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... un paradigme pour aider à comprendre les enjeux de transformation de la société La multiplication rapide des outils technologiques nous amène souvent à voir les questions du numérique sous l’angle des équipements ou de l’ingénierie : infrastructures haut débit, dotation de tablettes pour les collégiens,applications informatiques, cours multimédia... Pourtant la transformation induite par nos usages est bien plus profonde où l’innovation ouverte interpelle les comportements culturels dominants. Nouveaux modèles économiques, déplacement de la production de valeur, pair à pair, innovation ouverte,communs, émergence d’une société contributive, consommations collaboratives, nouveaux risques, nouvelles solutions... sont des clés de lecture qui peuvent aussi bien s’appliquer à la transformation de la musique, de la presse que de l’éducation, de la gouvernance ou demain de la santé. Considérer la transition numérique comme un paradigme, est une posture qui aide à comprendre les transformations en cours. Voici une présentation de cette approche pour éclairer la mise en place de politiques qui ,de l’école à l’entreprise ou la cité pourraient accompagner une appropriation qui relie, implique et contribue à une confiance en soi clé de l’innovation sociale..
Via Bernard BRUNET, Aurélien BADET
Imagine traveling back to 1996 in a typical American living room. What's changed? The TV is three feet thick and weighs 150 pounds. There’s a VHS videocassette recorder underneath, but no Internet-connected devices to be seen.
Now, what hasn't changed?
Open Château rassemble des porteurs de projets, des communautés et des citoyens, le temps d’un weekend de trois jours, dans un lieu unique et magique à 45km de Paris.
Cet événement est poussé par un collectif ouvert d’acteurs animés d’une même intention : Celle de faire émerger un espace de rencontre, de reliance et de co-création autour de thématiques et de projets liés à la transition.
L’enjeu est de transcender nos frontières organisationnelles pour : - Rassembler nos énergies, partager nos idées, articuler nos projets, mutualiser nos ressources.
- Développer ensemble de nouvelles manières de vivre, de produire, d’échanger, de travailler …
Open Château est un bien commun. Tout le monde participe, tout le monde finance (y compris les organisateurs), tout le monde programme … Et, cerise sur le gâteau, vous pouvez accéder au budget de l’événement !
Les bénéfices réalisés (s’il y en a !) serviront à investir pour le prochain Open Château. Nous publierons sur ce site la manière dont ils seront utilisés.
Face à l’évolution des usages induite par le numérique, les institutions culturelles ont tout intérêt à ouvrir leurs données estime le rapport « Ouverture et partage des données publiques culturelles, pour une (r)évolution numérique dans le secteur culturel », établi par Camille Domange, chef du département des programmes numériques du ministère de la Culture, publié mercredi 15 janvier 2014.
Michel Bauwens : • Quels sont les exemples les plus marquants d’initiatives libres ? • Dans ces exemples, comment les contributeurs trouvent-ils une rémunération ? • Si le marché n’est pas adapté à la construction du bien commun et si les individus ne peuvent subvenir à leur besoin en s’impliquant dans le bien commun, quelle est la solution ? • Quels sont les modèles économiques qui fonctionnent ? • Quels sont les leviers à mobiliser pour favoriser les modèles ouverts ?
Via Christophe CESETTI, Claudine Revol, Bernard BRUNET, Aurélien BADET
J’ai à de nombreuses reprises eu l’occasion de déplorer dans ce blog que l’ouverture des données publiques était en panne dans ce pays en ce qui concerne le secteur culturel. Jusqu’à présent, la Culture était le mouton noir de l’Open Data en France, alors qu’à mon sens, elle aurait du être l’un des premiers domaines à embrasser ce mouvement.
Je me lance dans une série d’articles visant à vous faire découvrir les acteurs du logiciel libre et de l’open source dans ma belle région de Rhônes-Alpes. Je viens d’écrire logiciel donc nous allons parler de matériel, histoire de rappeler que le libre ce n’est pas que du logiciel. Nous commençons par la société Techno-Innov représentée par Nathaël Pajani et qui a opté pour un statut de SCOP SARL. Nathaël Pajani représente aussi l’entreprise ED3L qui est membre du Ploss Rhônes-Alpes.
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Chercheurs et citoyens, nous considérons que l’accès payant aux résultats de la recherche constitue un obstacle à la large diffusion du savoir scientifique à destination de l’ensemble des disciplines, mais également des étudiants, des enseignants du secondaire et du primaire, des journalistes, du personnel politique, des administrations, des organisations non gouvernementales et des citoyens. Il renforce les inégalités entre les universités riches et les établissements pauvres, entre les métropoles universitaires et les périphéries, entre les grands groupes et les PME, entre les experts et les citoyens, entre les Nord et les Sud, dans un monde au sein duquel l’accès à la connaissance est une clé du progrès économique et social, de la santé publique, de l’innovation technologique, de la maturité démocratique et de la réussite environnementale.
Via Florence Piron, Bernard BRUNET, Aurélien BADET
Après Open Models et en lien avec la COP21, nous lançons une nouvelle recherche : Open models for sustainability. Et si les les modèles économiques ouverts étaient la clé de la transition écologique ? Comme pour les recherches précédentes nous allons mobiliser des contributeurs et réaliser une synthèse qui sera disponible en 2016 et les contenus seront publiés également sur la plateforme transition2.
Depuis que j’ai ouvert ce blog, j’ai toujours accordé une attention spéciale à l’articulation entre les modèles juridiques et les modèles économiques. C’est particulièrement important pour les projets utilisant des licences libres ou ouvertes, dont la soutenabilité doit être assurée par des modèles innovants. C’est la raison pour laquelle l’année dernière, je m’étais joint au projet Open Experience, lancé par Without Model. Il s’agissait d’organiser une série de rencontres-débats autour de la question des modèles économiques de l’Open, déclinée selon différents champs : Art & Culture, Logiciel, Education, Science, Manufacturing et Data. J’avais co-organisé et co-animé en janvier dernier le premier évènement consacré au secteur culturel, qui fut l’occasion pour moi de dresser une cartographie des différents modèles économiques que j’avais pu repérer en la matière.
A la place de la web-édition organisée complètement comme l’édition traditionnelle avec ses comités de rédaction, son patron et son obsession économique je propose autre chose, qui n’est pas entièrement nouveau sur le web mais en perte de vitesse : ce que j’appelle l’association des auteurs. C’est-à-dire le contraire de la logique impériale et territoriale, du désir de maîtrise et d’organisation d’un espace circonscrit par un petit groupe (disons une coterie). Une désorganisation volontaire du web littéraire. Une radicalité créatrice qui ne peut être réelle que si des mouvements existent dans tous les sens sans aucun organe central, que si l’écriture se dissémine hors de tout cadre étroit
Via OeO, Bernard BRUNET, Aurélien BADET
L’ampleur de la collecte d’informations à travers les réseaux sociaux, les métadonnées stockées et les interceptions en tous genres bouleversent notre capacité d’appréhension du monde. Le philosophe Michel Serres considère qu’après la découverte de l’écriture, qui apportait la mémoire et agrandissait le champ de l’échange, puis celle de l’imprimerie, qui en permettait le stockage et sa diffusion, l’Humanité est en train de vivre sa troisième révolution avec l’arrivée du numérique et de l’Internet. Il faut reconnaître que cette rupture, touchant toutes les secteurs de l’activité humaine, produit sous nos yeux un nouveau modèle de société. Chacun en vit journellement les conséquences mais rares sont ceux prêts à les affronter dans le long terme alors qu’elles sont inéluctables.
Les huit chefs d'États réunis les 17 et 18 juin au sommet de Lough Erne, en Irlande du Nord, se sont accordés sur l'ouverture des données publiques, "une ressource essentielle à l'âge de l'information", reconnaissant dans le communiqué final que l'ouverture de ces ressources au grand public pourra "améliorer la vie des citoyens, favoriser l'innovation, la croissance économique et la création d'emplois."
Il y a 3 ans nous traduisions un article issu du blog de Google et rédigé par l’un de ses hauts gradés Jonathan Rosenberg : The meaning of open. Il y expliquait pourquoi et comment la célèbre entreprise prônait l’ouverture à tous ses étages.
Le même auteur récidive ici en dépassant la problématique Google pour affirmer non sans un certain optimisme (à l’américaine) que c’est le futur tout entier qui est désormais ouvert et que c’est très bien comme ça.
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