(...) le premier rempart à la distraction du public est la qualité de l’histoire mais ont aussi fait germer de nouvelles idées et parmi les plus notables: la distinction – que j’ai omis d’opérer dans ce premier article – entre les distractions involontaires et distractions volontaires, entre celles qui perturbent le récit et celles que l’on orchestre pour le servir. La distinction entre distractions inutiles, qu’il faut à tout prix gommer, et les distractions utiles, que l’on peut essayer de canaliser, d’exploiter, de sublimer".