Les limites des dispositifs de création collective | Libre de faire, Faire Libre | Scoop.it
Sur le modèle de Make It Up et Museomix, les événements co-créatifs prolifèrent. Hubert Guillaud se penche sur ce phénomène des « mix » et explore les limites de la créativité collective à l’heure actuelle.

Museomix n’est qu’un dispositif parmi bien d’autres. Les barcamps, les hackathons, les ateliers créatifs, les interventions d’équipes de designers dans le champ de l’innovation sociale (et au-delà), les résidences de la 27e Région, les concours avec des développeurs qu’organisent les collectivités territoriales (comme celui de Rennes qui fut le premier en France) voire même l’Etat (Dataconnexions), les journées de créativité que de plus en plus d’entreprises fomentent avec leurs employés, leurs clients ou des développeurs… (celles organisées par la SNCF – le hackhaton des cheminots – par exemple ou la RATP… auxquelles on pourrait ajouter toutes les journées réservées aux développeurs des grands acteurs de l’informatique, allant de Facebook, Google à Mozilla) voire même aux évènements qu’organisent des acteurs indépendants pour d’autres sociétés comme le font BeMyApp.