Libre de faire, Faire Libre

La société BotFactory a lancé la semaine dernière sur Kickstarter son projet Squink. De quoi s’agit-il ? Squink est une machine qui ressemble étrangement à une imprimante 3D, et qui permet d’imprimer à la demande des circuits électroniques.
L’idée de ce projet est simple. L’impression 3D a permis de faire des objets fonctionnels sans subir de contraintes extérieures de temps ou d’argent. On maîtrise le process de bout en bout. Mais dès que l’objet doit avoir une autre dimension qu’un simple objet fonctionnel inerte, là on redevient dépendant de fournisseurs ou de partenaires. Réaliser des circuits sur mesure peut impliquer des délais.

Squink a été développé par une équipe d’ingénieurs qui se sont rencontrés à l’Ecole Polytechnique d’Ingénierie de l’Université de New York. Ils ont créé une machine qui, associée à un logiciel de design permet de créer la carte électronique que l’on souhaite, qu’on l’aie dessinée soi-même ou qu’on l’aie trouvée sur Internet. Ce n’est pas forcément une façon de produire des circuits définitifs, mais Squink a été pensé par ses créateurs comme un outil de prototypage de cartes électroniques.

Agic est un système mis au point par des chercheurs japonais qui permet de transformer n'importe quelle imprimante du commerce en machine à fabriquer des circuits imprimés. Le secret réside dans un montage qui permet d'imprimer avec une encre conductrice spéciale sur du papier ordinaire. Il devient ensuite très facile d'y positionner de petits composants …

Ces petits blocs électroniques fonctionnels s'assemblent intuitivement pour permettre toutes sortes d'inventions : chaussures à lacets clignotants, tourneur de page de partition, assiette mouvante... Les jeunes américains adorent.

Cela faisait quelques temps que je trouvais qu’il manquait quelques fonctions à mon tableau de bord de moto : une horloge, une jauge à essence, et de quoi surveiller la température du moteur, vu qu’il n’y a pas de radiateur sur ce modèle. Il s’agit d’une Yamaha xv Virago 1100.

J’avais profité d’une chute de moto pour modifier l’aspect général de la moto, et le câble du vieux compteur à aiguille avait cassé pendant les réparations.

L’occasion faisant le larron, j’ai vite établi un cahier des charges pour m’en faire un électronique.

Electronics supplier SparkFun designs dozens of products a year and they haven’t patented a single one. It’s worked out pretty well so far.

SparkFun is a DIY hardware supplier. It makes its living by shipping kits and components like bread boards, servo motors and Arduino parts to a mixture of students, hobbyists, and professionals making prototypes. Most of the stuff they sell is sourced from other suppliers, but where the company has made its name is in a stable of its own custom parts and kits, the designs for which it gives away for free.

“Every time I hear that a class of 8th graders are learning how to blink LEDs I realize that we’re making a difference,” says CEO Nathan Seidle in a post celebrating the company’s 10th anniversary. “I also get the uneasy feeling that I could easily be replaced by a 15-year-old in a few years’ time.”

Electronics supplier SparkFun designs dozens of products a year and they haven't patented a single one. It's worked out pretty well so far.