sur la base, et que le commandant turc de la base d'Incirlik - qui accueille aussi les avions américains qui bombardent l'EI en Syrie-, a été ensuite placé sous les verrous pour sa participation supposée au coup de force manqué. « Stocker plusieurs dizaines d'armes nucléaires sur cette base revient à jouer à la roulette russe », estiment les auteurs du rapport.

Le rapport pointe aussi le risque de voir cet arsenal tomber dans les mains de terroristes ou d'autres forces hostiles aux Etats-Unis. « Les garde-fous existent » reconnaît le Stimson Center, « mais dans le cas d'un coup d'Etat on ne peut pas dire avec certitude que nous aurions été capables de garder le contrôle ».

Interrogé sur cette question le Pentagone assure avoir pris les mesures appropriées pour assurer la sécurité des installations. Outre l'arsenal stocké dans cette base turque d'Incirlik, des dizaines d'armes nucléaires américaines ont été entreposées dans plusieurs pays européens membres de l'Otan : en Belgique, en Italie, en Allemagne ou encore aux Pays-Bas. Il faut cependant rappeler qu'en mars dernier déjà le Pentagone a ordonné, pour raisons de sécurité, l'évacuation des familles de militaires et du personnel civil stationnés dans le sud de la Turquie.

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#Histoire #Docu (dès mn 28)s/implication services secrets #France ds assassinat militante anti #apartheid #AfriqueDuSud #DulcieSeptember

#Histoire #Docu (dès mn 28)s/implication services secrets #France ds assassinat militante anti #apartheid #AfriqueDuSud #DulcieSeptember

En 1988, une militante anti-apartheid a été assassinée en plein Paris. Plusieurs mercenaires français ont été mis en cause mais l'affaire n'a jamais été élucidée.
Une enquête sur les jeux troubles des services secrets français.

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#France En catimini, le Sénat veut donner le feu vert à l’enfouissement des déchets #nucléaire s #environnement #énergie

#France En catimini, le Sénat veut donner le feu vert à l’enfouissement des déchets #nucléaire s #environnement #énergie | Infos en français | Scoop.it

#France En catimini, le Sénat veut donner le feu vert à l’enfouissement des déchets #nucléaire s #environnement #énergie

Bientôt une nouvelle étape vers l’enfouissement de nos déchets nucléaires les plus dangereux ? Mardi 17 mai, une proposition de loi destinée à mettre un coup d’accélérateur au projet Cigéo sera discutée au Sénat. Les opposants dénoncent un déni de démocratie et préparent leurs mobilisations.

Les partisans du projet de centre de stockage géologique de déchets radioactifs Cigéo reviennent à la charge. La proposition de loi du sénateur (LR) de la Meuse Gérard Longuet, qui apporte plusieurs précisions sur le projet (...)

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#Bugey, #Fessenheim: prquoi ces centrales #nucléaire s françaises dérangent tant les #Suisse s? 30.4.16 - rts -15mn #France #énergie

#Bugey, #Fessenheim: prquoi ces centrales #nucléaire s françaises dérangent tant les #Suisse s? 30.4.16 - rts -15mn #France #énergie | Infos en français | Scoop.it

#Bugey, #Fessenheim: prquoi ces centrales #nucléaire s françaises dérangent tant les #Suisse s? 30.4.16 - rts -15mn #France #énergie

30 ans après la tragédie de Tchernobyl, plusieurs cantons exigent la fermeture de deux centrales nucléaires en France voisine. D'un côté, la Ville et le canton de Genève ont annoncé cette année le dépôt d'une plainte pénale contre X concernant la centrale nucléaire française du Bugey (Ain). Les motifs invoqués sont la mise en danger de la vie d'autrui et la pollution des eaux.

De l'autre côté du pays, le Gouvernement jurassien, appuyé par les deux demi-cantons bâlois, a réclamé le mois dernier une nouvelle fois la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin).

Pourquoi ces centrales nucléaires dérangent-elles tant? Y-a-t-il réel danger? Qui sont ces contestataires suisses et comment, au-delà des actions symboliques, s’organisent-ils? Enfin, notre pays, qui possède la plus vieille centrale nucléaire au monde, est-il bien placé pour faire la leçon à son voisin?

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