#Humanitaire : Le fléau des «sexpats» - Libération #sexualité #néocolonialisme
Après les révélations du «Times» sur le recours à la prostitution dans une mission d’Oxfam en Haïti, qui ont conduit le directeur de la branche britannique à démissionner la semaine dernière, «Libération» a enquêté auprès de dirigeants et d’employés d’ONG. Tous reconnaissent des dérives et déplorent des obstacles juridiques.
La #France a-t-elle une responsabilité dans la guerre au #Yémen ? - Mediapart - vidéo 43 mn #StopGuerre (et donc .. #StopHumanitaire ) #ArabieSaoudite #Alliances #CrimesDeGuerre #Humanitaire #Hypocrisie #UE #USA #VenteDArmes
Ajoutée le 7 déc. 2017
Alors que l'ancien président Saleh a été assassiné, le Yémen continue de s'enfoncer dans la guerre. Le principal responsable du conflit aujourd'hui est identifié : l’Arabie Saoudite. Mais le Royaume est appuyé, au moins indirectement, par les pays occidentaux, dont la France.
Ils partent au bout du monde en Inde, au Népal, au Cambodge… pour aider à la construction d’orphelinats, à l’installation de filtres à eau ou pour donner des cours d’anglais à des enfants défavorisés : on les appelle les "volontouristes". Ces Occidentaux en "vacances" pensent faire acte de solidarité, ils participent parfois à un business sans scrupule.
Pierre-Emmanuel Barré est à nouveau brillant (même, si je vous avertis, il commence toujours et exprès par une devinette nullissime, ne zappez après 20 secondes ) et à contre-courant sur #FranceInter, où habituellement règne la pensée unique.
Personne ne rit , par exemple, quand il se demande pourquoi les syriens viennent se réfugier en France alors que la France les bombarde.
La doxa veut que seuls Assad et les Russes bombardent des syriens (et seulement à Alep Est.. )
Les #migrants volent le travail de nos clochards - #PierreEmmanuelBarré #France #Humour #Humanitaire #Syrie
Que fuient les Afghans ? 39 mn - France Culture #réfugiés #Afghanistan #US #MSF #humanitaire #OTAN #NATO
Intervenants
Ahmad Mahjoor : sociologue, conseiller spécial du parlement afghan, auteur de L'Afghanistan en transition. Une approche politique (L'Harmattan, juin 2013)
Gilles Dorronsoro : Professeur de science politique à l'Université de Paris 1- Panthéon-Sorbonne
Ils sont nombreux mais on ne les voit plus vraiment : les Afghans restent la 2e communauté de réfugiés à tenter leur chance en Europe. Au total, ils sont plus de 2.7 millions à avoir choisi l’exil, plutôt que de rester vivre dans un pays, l’Afghanistan, toujours en guerre.
Si les Syriens sont aujourd’hui les plus nombreux à venir chercher refuge en Europe, ils ne sont pas les seuls, loin de là. On finirait presque par les oublier, mais les Afghans représentent la deuxième communauté d’exilés. Une histoire qui dure depuis 35 ans, et qui n’est pas près de se terminer. L’an dernier, ils étaient 200 000 Afghans à faire une demande d’asile à l’un des pays de l’Union : six fois plus que l’année précédente.
C’est que l’Afghanistan reste, aujourd’hui encore, un des pays les plus dangereux au monde. Les talibans n’ont pas été vaincus : ils combattent à nouveau pour s’emparer du pouvoir. Face à eux, une armée souvent démunie, qui ne peut plus compter sur le soutien des troupes de l’OTAN : celles-ci ont quitté le pays fin 2014. L’Afghanistan, pays instable, et qui peine donc à se reconstruire, malgré les moyens importants octroyés par les Etats-Unis depuis 2001 et le début de leur intervention militaire. Selon le Haut commissariat de l’Onu aux réfugiés, plus de 2 millions 700 000 Afghans vivent aujourd’hui en dehors de leur pays, au Pakistan et en Iran pour la plupart.
itw #BrunoJochum , dir gén #MSF qui renonce aux dons de l' #UE pour dénoncer sa politique migratoire -RTS 5 mn
L'ONG Médecins sans Frontières a décidé vendredi de renoncer à tout financement de l'Union européenne et de ses Etats membres, pour dénoncer leur politique migratoire "honteuse". Interview de Bruno Jochum, directeur général de MSF.
Les hotspots de #Lesbos devenus des lieux de détention de #réfugiés dénoncent #MSF + #HCR 23.3.16 - rts - 5 mn #honte #Europe
Le Haut Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR) et Médecins sans Frontières (MSF) se retirent en partie des hotspots pour migrants sur les îles grecques. Ils estiment que ces centres sont devenus des lieux de détention de migrants, depuis l'accord UE-Turquie. Interview de Michele Telaro, délégué de MSF sur l'île de Lesbos.
Un employé libanais du #CICR tué au #Yémen - Libération #humanitaire #ArabieSaoudite #Liban
Un employé de nationalité libanaise du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a été tué par balles samedi au Yémen, pays ravagé par plus de trois ans de guerre, a annoncé l’organisation.
Le directeur du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) au Moyen-Orient, Robert Mardini, s’est dit sur Twitter «choqué, révolté et attristé par le meurtre de (son) collègue et ami Hanna Lahoud à Taëz» dans le sud du Yémen.
«Nous au CICR, condamnons dans les termes les plus durs cet acte insensé», a-t-il ajouté. «Nos pensées vont à la femme de Hanna et sa famille au Liban».
D’après le CICR, le jeune humanitaire en charge du programme du CICR pour les détenus, a été tué par des tirs d’hommes non identifiés alors qu’il était en route pour visiter une prison à Taëz. Il a été aussitôt transporté à l’hôpital où il a succombé.
La victime a été atteinte de plusieurs balles au coeur, a indiqué une source hospitalière.
La majeure partie de la région de Taëz est sous contrôle des forces gouvernementales mais des zones environnantes sont aux mains des rebelles Houthis.
Selon un correspondant de l’AFP à Taëz, qui s’est rendu sur les lieux du crime, les assaillants ont tiré sur un véhicule du CICR dans le secteur de Zabab dans l’ouest de la ville.
Hanna Lahoud était employé au CICR depuis 2010. Auparavant il avait travaillé à la Croix Rouge libanaise pendant plusieurs années.
«Hanna a sauvé des centaines de vie comme volontaire à la Croix rouge libanaise (...) Il a aussi vaincu le cancer il y a deux ans. Aujourd’hui, un imbécile lui a ôté la vie», a tweeté une porte-parole du CICR et collègue de la victime, Marie Claire Feghali.
Le Yémen, pays pauvre de la péninsule arabique, est entré fin mars dans sa quatrième année d’une guerre meurtrière entre rebelles contrôlant la capitale Sanaa et forces gouvernementales soutenues par une coalition militaire sous commandement saoudien.
Le conflit a fait près de 10.000 morts et causé une très grave crise humanitaire.
#Liban Démarches discrètes pour entamer le processus de rapatriement des Syriens vers la #Syrie - Scarlett HADDAD - 15.01.2018 - #réfugiés #humanitaire
La classe politique se consacrant actuellement aux prochaines élections législatives prévues le 6 mai, le dossier des déplacés syriens semble donc mis en veilleuse. Aucune des parties politiques n'a en effet intérêt à ce que ce dossier soit présent dans les campagnes électorales en raison de la délicatesse du sujet et de l'état d'esprit général des électeurs toutes tendances confondues au sujet de la présence de ces déplacés dans leurs localités. Les incidents entre Libanais et déplacés syriens se multiplient un peu partout sur le territoire libanais et de nombreux Libanais voient la présence des Syriens, déplacés ou non, comme une concurrence économique illégale et une source de problèmes sociaux, voire même sécuritaires. En même temps, ce dossier est lié à la communauté internationale qui finance en grande partie la présence de ces déplacés au Liban dans un but précis, celui de les empêcher d'affluer vers les pays occidentaux. Il a aussi une dimension politique liée à l'approche du dossier syrien dans son ensemble et à l'attitude à adopter vis-à-vis du régime syrien et de son président Bachar el- Assad. Ceux qui considèrent que le chemin obligé pour le règlement de ce dossier passe par un dialogue avec Damas ne peuvent pas utiliser leurs arguments pour ne pas mettre leurs alliés au pied du mur et ceux qui rejettent tout dialogue avec les autorités de Damas savent que leur position n'est pas populaire auprès de leurs électeurs et qu'elle est plus ou moins dépassée par les développements sur le terrain. Même les études publiées dans les médias sur l'opportunité que représente pour le Liban la présence des déplacés syriens ne convainquent pas la population qui reste assez hostile à l'égard des déplacés syriens indépendamment des considérations humanitaires. La violente polémique autour de la visite de certains ministres à Damas s'est donc soudainement calmée après le retour du Premier ministre Saad Hariri de son séjour controversé à Riyad et rien n'indique qu'elle sera rouverte au cours des prochains mois. Pourtant, il ne faut pas croire que ce dossier ne connaît pas des développements importants qui se font toutefois dans la plus grande discrétion. L'initiative vient cette fois du régime syrien, avec une coordination discrète avec les autorités libanaises concernées, sachant que le directeur général de la Sûreté générale est officiellement chargé des contacts avec Damas. Au cours des dernières semaines, le ministre d'État syrien à la Réconciliation nationale, Ali Haïdar, a ainsi effectué plusieurs visites au Liban et en particulier dans les camps de déplacés dans le but de commencer à préparer le processus de leur retour. En décembre, M. Haïdar s'est donc rendu au camp de déplacés installé dans le village de Srifa au Liban-Sud et il s'est entretenu avec les Syriens qui y vivent, essayant de procéder à une sorte de recensement. Il a voulu ainsi savoir d'où ils viennent et si leurs localités d'origine font partie des zones sûres. Il les a aussi sondés sur leur volonté de retourner chez eux. Selon des sources qui suivent le dossier, le ministre syrien se serait entretenu aussi bien avec les déplacés considérés comme proches du régime syrien qu'avec ceux qui sont proches de l'opposition, pour les inciter tous à revenir en S(..)
L’ #USAID, un outil d’influence des #USA très efficace #softpower #stratégies #CIA #humanitaire
L’Agence des États-Unis pour le développement international a connu récemment des soubresauts reflétant les divergences entre certains élus américains et la Maison Blanche. Le Congrès a augmenté de manière unilatérale le budget pour les « opérations étrangères » de plusieurs milliards de dollars. Un budget qui inclue en grande partie les activités de l’USAID, agence américaine au service des intérêts nationaux. Invité : Eric Denécé est Directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R), et ancien officier-analyste du renseignement pour le Secrétariat Général de la Défense Nationale (SGDN)
Ces associations subventionnées qui soutiennent la rébellion terroriste en Syrie grâce aux impôts des strasbourgeois
Nous avions évoqué dans un précédent article1 les activités de l'association humanitaire « Alsace Syrie » dont le soutien à la rébellion en Syrie est ouvertement revendiqué. Nous mettons une nouvelle fois en garde nos compatriotes de Strasbourg et d'Alsace contre cette association dont les dons matériels ou financiers alimentent directement les territoires aux mains de la…
Entretien 14 mn avec #NabilAntaki, médecin à #Alep - un autre point de vue sur la #Syrie - #humanitaire
Ajoutée le 24 mai 2016
Le docteur Nabil Antaki, gastro-entérologue syrien basé à Alep, ancien directeur d'hôpital, directeur du projet Les civils blessés de guerre, et membre de l'organisation de solidarité Les Maristes bleus, nous a accordé un entretien au cours de son récent et court séjour à Paris. Ce fut l'occasion de nous détailler la situation des hôpitaux d'Alep ainsi que les difficultés rencontrées par les Alépins pour se soigner, se nourrir (en particulier pour les enfants et a fortiori pour les bébés), circuler, avoir accès à l'eau ou à l'électricité. Le docteur Antaki nous a également présenté les nombreux programmes d'aide solidaire menés par Les Maristes bleus : des programmes médicaux et alimentaires, mais aussi éducatifs, conformément à la longue tradition de la congrégation mariste.
Enfin, nous avons évoqué le traitement médiatique de la situation alépine dans la presse occidentale, et les modes d'action possibles pour les Français souhaitant venir en aide à la population d'Alep.
#MSF, sans espoir d'avancée, boycottera le Sommet #humanitaire mondial - AFP 5.5.16
Paris - L'ONG Médecins sans frontières (MSF) renonce à regret à participer au Sommet humanitaire mondial fin mai à Istanbul, affirmant n'avoir plus aucun espoir de voir cette réunion inédite faire pression sur les Etats pour améliorer l'aide aux victimes des conflits.
Nous ne voyons plus comment le sommet va aider le secteur humanitaire à répondre aux besoins massifs engendrés par la violence continue contre les patients et le personnel médical en Syrie, au Yémen et au Sud-Soudan, par le blocage des civils en fuite aux frontières de la Jordanie, la Turquie et la Macédoine, par le traitement inhumain des réfugiés et migrants qui tentent désespérément de trouver refuge en Grèce et en Australie, égrène MSF dans un communiqué reçu jeudi.
L'organisation estime aussi que la réunion d'Istanbul ne servira à rien pour remédier à la faiblesse constatée des réponses aux récentes épidémies (Ebola, fièvre jaune) en Afrique ou aux graves restrictions mises en places par certains Etats en terme d'accès humanitaire.
La responsabilité des Etats dans toutes ces situations, et la capacité amoindrie des humanitaires à y répondre (...) sera ignorée, dénonce-t-elle.
Selon les Nations unies, quelque 80 pays au moins doivent participer les 23 et 24 mai au sommet d'Istanbul. Au dernier pointage, 45 seulement seront représentés par leurs chefs d'Etat et de gouvernement.
L'absence de l'ONG est décevante, car je pense que le sommet va aborder nombre de sujets très importants pour MSF, et sur lesquels MSF défend habituellement un point de vue argumenté et influent, a commenté à New York le porte-parole des Nations unies Stéphane Dujarric.
Selon lui les délégués vont tenter de renforcer la prévention des conflits, le respect des lois humanitaires internationales, la protection des civils et des personnels sanitaires, ainsi que la libre circulation des humanitaires.
Médecins sans Frontières, qui est l'une des principales ONG pourvoyeuses d'aide humanitaire dans le monde, est elle-même devenue une cible récurrente dans les zones de conflit, avec 75 des hôpitaux qu'elle dirige ou soutient victimes de bombardements en 2015.
Le 27 avril, la destruction sous les bombes du régime syrien d'un hôpital lié à MSF a fait 55 morts dans la ville d'Alep, selon le dernier bilan établi par l'organisation.
Nombre d'autres infrastructures de l'ONG ont été prises pour cibles, notamment en Afghanistan où un raid aérien américain sur un hôpital de Kunduz a fait 42 morts en octobre 2015, ou au Yémen, où un autre établissement a été touché à la même époque par des raids saoudiens.
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