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On Tuesday night, a huge vacant warehouse on Chicago's South Side went up in flames. Fire department officials said it was the biggest blaze the department has had to battle in years and one-third of all Chicago firefighters were on the scene at one point or another trying to put out the flames. Complicating the scene was the weather -- temperatures were well below freezing and the spray from the fire hoses encased everything below in ice, including buildings, vehicles, and some firefighting gear. The warehouse was gutted, but the fire was contained. Fire crews remain on the scene as some smaller flare-ups continue to need attention. [16 photos]...
Via Philippe Gassmann
"L’un des romans les plus impressionnants de l’écrivain américain. Dans cette nouvelle traduction, il gagne encore en force et en noirceur, sublimé par les monologues intérieurs de Lou Ford, shérif adjoint schizophrène d’un petit bled tranquille. En façade, Lou est un brave type un peu simplet à l’accent traînant. Derrière ce masque qu’il n’ôte jamais, c’est un forcené dévoré par une fureur incontrôlable, qui hait les femmes et manipule ses congénères. Il s’enfonce dans un tourbillon de folie, de sadomasochisme et de sang, ponctué par des instants de grâce irréels, et des sentences d’un pessimisme inouï – “Si le Seigneur a commis une erreur en nous créant, nous les humains, c’est celle de nous donner envie de continuer de vivre quand nous avons le moins d’arguments valables pour nous accrocher à notre existence.” En toile de fond, Thompson crache sur une société viciée où tout le monde semble jouer un rôle, et où la bêtise, la perfidie et le souci des apparences a depuis longtemps asphyxié l’humanité dans le cœur des hommes."
Via Thomas W. Lemaigre
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On fêtait il y a quelques semaines le soixantième anniversaire de Mad, cette véritable institution fondée par Harvey Kurtzman et publiée chez EC Comics. Voici la couverture du premier numéro. On rappellera que René Goscinny y a collaboré du temps des débuts du magazine...
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Aucune des Marvelettes n'a fait carrière en solo, ce qui fait du groupe un parfait symbole de la période dorée de Tamla-Motown, entre 1961 et 1965. Citons leurs noms, aussi méconnus que ceux des Funk Brothers qui faisaient bouillir la marmite des hits maison : Gladys Horton, Georgeanna Tillman, Katherine Anderson et Wanda Young. C'est une cinquième, Georgia Dobbins, qui amène au quatuor dont elle fait encore partie une chanson pour assurer leur audition : Please Mr Postman...
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La une du New Yorker, hebdomadaire culturel américain, est parmi les plus prisées qui soient.
Jeudi dernier, le poète Lawrence Ferlinghetti a refusé le Prix Janus Pannonius, créé en février par le Club PEN Hongrie. L'Américain a refusé la distinction ainsi que les 50.000 € à la clé. Cette récompense littéraire est dédiée à la promotion de la liberté de discours ainsi qu'au soutien des écrivains emprisonnés de par le monde...
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You know Chief Joseph, even if you don’t know him by name. He’s not Sitting Bull, or Geronimo, but you probably recognize Chief Joseph, leader of the Nez Perce tribe, whose famous image was commemorated by the U.S. Postal Service with the 6-cent stamp in 1968. Notice what he’s wearing—a tan garment with blue beaded brocade that was his war shirt , which just sold to an anonymous buyer at the annual Coeur d’Alene Art Auction in Reno, Nevada, for $877,500...
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“Searching for the Seventies” takes a new look at the 1970s using remarkable color photographs taken for a Federal photography project called Project DOCUMERICA (1971-1977).
Via Seth Dixon
In 1926, historian Carter G. Woodson pioneered the celebration of Negro History Week in February as a recognition to coincide with the birthdays of President Abraham Lincoln and Frederick Douglass...
Via musée du quai Branly - Jacques Chirac
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The whale-watching boat was about to go back to the coast of Rancho Palos Verdes when the captain suddenly began heading the vessel farther out to sea.
Du 16 janvier au 21 avril 2013 La Fondation HCB expose la remarquable collection privée du galeriste new yorkais Howard Greenberg. Une centaine de chefs-d’œuvre, caractéristiques des choix avisés du « galeriste-collectionneur », sont pour la première fois dévoilés au public. Des modernistes de l’école tchèque (Drtikol, Rössler, Funke) aux photographes de la FSA (Lange, Evans) en passant par les humanistes (Hine, Seymour) ou les maîtres américains (Callahan, Frank, Winogrand), c’est une histoire personnelle de la photographie qui est racontée. Parmi la sélection,sont présentés des tirages d’une qualité exceptionnelle et des photographes majeurs, parfois méconnus comme Roy DeCarava, Leon Levinstein ou Ralph Eugene Meatyard.
Via Thomas-Penette Michel
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En 1935, le gouvernement américain mandate de très nombreux photographes pour documenter cette période de l'histoire des USA.
Des ruelles anonymes, des zones industrielles, des cours d'eau, des carrefours. A première vue, les photos de Tim Greyhavens brillent par leur banalité. Des images dépeuplées au cadre et à la composition rigoureuses que rien ne relie les unes aux autres. Derrière les clichés, pourtant, gît une histoire douloureuse. La mémoires de haines et de fureurs étouffées que le photojournalistes ravive en creux par-delà les siècles. Dans chacun de ces lieux photographiés dans l'Ouest américain, des immigrants chinois ont été maltraités et tués entre 1850 et 1910. "Des dizaines d'entre eux sont morts et ont été blessés, leurs maisons incendiées", précise le New York Times dans un long article consacré au projet sur le blog The Lens... >>>> Les photos sur le site de "The Lens" du New York Times : http://lens.blogs.nytimes.com/2012/08/13/remnants-of-anti-chinese-violence/?smid=tw-share
Non, il ne sera pas ici question du dernier opus de la série des Pirates des Caraïbes mais bien d’une décision de la Cour suprême des États-Unis. Ou quand la réalité semble dépasser la fiction… Celle-ci a en effet confirmé le 9 février 2012 que le trésor découvert au large de Gibraltar dans l’épave du navire Nuestra Senora de las Mercedes, d’un montant estimé à 384 millions d’euros doit être rendu à l’État espagnol. La société américaine d’exploration Odyssey Marine Exploration, qui avait fait la fabuleuse « découverte », doit donc renvoyer vers l’Espagne les 500 000 pièces d’or et d’argent et les centaines d’objets en or localisés en mai 2007 au large du Portugal...
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