« Des abeilles et des homme » (5/6). Le neurobiologiste américain, aux méthodes de recherche singulières, se fait l’avocat d’un rapport différent entre l’homme et ses ruches. Et défend une apiculture « darwinienne », au plus près du mode de vie des abeilles sauvages.
Par Jean-Michel Normand
Publié aujourd’hui à 05h00, mis à jour à 09h33