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#EnvoyéSpécial. "L'exécuteur" : confessions d'un #DRH - 8 mars 2018 (France 2) - Le genre d'individus avec qui je pourrais être violent. Ils n'acceptent pas seulement le système, ils l'aident. Ce s...

#EnvoyéSpécial. "L'exécuteur" : confessions d'un #DRH - 8 mars 2018 (France 2) - Le genre d'individus avec qui je pourrais être violent. Ils n'acceptent pas seulement le système, ils l'aident. Ce sont des "Yes Men" #travail

Ajoutée le 21 juin 2018
 
DRH pour des multinationales pendant vingt-deux ans, Didier Bille a calculé avoir congédié mille personnes. Il décrit la brutalité du métier et les méthodes redoutables utilisées pour mettre la pression aux employés. Il s’appelle Didier Bille et, pendant vingt-deux ans, il a été directeur des ressources humaines pour des multinationales, dans les secteurs des télécommunications ou encore de l’industrie automobile. Aujourd’hui, il témoigne pour la première fois des redoutables méthodes qu’il a employées pour mettre la pression aux salariés et les licencier en quinze minutes sur un coin de bureau, parfois sans aucun motif. Le "ranking forcé", un prétexte pour licencier. Il a fait le calcul : dans toute sa carrière, il a congédié au total 1 000 personnes, un salarié tous les sept jours ! L’une de ses armes, c’est le "ranking forcé", une pratique en vogue dans de nombreuses entreprises selon lui. Elle consiste à mal noter des salariés pourtant irréprochables afin d'avoir un prétexte pour les licencier. Ce qu’il raconte sans détour, c’est un monde de l’entreprise sans foi ni loi, où le salarié est broyé. Un témoignage édifiant sur la brutalité du métier de DRH. Un reportage de Virginie Vilar et Laura Aguirre de Carcer.
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Le gouvernement, à la solde des lobbies et des grandes entreprises, essaye de faire passer une loi sur le "secret des affaires", pour mettre fin aux lanceurs d'alerte, enquêtes d'investigation, etc..

Le gouvernement, à la solde des lobbies et des grandes entreprises, essaye de faire passer une loi sur le "secret des affaires", pour mettre fin aux lanceurs d'alerte, enquêtes d'investigation, etc.. | Infos en français | Scoop.it

#Pétition #StopSecretdAffaires - Non à la loi des #lobbies ! Le gouvernement, à la solde des lobbies et des grandes entreprises, essaye de faire passer une loi sur le "secret des affaires", pour mettre fin aux lanceurs d'alerte, enquêtes d'investigation, etc..

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#PierrePézerat (Les Sentinelles) : "Les industriels se sont dotés d'armes de désinformation" #agrochimie #multinationales #lobbycraties #santépublique #santé #glyphosate

#PierrePézerat (Les Sentinelles) : "Les industriels se sont dotés d'armes de désinformation" #agrochimie #multinationales #lobbycraties #santépublique #santé #glyphosate

En France, Henri Pézerat est l'un des premiers chercheurs à avoir alerté les pouvoirs publiques sur les dangers de l'amiante en matière de santé publique. Après avoir mené un long combat auprès des victimes - notamment parmi les ouvriers, son fils, Pierre Pézerat vient de réaliser un film documentaire poignant (et révoltant) sur les maladies professionnelles liées à l’amiante et aux pesticides. Le tout dans un silence assourdissant qui entoure la mort de dizaines de milliers de travailleurs. Rencontre avec Pierre Pézerat, réalisateur de Les Sentinelles (sortie en salles le 8 novembre 2017), dans #LaMidinale. https://www.les-sentinelles.org http://www.regards.fr

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#Congo et #Rwanda - interview Journaliste investigateur #CharlesONANA - #Kagamé #Kabila #minerais #diamants

#Congo et #Rwanda - interview Journaliste investigateur #CharlesONANA - #Kagamé #Kabila #minerais #diamants

L'excellent journaliste d'investigation Charles Onana nous parle du #Rwanda et du #Congo, puis par ricochet du génocidaire dictateur rwandais Paul #Kagamé , homme des #USA, de la #GrandeBretagne, de la complicité de #Kabila, des multinationales occidentales , du rôle de #PaulKagamé dans le trafic très lucratif de #minerais et de #diamants du Congo via le Rwanda
 
Demandez-vous pourquoi notre #presse, si libre, si indépendante, ne nous informe que pas ou si peu sur les, environ, 10 MILLIONS de congolais exterminés depuis 1994 afin d'assurer le fonctionnement de nos smartphones ou autres appareils si "nécesssaires" à notre mode de vie et accessoirement à notre esclavage et surveillance consentis ?
Donc, bien plus de morts qu'en Syrie ou durant la Shoah, par exemple ..
 
Demandez-vous pourquoi notre presse, si libre, si indépendante, ne nous informe que peu et mal sur le fait que la justice internationale n'arrive pas à prouver qu'il y a bel et bien eu un génocide au Rwanda ? Plus de 20 après, bizarre, non ?
 
Je vous invite, du coup, aussi à réfléchir sur le rôle de la presse occidentale dans notre conditionnement concernant la #Syrie, l' #Irak ,à propos de la diabolisation de la #Russie de #Poutine, de la si nécessaire élection de #macron , d'un #brexit qui provoquerait l'apocalypse .. entre autres choses
 
"Si vous n'êtes pas vigilants, les #médias arriveront à vous faire détester les opprimés et aimer les oppresseurs" disait Malcolm X
 
#soumissions #hypocrisie #ignorance #silencecomplice #pillagedesrichessesduCongo #TonyBlair #BillClinton #corruption #cynisme #Kabila #RDC #consumérisme #Médias #MédiasMensonges #Complicités #CommunautéInternationale #coltan #Mobutu #TPI #ONU #Justice
 
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Pourquoi les multinationales achètent nos dirigeants ? 10 mn #RevolvingDoors #Corruption #Oligarchie #Corruption

Pourquoi les multinationales achètent nos dirigeants ? 10 mn #RevolvingDoors #Corruption #Oligarchie #Corruption

Ajoutée le 20 juil. 2016

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Lettre ouverte aux charlatans de la révolution syrienne / Par #BrunoGuigue #Syrie #Syria #Siria

Lettre ouverte aux charlatans de la révolution syrienne / Par #BrunoGuigue #Syrie #Syria #Siria | Infos en français | Scoop.it

Un cri du coeur de Bruno Guigue auquel j'adhère

Adressé à tous les politiques et citoyens (pauvres gens manipulés par les premiers et les médias mainstreams) qui n'ont eu cesse d'appuyer des fous furieux, de leur faire des donations, de les inviter à des conférences

Vous avez été et pour certains, continuez à être ( "errare humanum est, PERSEVERARE DIABOLICUM" !!!) les idiots utiles des vendeurs d'armes et des compagnies gazières et pétrolières

 

Lettre ouverte aux charlatans de la révolution syrienne / Par #BrunoGuigue #Syrie #Syria #Siria

Par Bruno Guigue le 13 mai 2016

Au moment où un dirigeant historique de la résistance arabe libanaise, en Syrie, vient de mourir sous les coups de l’armée sioniste, j’adresse cette lettre ouverte aux intellectuels et militants de « gauche » qui ont pris parti pour la rébellion syrienne et croient défendre la cause palestinienne tout en rêvant de la chute de Damas.

Vous nous disiez, au printemps 2011, que les révolutions arabes représentaient un espoir sans précédent pour des peuples subissant le joug de despotes sanguinaires. Dans un excès d’optimisme, nous vous avons écoutés, sensibles à vos arguments sur cette démocratie miraculeusement naissante et à vos proclamations sur l’universalité des droits de l’homme. Vous aviez presque réussi à nous persuader que cette protestation populaire qui emporta les dictateurs tunisien et égyptien allait balayer la tyrannie partout ailleurs dans le monde arabe, en Libye comme en Syrie, au Yémen comme à Bahreïn, et qui sait où encore.

Mais cette belle envolée lyrique laissa rapidement paraître quelques failles. La première, béante, apparut en Libye. Adoptée par le conseil de sécurité pour secourir des populations civiles menacées, une résolution de l’ONU se transforma en chèque en blanc pour la destitution manu militari d’un chef d’Etat devenu encombrant pour ses partenaires occidentaux. Digne des pires moments de l’ère néoconservatrice, cette opération de « regime change » accomplie pour le compte des USA par deux puissances européennes en mal d’affirmation néo-impériale aboutit au désastre dont la malheureuse Libye continue de payer le prix. L’effondrement de ce jeune Etat unitaire livra le pays aux ambitions effrénées des factions et des tribus, sciemment encouragées par les convoitises pétrolières des charognards occidentaux.

Il y avait pourtant de bonnes âmes, parmi vous, pour accorder des circonstances atténuantes à cette opération, comme il y en avait, davantage encore, pour exiger qu’un traitement analogue fût infligé au régime de Damas. Car le vent de la révolte qui soufflait alors en Syrie semblait valider votre interprétation des événements et donner une justification a posteriori au bellicisme humanitaire déchaîné contre le potentat de Tripoli. Pourtant, loin des médias « mainstream », certains analystes firent observer que le peuple syrien était loin d’être unanime, que les manifestations antigouvernementales se déroulaient surtout dans certaines villes, bastions traditionnels de l’opposition islamiste, et que la fièvre sociale de couches paupérisées par la crise n’entraînerait pas pour autant la chute du gouvernement syrien.

Ces avertissements de bon sens, vous les avez ignorés. Comme les faits ne correspondaient pas à votre narration, vous les avez triés comme bon vous semble. Là où des observateurs impartiaux voyaient une polarisation de la société syrienne, vous avez voulu voir un tyran sanguinaire assassinant son peuple. Là où un regard dépassionné permettait de discerner les faiblesses, mais aussi les forces de l’Etat syrien, vous avez abusé de rhétorique moralisante pour instruire à charge le procès d’un gouvernement qui était loin d’être le seul responsable des violences. Vous avez vu les nombreuses manifestations contre Bachar Al-Assad, mais vous n’avez pas vu les gigantesques rassemblements de soutien au gouvernement et aux réformes qui emplirent les rues de Damas, Alep et Tartous. Vous avez dressé la comptabilité macabre des victimes du gouvernement, mais vous avez oublié celles des victimes de l’opposition armée. A vos yeux, il y avait de bonnes et de mauvaises victimes, des victimes qui méritent qu’on en parle et des victimes dont on ne veut pas entendre parler. Délibérément, vous avez vu les premières, tout en vous rendant aveugles aux secondes.

Au même moment, ce gouvernement français, dont vous critiquez volontiers la politique intérieure pour entretenir l’illusion de votre indépendance, vous a donné raison sur toute la ligne. Curieusement, la narration du drame syrien qui était la vôtre coïncidait avec la politique étrangère de M. Fabius, chef d’œuvre de servilité mêlant l’appui inconditionnel à la guerre israélienne contre les Palestiniens, l’alignement pavlovien sur le leadership américain et l’hostilité recuite à l’égard de la résistance arabe. Mais votre mariage ostensible avec le Quai d’Orsay ne sembla pas vous gêner. Vous défendiez les Palestiniens côté cour, et vous dîniez avec leurs assassins côté jardin. Il vous arriva même d’accompagner les dirigeants français en visite d’Etat en Israël. Vous voilà embarqués, complices, pour assister au spectacle d’un président qui déclare qu’il « aimera toujours les dirigeants israéliens ». Mais il en fallait plus pour vous scandaliser, et vous avez repris l’avion avec le président, comme tout le monde.

Vous aviez condamné à juste titre l’intervention militaire américaine contre l’Irak en 2003. La vertu roborative du bombardement pour la démocratie vous laissait froids, et vous doutiez des vertus pédagogiques des frappes chirurgicales. Mais votre indignation à l’égard de cette politique de la canonnière version « high tech » s’avéra étrangement sélective. Car vous réclamiez à cor et à cri contre Damas, en 2013, ce que vous jugiez intolérable dix ans plus tôt contre Bagdad. Une décennie a suffi pour vous rendre si malléables que vous voyiez le salut du peuple syrien, désormais, dans une pluie de missiles de croisière sur ce pays qui ne vous a rien fait. Reniant vos convictions anti-impérialistes, vous avez épousé avec enthousiasme l’agenda de Washington. Sans vergogne, non seulement vous applaudissiez par avance aux B 52, mais vous repreniez la propagande US la plus grotesque, dont le précédent irakien et les mensonges mémorables de l’ère Bush auraient dû vous immuniser.

Pendant que vous inondiez la presse hexagonale de vos inepties, c’est un journaliste américain, enquêteur hors pair, qui mit en pièces le pitoyable « false flag » destiné à rendre Bachar-Al-Assad responsable d’une attaque chimique dont aucune instance internationale ne l’a accusé, mais que les expertises du Massachussets Institute of Technology et de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques, en revanche, ont attribuée à la partie adverse. Ignorant les faits, les travestissant au besoin, vous avez joué à cette occasion votre misérable partition dans cette cacophonie de mensonges. Pire encore, vous continuez de le faire. Alors qu’Obama lui-même laisse entendre qu’il n’y a pas cru, vous vous obstinez à réitérer ces sornettes, comme des chiens de garde qui aboient après la disparition de l’intrus. Et pour quel motif ? Pour justifier le bombardement, par votre propre gouvernement, d’un petit Etat souverain dont le tort principal est de refuser l’ordre impérial. Pour venir en aide à une rébellion syrienne dont vous avez sciemment masqué le véritable visage, accréditant le mythe d’une opposition démocratique et laïque qui existe seulement dans les salons des grands hôtels de Doha, de Paris ou d’Ankara.

Cette « révolution syrienne », vous l’avez donc exaltée, mais vous avez pudiquement détourné les yeux de ses pratiques mafieuses, de son idéologie sectaire et de ses financements troubles et douteux. Vous avez soigneusement occulté la haine interconfessionnelle qui l’inspire, cette aversion morbide pour les autres confessions directement inspirée du wahhabisme qui en est le ciment idéologique. Vous saviez que le régime baassiste, parce qu’il est laïque et non confessionnel, constituait une assurance-vie pour les minorités, mais vous n’en aviez cure, allant même jusqu’à qualifier de « crétins » ceux qui prenaient la défense des chrétiens persécutés. Mais ce n’est pas tout. A l’heure du bilan, il restera encore cette ultime ignominie : vous avez cautionné la politique d’un Laurent Fabius pour qui Al-Nosra, branche syrienne d’Al-Qaida, « fait du bon boulot ». Tant pis pour les passants déchiquetés dans les rues de Homs ou les alaouites de Zahra assassinés par les rebelles : à vos yeux, ils ne sont que du menu fretin.

Entre 2011 et 2016, les masques tombent. Vous vous réclamez du droit international, mais vous applaudissez à sa violation contre un Etat souverain. Vous prétendez promouvoir la démocratie pour les Syriens, mais vous êtes devenus les fourriers du terrorisme qu’ils endurent. Vous dites que vous défendez les Palestiniens, mais vous êtes dans le même camp qu’Israël. Lorsqu’un missile sioniste s’abat sur la Syrie, n’ayez crainte : il ne frappera jamais vos amis. Grâce à Israël, grâce à la CIA, et grâce à vous, ces courageux rebelles vont continuer à préparer l’avenir radieux de la Syrie sous l’emblème du takfir. Le missile sioniste, lui, va tuer un des dirigeants de cette résistance arabe que vous avez trahis.

Bruno Guigue | 13 mai 2016

Bruno Guigue est un haut fonctionnaire, essayiste et politologue français né à Toulouse en 1962. Ancien élève de l’École Normale Supérieure et de l’ENA. Professeur de philosophie et chargé de cours en relations internationales dans l’enseignement supérieur. Il est l’auteur de cinq ouvrages, dont Aux origines du conflit israélo-arabe, l’invisible remords de l’Occident (L’Harmattan, 2002).

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SOCIÉTÉS TRANSNATIONALES ACTEURS MAJEURS DANS LES VIOLATIONS DES DROITS HUMAINS N°10 - Décembre 2011 - CETIM

Table des matières
Introduction
I. Les tentatives infructueuses d'établir des normes internationales obligatoires pour les STN
A) Antécédents
B) Remise de la question sur le tapis
C) Rapport final de John Ruggie (2011)
D) Le Global Compact, cheval de Troie des STN aux Nations Unies
II. Les STN, l'industrie d'armement et les guerres
A) Une industrie privée et juteuse d'ampleur considérable
B) L'OTAN et le « marketing » des armements
C) La paralysie de la Commission du désarmement des Nations Unies
III. Les STN de mercenariat
A) Un phénomène exponentiel
B) Un cas démonstratif
IV. Le capital financier transnational, les crises et la détérioration des conditions de vie
A) L'hégémonie du capital financier
B) Les crises financières
Conclusion
Annexe

http://www.cetim.ch/fr/documents/cahier_10b.pdf

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important et sérieux : 737 entités contrôlent 80 % de la valeur des entreprises mondiales - Capitalisme - Basta !

important et sérieux : 737 entités contrôlent 80 % de la valeur des entreprises mondiales - Capitalisme - Basta ! | Infos en français | Scoop.it

Une étude d'économistes et de statisticiens, publiée en Suisse en 2011 met en lumière les interconnexions entre les multinationales mondiales.

L'étude complète en anglais est disponible ici  http://arxiv.org/abs/1107.5728L

 

 

Le blog de Paul Jorion propose une traduction en français de la présentation détaillée de l’étude. 

 

http://www.pauljorion.com/blog/?p=28360

 

 

 

 

 

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La #Suisse envisage de faire payer aux #multinationales poursuivies en #justice des dommages élevés en contrepartie d'un abandon des charges - Le Matin

La #Suisse envisage de faire payer aux #multinationales poursuivies en #justice des dommages élevés en contrepartie d'un abandon des charges - Le Matin | Infos en français | Scoop.it

La #Suisse envisage de faire payer aux #multinationales poursuivies en #justice des dommages élevés en contrepartie d'un abandon des charges

Le procureur général de la Confédération Michael Lauber aimerait pouvoir conclure des accords avec les entreprises au lieu de les traduire en justice, à l'instar de ce qui se pratique aux Etats-Unis, indiquent Le Matin Dimanche et la SonntagsZeitung. Il propose au Parlement fédéral d'adapter la législation.

L'accord consisterait à faire payer à l'entreprise poursuivie des dommages élevés et à exiger qu'elle prenne des mesures pour que les infractions ne se reproduisent pas, en contrepartie d'un abandon des charges. «Si nous accueillons en Suisse le siège principal de nombreuses sociétés commerciales, nous avons besoin d'une réponse pénale adéquate pour trouver une solution dans un délai raisonnable», déclare le procureur aux deux journaux.

Par rapport à la notion de culpabilité, Michael Lauber justifie cette procédure par le fait qu'une entreprise n'est pas coupable de la même manière qu'un humain. »Dans notre système juridique, la culpabilité est évaluée à l'aune des circonstances personnelles d'un être humain (...) Cela n'est pas applicable à une entreprise», d'où la difficulté à prouver sa culpabilité.

Le représentant du ministère public note également que les procédures contre les multinationales impliquent souvent plusieurs pays». Les meilleurs cabinets d'avocats, par exemple de Genève ou de Zurich, travaillent avec des confrères du monde entier. Ils saisissent toutes les occasions de retarder les procédures».

La proposition de Michael Lauber est intégrée à la consultation sur la révision du code de procédure pénale. (ats/jsa/nxp)

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Si ce monde marche sur la tête,c'est aussi à cause de faquins qui COLLABORENT. Voir le dernier #MomentMeurice pour comprendre #Visibrain #BadBuzz #Réputation #Multinationales #Cynisme #GrandesMarqu...

Si ce monde marche sur la tête,c'est aussi à cause de faquins qui COLLABORENT. Voir le dernier #MomentMeurice pour comprendre #Visibrain #BadBuzz #Réputation #Multinationales #Cynisme #GrandesMarques #Marketing #communication

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#ParadisePapers : Au coeur d'un scandale mondiale - #Cashinvestigation (intégrale) #CommentLesPeuplesSontVolés

#ParadisePapers : Au coeur d'un scandale mondiale - #Cashinvestigation (intégrale) #CommentLesPeuplesSontVolés #EvasionFiscale #TaxFraud #Finance #Mujltnationales

 

«Paradise Papers» est le nom donné à la plus grande fuite de documents de l'Histoire, dont beaucoup proviennent d'un des plus grands noms du monde offshore, le cabinet d'avocats Appleby, dont le siège est aux Bermudes. Avec 400 journalistes du monde entier, l'équipe de «Cash investigation» lève le voile sur certains aspects de son contenu. Gros plan notamment sur les dessous de l'aviation d'affaires et sur une discrète société offshore aux îles Caïmans qui associe le groupe Louis-Dreyfus, un géant du négoce de produits agricoles, avec l'actuel ministre de l'agriculture brésilien. Présenté par Elise Lucet France 2 #cashinvestigation

 

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Aider les #réfugiés :nouvelle stratégie de comm pr les multinationales ? #airbnb #starbucks #ikea & co #taxfraud

Aider les #réfugiés :nouvelle stratégie de comm pr les multinationales ? #airbnb #starbucks #ikea & co #taxfraud | Infos en français | Scoop.it

Aider les #réfugiés :nouvelle stratégie de comm pr les multinationales ? #airbnb #starbucks #ikea & co #taxfraud

Airbnb, Starbucks, Ikea… Plusieurs grandes entreprises ont récemment annoncé leur intention de s’investir pour la cause des réfugiés. Si cette nouvelle stratégie de com' est bien vue par les pouvoirs publics, elle n’en fait pas moins oublier les problématiques fiscales liées à ces multinationales.

(...)

Cette soudaine fibre humanitaire qui anime ces multinationales est toutefois loin de plaire a tout le monde. Manon Aubry, qui travaille sur la justice fiscale et les inégalités pour la confédération Oxfam rappelle que l’attitude de ces grands groupes a une lourde responsabilité dans les difficultés économiques actuelles des Etats. « L’argent que font perdre ces entreprises en ne payant qu’une faible part de leurs impôts pourrait être investi dans des programmes nationaux d’aide aux réfugiés dont l’impact serait bien supérieur ».

Il est ainsi bon de se souvenir que chaque année la France perd entre 60 et 80 milliards d’euros à cause de l’évasion fiscale, selon les chiffres d’un rapport du Sénat daté de 2012. Or, quelles entreprises retrouve-t-on en première ligne dans le combat en faveur des réfugiés ? Ni plus ni moins que les ténors des combines fiscales. AirBnB dont le siège social se trouve en Irlande et qui devrait chaque année entre cinq et dix millions d’euros au fisc français. Starbucks dont le système de franchises lui garantit une très faible imposition. Ikea, enfin, qui « aurait soustrait à l’impôt un milliard d’euros (entre 2010 et 2016) au détriment de divers Etats européens », selon un rapport mis en ligne l’an dernier…

"Privatisation de la philanthropie"

Très réticentes à jouer les règles du jeu fiscal, ces multinationales préfèrent bien sûr donner en personne pour montrer à la face du monde la grandeur de leur générosité. « On assiste à une privatisation de la philanthropie, s’indigne Antoine Peillon, journaliste pour la Croix et auteur de nombreux ouvrages sur l’évasion fiscale. Les grandes entreprises investissent ce terrain pour faire passer la pilule et justifier leur hyper-richesse. Elles refusent les règles fiscales, font fi des acquis de la modernité. On retourne au Moyen-Age, comme à l’époque des Médicis, où seuls les puissants pouvaient aider les pauvres ».

Le journaliste regrette profondément que l’on fasse ainsi « de plus en plus appel à la générosité privée, avec la complicité de l’Etat qui est de moins en moins présent ».

Cette « privatisation de la philanthropie », comme la qualifie Antoine Peillon, commence à irriter dans certains pays comme l’Espagne, sévèrement touchée par la crise économique. Dans un Etat qui a vu le budget de ses services publics fondre comme neige au soleil, le don de 320 millions d’euros d’Amancio Ortega, le PDG de Zara, à l’hôpital public, n’a pas franchement été bien accueilli. Le leader de Podemos, Pablo Iglesias, a notamment qualifié l’acte « d’aumône digne d’un pays du tiers-monde ». Amancio Ortega, quatrième fortune mondiale selon Forbes et soupçonné de recourir à l’optimisation fiscale, a aussi été renvoyé dans les cordes par le président de la fédération espagnole de défense des services de santé publique, Manuel Martin. « Les dons ont une fin et provoquent des inégalités. Nous avons un modèle redistributif qui fonctionne, et l’administration doit décider comment elle utilise l’argent, sans interférence. »

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Dépenses de #lobbying ds grandes firmes à Bruxelles ont augmenté de 40% dpuis 2012 #UE #EU #Corruption #Europe

Dépenses de #lobbying ds grandes firmes à Bruxelles ont augmenté de 40% dpuis 2012 #UE #EU #Corruption #Europe | Infos en français | Scoop.it

Dépenses de #lobbying ds grandes firmes à Bruxelles ont augmenté de 40% dpuis 2012 #UE #EU #Corruption #Europe

 

"Le site Lobbyfacts.eu lance sa nouvelle mouture, qui rend visible l’évolution des dépenses de lobbying auprès des institutions européennes au fil du temps. Avec un constat sans appel : les dépenses des multinationales à Bruxelles ne cessent d’augmenter, notamment dans des secteurs sujets à controverse comme l’automobile, l’énergie ou le numérique. Les scandales se succèdent, mais l’influence des milieux économiques et de leurs lobbys à Bruxelles ne se dément pas. En témoigne l’évolution des dépenses déclarées au registre de transparence du lobbying mis en place par la Commission et le Parlement européens : + 40% entre 2012 et 2016, de 76 à 106 millions d’euros, pour le « Top 50 » des plus entreprises les plus présentes dans la capitale européenne."

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#NePasManquer Dans les coulisses d’une plainte pour harcèlement contre #Nestlé | La Cité #suisse

#NePasManquer Dans les coulisses d’une plainte pour harcèlement contre #Nestlé | La Cité #suisse | Infos en français | Scoop.it
Juan Carlos Hernandez's insight:

L’ancienne cadre qui avait dénoncé la gestion défaillante du géant suisse en matière de sécurité alimentaire livre le récit de son histoire à La Cité. Licenciée, elle a engagé un long bras de fer judiciaire avec la multinationale. Retour sur une affaire troublante.



Marianne Waeber's comment, March 27, 2013 10:55 PM
Nestlé a décidément le bras très très long !
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Carbonisés: l'extraction de pétrole par les multinationales.

Je vous souhaite une belle ballade dominicale en voiture...

 

"Lorsque l'on extrait du pétrole, une immense quantité de gaz naturel est acheminée vers la surface du globe. Or, au lieu de l'utiliser à bon escient, les compagnies pétrolières brûlent cette précieuse matière première, considérée aujourd'hui comme une ressource énergétique primordiale pour l'avenir. Ce processus dit de "torchage" fait disparaître chaque année l'équivalent du tiers des besoins européens en gaz naturel, tandis que 400 millions de tonnes de gaz à effet de serre sont relâchées dans l'atmosphère. Il semble toutefois que ce phénomène n'inquiète pas outre mesure les compagnies pétrolières, dont l'unique but reste de puiser dans les réserves d'or noir, au plus vite.
Si ce sont surtout les populations de pays africains comme le Nigeria qui pâtissent de l'exploitation pétrolière, la Russie, plus gros fournisseur de pétrole de l'Europe, est championne du monde en matière de gaspillage de gaz naturel. Pourquoi les compagnies pétrolières du monde entier brûlent-elles sans vergogne ces précieuses ressources ? Et surtout, pourquoi personne ne semble-t-il s'en soucier ?"

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Les banques, championnes de l'opacité | Mediapart #lobbying #corruption #multinationales #secteurbancaire

Les banques, championnes de l'opacité | Mediapart #lobbying #corruption #multinationales #secteurbancaire | Infos en français | Scoop.it

On s’en doutait. Mais le rapport de Transparency internationalpublié ce 10 juillet sur les pratiques des très grands groupes ne laisse plus l’ombre d’une illusion : peu de choses ont changé au cours des dernières années, malgré la crise. Les multinationales restent encore trop souvent des boîtes noires.

« Les 105 plus grandes compagnies mondiales valent plus de 11 mille milliards de dollars. Elles influencent la vie des peuples partout dans le monde. Mais que savons-nous de leur impact sur la vie quotidienne ? Trop souvent, les citoyens ne bénéficient que très faiblement de cette activité économique globale, tandis qu’ils doivent supporter les conséquences d’un comportement non éthique de ces grands groupes », pointe l’ONG.

« Les multinationales restent une part importante du problème de la corruption dans le monde », souligne Cobus de Swardt, directeur de Transparency international. « Le temps est venu pour elles de participer aux solutions. Pour cela, elles ont besoin de profondément changer. Elles doivent publier plus d’informations sur les méthodes pour réduire la corruption et aussi s’expliquer sur leur organisation, sur les flux financiers dans les pays où elles travaillent. »

Même si les informations données par les grands groupes sont plus nombreuses que par le passé, il reste d’immenses zones d’ombre. Ainsi, tous ont des dizaines voire des centaines de filiales dans le monde entier, soit parce qu’elles y exercent vraiment, soit pour des raisons fiscales. Suivre les flux financiers permet de se faire une idée de la façon dont ces grands groupes travaillent. Mais manifestement, ceux-ci n’ont guère envie de trop s’étendre sur leurs pratiques : sur les 105 groupes analysés, 78 ne publient pas la liste complète de leurs filiales.

De même, ils se montrent d’une totale discrétion sur leurs activités et leurs flux financiers. Transparency international pointe ainsi que 50 groupes sur les 105 ne publient pas les chiffres d’affaires réalisés dans leurs différentes implantations à l’étranger et que 89 ne donnent pas les impôts payés dans les pays étrangers. Enfin, 39 ne publient même aucune donnée financière dans les pays où ils opèrent.

« Quand ces chiffres ne sont pas publiés, il est difficile de demander des comptes aux gouvernements sur la façon dont ils utilisent les revenus obtenus des multinationales », insiste l’ONG, revenant ainsi au débat très actuel sur la conduite de la crise de l’euro. « Les données des multinationales dans les pays en crise dans la zone euro, par exemple, sont très insuffisantes. 65 des 105 grands groupes que nous avons étudiés, sont implantés en Espagne, mais seulement trois publient les impôts payés dans ce pays. En Grèce, pas un des 43 groupes qui y travaillent ne rend public les impôts payés dans le pays. » Voilà qui sera peut-être une nouvelle source de réflexion pour les responsables européens.

Circuits bancaires opaques
Parce qu’ils ont été sous le feu des critiques ces dernières années, les grands groupes miniers et pétroliers s’astreignent désormais à une meilleure transparence, afin de briser l’image d’opacité et les soupçons de corruption. Le groupe pétrolier norvégien Statoil arrive ainsi en tête pour la qualité de ses informations dans le classement établi par Transparency. Sur les dix premiers groupes, six sont soit miniers, soit pétroliers. Toutefois, Total n'est encore qu’au 46e rang du classement.

À l’autre bout du classement, se retrouve l’ensemble du secteur bancaire et financier. L’étude montre que les banques et les assurances sont les groupes qui délivrent le moins d’informations sur les pratiques et les mesures anti-corruption qu’elles ont adoptées, alors que « les structures opaques ont joué un rôle essentiel dans les récentes crises financières », écrit l’ONG.

Le résultat moyen des programmes anti-corruption dans le secteur est de 56 %, soit le plus bas résultat de tous les groupes, note le rapport. La présence de quatre banques chinoises, qui ne publient rien sur le sujet, explique en partie cette note basse. Mais Transparency montre que les groupes financiers restants sont tous en dessous de la moyenne. « Certaines institutions financières expliquent que ces programmes anti-corruption doivent être gardés confidentiels pour obtenir un avantage compétitif », expliquent les rapporteurs. L’argument ne les a pas convaincus. Et c’est sans doute aussi au nom de la concurrence, que la moitié des établissements financiers ne donnent aucun chiffre de revenus, de bénéfices ou d’impôt dans les pays dans lesquels ils travaillent, préférant noyer le tout dans une masse consolidée.

« Si et quand les institutions financières échouent à s’auto-réguler, les régulateurs gouvernementaux doivent s’impliquer. Et là où les régulations volontaires ou imposées échouent, les enquêteurs et la société civile doivent élever la voix et exiger une plus grande transparence », insiste Transparency.

Mais quelle chance a cette recommandation de voir le jour ? Faible voire nulle, si on en croit une autre étude, publiée lundi par une autre fondation anglaise, the Bureau of investigative journalism, sur les activités de lobbying des banques et de la City pour défendre leur cause. Pour la seule année 2011, l’ensemble du secteur financier britannique ou installé à Londres – car on retrouve parmi les généreux donateurs BNP Paribas ou Deutsche Bank – a dépensé 92,8 millions de livres (117 millions d’euros) dans des activités de lobbying.

Un lobbying financier démultiplié
Plus de 129 organisations, comprenant les banques mais aussi les cabinets d’avocats, des associations, ont été mobilisées. La fondation estime que plus de 800 personnes ont été impliquées d’une façon ou d’une autre pour plaider les causes du secteur financier. A l’autre bout, plus de 120 parlementaires ont des relations directes avec les groupes financiers. Le président de la City of London Corporation, le plus vieux district de la capitale britannique, a été reçu 22 fois en quatorze mois par le ministre des finances, George Osborne, et d'autres responsables gouvernementaux chargés des finances.

Résultat ? Selon la fondation, ces activités de lobbying ont été des plus payantes. Le secteur financier a réussi à abaisser les impôts sur les sociétés, à bloquer les règlements européens sur la spéculation sur les matières premières, à limiter le projet de retraites publiques pour les salariés les moins payés, à enterrer les plans gouvernementaux pour instaurer une nouvelle surveillance sur les sociétés cotées, entre autres. « Dans cette période d’austérité, le lobby financier a été capable d’assurer ses exonérations fiscales et les dispositions législatives qui lui étaient favorables », note le responsable du bureau. Comme chacun peut le constater, les engagements pris par les gouvernements à tous les sommets du G8 et du G20 après le déclenchement de la crise de 2008 sont vraiment respectés : plus rien décidément n’est comme avant.

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