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Depuis février, Framasoft essaie activement de se débarrasser de Google. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce n’est pas facile. Les services de Google nous collent au clavier comme du sirop d’érable en importation directe de Mountain View.
Un mois de festival pour explorer, créer et faire connaître les biens communs[1] au quatre coins de la francophonie, ça vous dit ? Plus de 200 événements sont organisés à partir d’aujourd’hui et durant tout le mois d’octobre dans une quarantaine de villes francophones à travers le monde pour explorer et faire connaître toute la diversité des biens communs. Pendant ce « Mois des Communs », à Brest, Lyon, Montréal, Ouagadougou, Paris, Rennes, Lausanne, Bamako…, des visites, conférences, ateliers pratiques, et initiations en tous genres permettront aux citoyens de tous les âges de découvrir des initiatives pour créer, gérer et partager des ressources collectives. Conférence, table ronde, expo photo, atelier d’écriture et de traduction, dédicace, musique du domaine pubic… Framasoft participera à une bonne douzaine d’événements divers et variés à Paris, Lyon, Toulouse, Rennes, Bolbec et à… l’Assemblée nationale (voir le détail ci-dessous).
Nous reproduisons ici un article paru initialement dans la revue du projet (belge) Barricade, avec l’aimable autorisation de son auteur (« bien sûr, tu peux reprendre l’article, c’est de l’éducation populaire, on reçoit des subventions pour écrire cela, et plus il y a de diffusion mieux c’est »). Parce que le logiciel libre fait partie des biens communs. Parce que ces outils sont autant d’obstacles à lever pour une plus grande participation de tous.
Le 1er juillet prochain (J-4, donc !), Google Reader fermera ses portes. Lancé en 2005, ce service permettait aux utilisateurs d’organiser et de lire des flux d’actualités (appelés « flux RSS ») issus de multiples sites en un seul endroit. Plusieurs dizaines (centaines ?) de milliers d’utilisateurs se retrouvent donc « victimes » de cette fermeture annoncée il y a trois mois. Cela nous amène à nous poser deux questions : Quelle confiance accorder à Google[1], qui centralise vos données en ligne ?Quelle réponse le monde du logiciel libre a-t-il à proposer aux utilisateurs « mis à la porte » par Google Reader ?
Nous avons décidé d’apporter notre traduction française à une simple page Web (à voir dans sa version originale épurée). Parce qu’il est vrai qu’on a parfois tendance à se perdre dans la forme et oublier les fondamentaux…
Vous connaissiez la suite bureautique libre Joeffice ? Nous, non ! Et quand nous avons appris qu’elle avait été conçue en 30 jours par un développeur (qui plus est français), nous avons évidemment eu envie d’en savoir plus…
Quand l’association de l’impression 3D et de l’esprit Libre donnent des choses extraordinaires… Des prothèses de main open source peuvent être imprimées en 3D pour 150$
Lorsque la distribution GNU/Linux Ubuntu est sortie en 2004, son père fondateur Mark Shuttleworth a signalé lui-même le premier « bug » : Microsoft détient la majorité du marché (Microsoft has a majority market share). Il s’agissait symboliquement, et avec humour, de montrer le cap à suivre en désignant le principal concurrent. Aujourd’hui la donne a changé et Shuttleworth a décidé hier de marquer ce bug comme résolu (fix released), quand bien même cela ne signifie pas, loin de là, qu’Ubuntu ait gagné comme il s’en explique ci-dessous.
La semaine dernière, nous publiions la traduction L’open source n’est pas une zone de guerre, les hommes ne sont pas tous des connards. Armony Altinier, fondatrice du groupe accessibilité de l’April et l’une des initiatrices de la soirée Libre Diversité, a souhaité réagir à cet article.
« L‘open source n’est pas une zone de guerre. Les hommes ne sont pas tous des connards. » Tel est le titre d’un article publié par des femmes de la communauté Perl.
Un constat sensiblement différent du billet Sexisme chez les geeks : Pourquoi notre communauté est malade, et comment y remédier de MarLard, qui fit couler beaucoup d’encre récemment dans la blogosphère francophone.
GitHub est aujourd’hui la plus dynamique forge de développement de logiciels libres. Mais n’y aurait-il pas, dans sa conception même, quelques problèmes de gouvernance et de circulation du code qui menacent l’efficacité, voire la viabilité, des projets ?
Remarque : Pull request, issue, commit… nous présupposons que vous êtes familier avec le vocable GitHub, mais si un gentil lecteur veut nous les préciser dans les commentaires, qu’il/elle n’hésite surtout pas ;)
Tout au long de cette semaine Framaccueil, nous vous avons présenté une partie des coulisses de notre nouvelle page d’accueil. Cette semaine a été l’occasion pour nous de mieux communiquer sur l’ensemble des services proposés, grâce à vos dons, à vos apports, à notre travail commun.
Tous ces projets sont bien jolis, mais le projet initial, c’est tout de même un annuaire… L’annuaire Framasoft, avec ses dix années au compteur, a mérité une belle retraite… En effet, il se prépare depuis quelque temps déjà un nouveau projet qui, espérons-le, rendra autant de services durant autant de temps… Nom de code : FramaLibre. C’est à Nicolas (aka lamessen) que l’on va essayer de tirer les vers du nez…
Avant d’être un outil, le logiciel est une création de l’esprit. Et pour les programmeurs les plus inspirés, le code peut s’apparenter à une création artistique. Il est donc logique que la défense et la promotion du logiciel libre soient assez vite allées de pair avec la volonté de rendre libres d’autres créations de l’esprit, d’autres domaines artistiques.
La culture, bien vite, a exploré cette nouvelle façon d’aborder l’échange des créations de l’esprit… La musique a été un des premiers domaines où des expériences libres ont eu lieu à grande échelle. Martin, un tout jeune étudiant qui a conçu le site Framazic, nous parle du tournant culturel pris par l’association Framasoft.
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Le 21 novembre dernier, nous annoncions sur le Framablog une « opération de libération » du web-documentaire « No Es Una Crisis ». En effet, les ressources de ce documentaire produit par ‘‘La Société des Apaches” sont libres (CC BY-SA), malheureusement sa réalisation utilisant la technologie Flash empêchait sa visualisation sur bon nombre de supports (smartphones, tablettes, systèmes d’exploitation libres, anciennes versions de Windows, etc.). L’objectif était d’arriver, en un week-end, à produire collectivement et bénévolement, une version HTML5 du webdoc permettant sa visualisation sur tous les supports disposant d’un navigateur web récent. Pierre-Yves Gosset était, avec Fabien Bourgeois, le co-organisateur de ce « marathon de libération ».
Source : La vidéo : La Quadrature du Net a 5 ans ! (YouTube) Pour leur faire un cadeau : Soutenons La Quadrature du Net ! (+ vidéo de JZ pour Framasoft) Crédit : Simon Gee
Voici une traduction d’une conférence qu’Eben Moglen a donnée il y a déjà un an à Washington en 2012, mais ses propos demeurent d’une actualité brûlante aujourd’hui. J’avais déjà traduit une de ses interventions ici. Peu de personnes parlent aussi bien que lui pour expliquer le lien entre le logiciel libre et nos libertés personnelles. Cette fois il revient nous parler non seulement de libertés, mais aussi d’économie, ce qui ne manquera pas d’intéresser tout homme politique (ou personne qui s’y intéresse). L’intégralité de cette vidéo est disponible sur la plateforme Amara qui m’a permis de la sous-titrer en français. Si des bonnes volontés ont envie de faire une relecture et d’achever la session de questions/réponses, elles sont plus que bienvenues. Bonne lecture !
Le titre se suffit à lui-même ici. On pourrait ajouter aux entreprises, les institutions et les particuliers, bref tout le monde. Non content d’avoir été accusé par le passé de réserver dans Windows des portes dérobées à la NSA, non content d’être fortement suspecté de laisser les autorités américaines collecter nos données dans Skype, Microsft est maintenant soupçonné de différer la publication de ses patchs de sécurité pour en informer d’abord les mêmes autorités américaines ! Tout DSI normalement constiué(e) devrait lire cet article et en tirer avec sa direction ses propres conclusions.
Un livre sur la théorie des types homotopique vient d’être publié par des mathématiciens. A priori ça ne concerne que les spécialistes du sujet… Et pourtant ça concerne tout le monde, tant sa conception originale et les leçons qui en sont tirées ci-dessous ont valeur d’exemplarité. Du Libre à tous les étages (LaTeX, GitHub, Creative Commons By-Sa…) mais surtout dans son état d’esprit de partage et de collaboration. Un projet et un article passionnants, à faire lire dans la sphère académique et bien au delà.
Ces derniers mois de nombreux signes ministériels encouragent l’utilisation et la réalisation de logiciels et de ressources éducatives libres. La circulaire Ayrault a montré la voie en septembre 2012. Le 10 juin dernier , Vincent Peillon a notamment annoncé la réalisation de ressources vidéos disponibles en « OpenData » (Attendons de voir quelle sera exactement cette licence). On peut évidemment regretter que la priorité aux logiciels libres et aux formats ouverts ait été retoquée dans le projet de loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République. Le contexte reste toutefois globalement positif.
Goûts musicaux, culinaires, vestimentaires, etc. vous saurez tout (ou presque) sur Richard Stallman ! En récente conférence à l’Ubuntu Party de Paris, je cherchais un article simple et léger à faire faire à Internet pour illustrer la traduction collaborative sur Framapad. Je me suis souvenu de ce lifestyle de Richard Stallman qui intéressera peut-être ceux que le personnage interpelle ou fascine au delà de son action directe en faveur du logiciel libre. Le passage sur le port (ou pas) de la cravate est particulièrement savoureux ;)
Début 2006, Cory Doctorow publiait une courte nouvelle de science-fiction qui à peine sept ans plus tard, avec l’explosion de l’impression 3D (et le climat ambiant de guerre contre la bidouille et le partage) prend malheureusement déjà des accents prémonitoires…
L’un des auteurs que l’on traduit le plus sur le Framablog, Glyn Moody, choisit ici de mettre les pieds dans le libre plat. Et si on n’utilisait plus les licences libres, qui ne sont pas sans poser problèmes, en plaçant directement le code dans le domaine public ? Les avantages pourraient finalement dépasser les inconvénients ! Remarque : Sur le même thème on pourra également lire (ou acheter) notre framabook Un monde sans copyright… et sans monopole. Sans oublier notre auteur Pouhiou qui place directement ses romans dans le domaine public et s’en explique ici dans un fort intéressant dialogue avec Lionel Maurel aka Calimaq.
C’est ce qui arrive à un développeur britannique. Il s’en réjouit et nous avec ;)
Tristan Nitot a eu la gentillesse de bien vouloir m’accueillir vendredi dernier dans les nouveaux locaux de Mozilla à Paris. J’en ai profité pour lui poser quelques questions non seulement sur le lieu et son actualité mais également sur le Conseil de national du numérique dont il fait partie, sans oublier une dernière petite question Framasoft pour la route…
Dans cette semaine consacrée à l’accueil et aux nouveautés déjà là et imminentes, prenons un temps pour faire le point sur la communauté qui irrigue littéralement Framasoft de son énergie active. Car au-delà de l’association et des outils web, Framasoft est avant tout une communauté… Alexis, notre éleveur de lolcats plus connu dans les bas-fonds du Web sous le sobriquet de aKa, nous parle de ces gens de l’ombre qui œuvrent tant et tant pour partager librement et faire de la culture libre un idéal en marche, résolument.
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