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Le ministère du Travail, de l'Emploi et de l'Économie sociale et solidaire Nicolas Schmit (LSAP) a lancé ce mercredi le projet pilote «Luxembourg Digital Skills Bridge». «ll est temps d'agir et d'anticiper une digitalisation massive, qui est perçue par beaucoup comme une menace pour l'emploi», lance le ministre. «Le premier aspect du programme est celui de la prévention. Il s'agit de faire le pont entre les compétences salariales d'aujourd'hui et celles que chercheront les entreprises demain, pour contrecarrer le chômage», a-t-il ajouté.
Petite, moyenne ou grande, l'entreprise éligible aura droit à 12 jours d'assistance technique, au maximum, à l'évaluation de ses nouveaux besoins. Le salarié bénéficiera alors d'une journée d'accompagnement individuel, «au cours de laquelle un bilan de ses compétences sera établi», précise Nicolas Schmit. Informé sur ces capacités et ses perspectives d'emploi, le salarié se verra alors proposé une formation sur mesure.
En outre, le gouvernement entend prendre en charge, en partie, les coûts de cette formation, laquelle pourra s'étaler sur trois mois. «Si le salarié reste dans l'entreprise, le taux de couverture sera de 35 %. S'il change de secteur, la couverture pourra aller jusqu'à 80% des coûts», souligne le ministre. «Le salarié en formation sera rémunéré au même taux que pour le chômage partiel, à 90% de son salaire».
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http://www.scoop.it/t/luxembourg-europe/?tag=Digital+L%C3%ABtzebuerg
Le ministère du Travail, de l'Emploi et de l'Économie sociale et solidaire Nicolas Schmit (LSAP) a lancé ce mercredi le projet pilote «Luxembourg Digital Skills Bridge». «ll est temps d'agir et d'anticiper une digitalisation massive, qui est perçue par beaucoup comme une menace pour l'emploi», lance le ministre. «Le premier aspect du programme est celui de la prévention. Il s'agit de faire le pont entre les compétences salariales d'aujourd'hui et celles que chercheront les entreprises demain, pour contrecarrer le chômage», a-t-il ajouté.
Petite, moyenne ou grande, l'entreprise éligible aura droit à 12 jours d'assistance technique, au maximum, à l'évaluation de ses nouveaux besoins. Le salarié bénéficiera alors d'une journée d'accompagnement individuel, «au cours de laquelle un bilan de ses compétences sera établi», précise Nicolas Schmit. Informé sur ces capacités et ses perspectives d'emploi, le salarié se verra alors proposé une formation sur mesure.
En outre, le gouvernement entend prendre en charge, en partie, les coûts de cette formation, laquelle pourra s'étaler sur trois mois. «Si le salarié reste dans l'entreprise, le taux de couverture sera de 35 %. S'il change de secteur, la couverture pourra aller jusqu'à 80% des coûts», souligne le ministre. «Le salarié en formation sera rémunéré au même taux que pour le chômage partiel, à 90% de son salaire».
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