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PLEN2, est un robot open source créé par « PLEN Project Committee ». Sa particularité ? Il est créé à partir de l’impression 3D. Après une fructueuse campagne Kickstarter, l’équipe de développement travail sur la distribution. 
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Encouragés par la baisse du prix des technologies et le partage des connaissances, les amateurs deviennent des « pros ». Photographes, créateurs d’objets décoratifs ou même de robots, ils commencent à rencontrer leur marché.
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L’IAAC – Institute for Advanced Architecture of Catalonia – a mis au point une imprimante 3D d’un nouveau genre. Il s’agit de robots aux compétences complémentaires, relativement libres de leurs mouvements, et permettant en étant combinés de construire par impression 3D des structures beaucoup plus grandes qu’eux. Ainsi, l’IAAC souhaite pouvoir s’affranchir de la contrainte actuelle voulant que la machine d’impression 3D soit nécessairement plus grande que l’objet qu’elle souhaite construire (même s’il s’agit d’une maison).
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The Collective Cognitive Robots (CoCoRo) are a group of 40 mini-submarine robots that can work together to perform complex tasks. They are based on the concept of “swarm robotics”, which says that a group of simple “little robots” – capable of working together – are able to carry out more complex tasks – and at much lower costs – than a single, very advanced robot.
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Dans le cadre d’une économie collaborative et dans un souci de production durable et efficace, FarmBot élabore des machines agricoles de précision en open source.
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Dans la série des articles de l’été, j’ai passé un peu de temps à regarder les systèmes d’exploitation pour robots ces derniers soirs. J’ai découvert le ROS ou Robot Operating Software. Petite revue des possibilités et exemples de mises en œuvre. Le projet ROS a débuté en 2007 sous le doux nom de switchyard. Il était porté par le Stanford Artificial Intelligence Laboratory qui comme son nom l’indique travaillait sur les sujets liés à l’intelligence artificielle pour les robots au sein de l’Université de Stanford. En 2008, le projet est poursuivi au sein de l’institut de recherche Willow Garage en mode collaboratif avec plus d’une vingtaine d’instituts. Voilà un exemple de mutualisation de la Recherche et Développement dans le domaine de l’open source. Encore une fois, ce sont les Américains qui nous montrent l’exemple, là où l’INRIA et son dirigeant s’oppose à la priorité aux logiciels libres et open source dans la recherche.
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Voici une liste qui va intéresser tous les passionnés de robotique cherchant à se lancer dans la construction d’un robot. Le site FreeIO.org, l’un des tous premiers sites web consacrés au logiciel libre vient de poster une liste des robots open-source.
Les robots proposés sont des projets libres d’utilisation datant de 1997 à 2012. Ces 14 projets sont pour la plupart des robots de petite taille, qui coûtent plus ou moins cher à fabriquer, certains peuvent même se faire à partir de pièces imprimées en 3D.
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Biological organisms can metabolize: break down nutrients into basic building blocks and then use those building blocks to create new things. What if we could reproduce this kind of process in a robotic system? Via Artilect FabLab Toulouse
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Ibis vient de mettre au point un système qui permet de transformer votre sommeil en une oeuvre d’art concrète comme un peinture unique. Ce mélange subtil de technologie et de performance artistique est réalisé par un robot qui analyse les données issues de plus de 80 capteurs placé dans une chambre d’hôtel. En fonction des données reçues, le robot va alors peindre en temps-réel une toile unique correspondante à votre sommeil.
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Sans eux, l’encyclopédie libre serait souvent un fouillis vandalisé : les « bots » y assurent une quantité de travaux répétitifs. Dans l’édition en français, les 100 premiers pèsent à eux seuls 25% des modifications. Via Britt Pettersen, Daniel Morgenstern, jlkpodar
Daniel Morgenstern's curator insight,
February 18, 2015 9:05 AM
La célèbre ’encyclopédie collaborative, créée en 2001 et qui arrive maintenant à 138 millions d’articles dans 288 langues, est loin de n’être faite que par des humains : une part non négligeable est due à des robots logiciels, ou « bots » (prononcer « botte »). Et cela de bien des façons : pour améliorer des articles, les ranger, les mettre à jour, les protéger des vandalismes, etc.
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La NASA est à l’origine de nombreux projets scientifiques liés à différents futures missions spéciales. L’agence utilise pour cela une importante infrastructure informatique avec une forte présence de logiciels libres en particulier Linux et la distribution Ubuntu. La communauté scientifique est adepte du logiciel Open source. Les raisons sont nombreuses mais le souhait d’avoir la main sur le système avec un haut degré de liberté et d’action n’est surement pas étrangère à cette réalité. Après avoir découvert que la distribution Ubuntu était utilisée dans la station spatiale internationale pour piloter des « rovers » sur Terre, la distribution est également présente au centre spécial Kennedy de la NASA où des chercheurs travaillent sur des robots qui seront un jour, peut être, utilisés à la surface d’autres planètes.
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opCette semaine, Poppy l’humanoïde français fabriqué à partir d’éléments imprimés en 3D, a été présenté au Président de la République François Hollande à L’Elysée, dans le cadre d’un évènement FrenchTech pour soutenir le développement de l’économie du numérique. Poppy (présenté ici) est le premier robot humanoïde complet au monde à être la fois open-source et imprimé en 3D. Il est destiné principalement au monde de l’éducation, des FabLabs (associatifs ou dans les entreprises), des geeks et des artistes.
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Lors du salon Innorobo, on pouvait retrouver une étrange sculpture robotique. Derrière ce tigre mécanique se tient un artiste lyonnais : Romain Lardanchet. Via Jean-Pierre Blanger
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Quand on évoque le thème des robots, on pense souvent à des robots de forme humanoïde... puis viennent ensuite les robots qui roulent et les robots qui serpentent, mais avez vous déjà imaginé un robot cubique ? C'est-ce qu'ont imaginé les ingénieurs du "Institute for Dynamic Systems and Control" basé à Zurich qui ont conçu un robot baptisé Cubli de 15 centimètres de côté capable de se maintenir en équilibre, de se redresser sur un coin ou une arrête et même de se "poser" tout en contrôle. À l'intérieur, tout un système de gyroscope, de balanciers et de moteurs qui lui permettent de réaliser ces prouesses, et tout ça sans fil...
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A Georgia Tech research team has received a grant to develop a robot capable of using objects in its environment to accomplish high-level tasks. The team recently received a three-year, $900,000 grant from the Office of Naval Research.
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Gael Langevin wants to give you a robot. The French artist is posting 3D printer files for a humanoid robot he’s building as he completes the various parts, allowing us all to create our very own plastic helper/lover with some ABS plastic, a few Arduino boards, and some motors. The plans for the hands are available on Thingiverse and Langevin will release more parts over the next few months. He has a build log here. The robot is completely open source and all the plans will be available for download. You should be able to print most of the pieces on a home 3D printer, although I suspect some of the bigger pieces might be tough to build on a Makerbot.
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Fort de constater que la population vieillit de plus en plus, les chercheurs Coréen du Center for Intelligent Robotics ont conçu un robot appelé CIROS destiné à aider les personnes dans les tâches ménagères. Pour information, le CIR fait partie intégrante du KIST, le Korean Institute os Science and Technologie. Le robot CIROS dispose donc d’une tête équipée d’un système Kinect capable d’identifier les objets et les appareils ménager afin de les utiliser facilement.
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