Your new post is loading...
Your new post is loading...
Juste avant Noël, nous vous présentions Framacartes, un service de création de cartes personnalisées pour vos sites web, communautés, randos, chasses au trésor… Framacartes est basé sur le logiciel Umap, qui permet d’ajouter des points, tracés et polygones sur les fonds de cartes d’OpenStreetMap.
C’est alors qu’Antoine Riche, ingénieur informatique, Contributeur et Formateur OpenStreetmap, nous a contactés pour nous présenter sa série de tutoriels (libres, eux aussi) pour apprendre à maîtriser uMap (et donc Framacartes) à toute la famille Dupuis-Morizeau.
C’est avec son autorisation (et de chaleureux remerciements) que nous reproduirons sur le framablog les quatre premiers tutos (le niveau « débutant ») afin d’en faire profiter le plus grand nombre.
Cette semaine, on apprend tout simplement à se familiariser avec uMap et à profiter pleinement d’une Framacarte !
Umap est un site de cartographie collaborative libre qui utilise les fonds de cartes OSM (Open Street Map). Il vous permet de créeer vos cartes thématiques, de les rendre collaboratives et interactives.
Le soufflet infligé par Bruxelles à Google ce mercredi pour abus de position dominante vient de le rappeler: non, le géant américain n’est pas un service public. Et les adresses qu’il affiche sur son site Google Maps ne sont pas forcément celles utilisées par votre commune, la poste, les pompiers ou les impôts. Tous ces acteurs qui ont besoin de connaître votre adresse ne partagent d’ailleurs même pas la même base de données. «Le problème qu’on a aujourd’hui, ce n’est pas qu’on n’a pas de base de données d’adresses, c’est qu’on en a trop, et chacune est maintenue de son côté, explique Christian Quest, le président d’OpenStreetMap France. Du coup c’est compliqué, coûteux et long de mettre les données de chacune à jour.» Mais ça, c’était avant. Ce mercredi a en effet été lancé par le secrétariat général pour la modernisation de l'action publique la Base adresse nationale (BAN), qui regroupe (de manière non-nominative) les 25 millions d’adresses postales recensées dans le pays. Elle ambitionne de devenir la base de données unique, officielle et participative des adresses françaises.
Soyons francs : quand un développeur se présente à nous en expliquant qu’il a pensé son premier projet pour le grand public, pour la famille Dupuis-Morizeau (notre sympathique famille-témoin de Normandie qui, doit-on le rappeler, a pris le relais de la famille Michu), et qu’en plus il a placé ce projet sous licence libre… on a envie de frapper des mains et sauter partout en débouchant le champomy… Ce qui est dangereux pour les ordinateurs qui nous entourent, alors on le fait pas.
Par contre, on a aussi envie d’en savoir plus sur ce projet, et de le partager sur le Framablog.
Rémi Pace a bien vu que, chez les Dupuis-Morizeau, créer une carte se résumait à une mauvaise capture d’écran de Google Maps et un coup de paint (avec traçage aléatoire à la souris) ou de toshopage mal cracké (mais là faut demander à la petite, parce que les autres ne maîtrisent pas).
Or, on a souvent besoin de cartes à imprimer, mettre sur un site web ou un flyer… Et ce géographe de Rennes a développé une solution simple, libre et documentée (avec de zolis tuto vidéos) pour aider les Dupuis-Morizeau à réaliser simplement et en toute liberté leurs itinéraires, tracés et autres chemins de rando…
Découvrons donc ABC-Map avec son créateur, Rémi Pace.
Pour son dernier jour à la tête de l’IGN, Pascal Berteaud officialise ce vendredi un partenariat avec Open Street Map, (dont le président France, Christian Quest, est un habitant de Saint-Maur-des-Fossés), la DgFip et l’Etalab pour actualiser sa base d’adresses. Ce jeudi, l’institut a présenté ses proposition pour l’avenir de l’information géographique en plein chamboulement de la révolution numérique et mobile. Retour en détail.
Le site de cartographie Ushahidi a lancé Crisis.net, qui collecte en temps réel des milliers de données disponibles sur Internet. Chacun d'entre nous produit, chaque jour, des milliers d'informations sur Internet: ce que l'on aime, ce que l'on achète, où l'on va et avec qui… L'ouverture au public de ces données (ce que l'on appelle l'open data) permet d'établir des graphiques ou des cartes qui, dans certaines situations, peuvent sauver des vies.
Mapbox vient de dévoiler son nouvel outil : Mapbox GL, un framework en open source pour permettre aux développeurs d’insérer des cartes responsives dans leurs applications iOS. Mapbox GL utilise le nouvel OpenGL ES 2.0 pour des performances de grande qualité. Les app makers peuvent en personnaliser tous les détails et afficher tout ce dont ils ont besoin sur leurs cartes.
Rencontre le 26 février 2014 au Pont-du Loup (commune de Gourdon - Alpes-Maritimes)
Le Conseil de développement du PNR des Préalpes d'Azur, en partenariat avec les associations ADRETS, ARSENIC et APITUX, organise une journée de rencontre-débat sur la thématique des logiciels libres et notamment sur la cartographie libre et citoyenne OpenStreetMap et ses opportunités pour le PNR.
Dans cette Interview réalisée par le site Data Publica en septembre 2012, Gaël Musquet, président d’OpenStreetMap France, fait le bilan d’étape d’OpenStreetMap et fait le lien avec les questions d’Open Data. Huit ans après la création du projet OpenStreetMap en Angleterre, Gaël Musquet, président d’OpenStreetMap France, revient sur la création, le développement et l’avenir du du pionnier de la cartographie collaborative et libre sur le web.
Le 26 novembre 2013, 150 participants du forum Innovafrica a Abidjan sont venus dans le quartier de ALLAHKRO pour apprendre a cartographier avec l'aide de OpenStreetMaps CI et OpenStreetMaps TOGO. Ils ont decouvert que les 2000 habitants du quartier n'existaient sur aucune carte, que personne ne savait que des enfants allaient a l'ecole dans ce quartier et que les habitants doivent etre expropries pour construire un barrage. Si les participants d'InnovAfrica ont appris a cartographier, les habitants du quartier ont appris l'importance d'etre cartographie pour exister. Le projet ALLAHKRO va continuer a former des personnes a la cartographie tout en aidant les habitants des bas quartier.
Via Bernard BRUNET, Aurélien BADET
La société Suisse senseFly a mis au point des drones autonomes capables de voler même dans les zones de turbulences, jusqu'à une hauteur de 5000 mètres et surtout d'embarquer un appareil qui permet de prendre des photos hautes résolution afin de reconstruire en 3D des objets (travail de la société Pix4D) et d'y apposer les textures extraites des photographies. Ainsi, il est possible de modéliser de manière plus que fidèle et en très haute résolution notre belle planète avec un niveau de détail allant jusqu'à 10 cm.
Nous allons décrire ici comment générer une carte de France à partir de Kartograph.py et l'afficher avec des données à l'aide de Kartograph.js. Kartograph.py et Kartograph.js sont deux librairies libres (open source et sous licence LGPL) développées par Gregor Aisch et disponibles ici : http://www.kartograph.org. La première, Kartograph.py écrite en python, permet de générer des fonds de carte sous forme vectorielle (fichier *.svg) avec des tracés géoréférencés. La seconde, Kartograph.js écrite en javascript, qui s'appuie sur la librairie de manipulation d'objets vectoriels RaphaelJS, parcourt le fichier vectoriel généré par Kartograph.py et affiche la carte au sein d'une page web. Il est également possible d'ajouter des données géographiques sur la carte à l'aide de l'API Kartograph.js.
La ville de Brest favorise le donner à voir qui met en valeur les initiatives, les relie à d’autres et participe à une transformation sociale libre, durable et solidaire. Dans cet esprit elle favorise la publication des innovations sociales du territoire sur la plate forme "Imagination for People" d’où cet article est repris. A propos du projet Les cartes libres et réutilisables d’Openstreetmap, sont un formidable outil d’information, de mise en valeur, d’implication des acteur-ice-s d’un territoire. La libération des données du système d’information géographique de Brest Métropole Océane et du Pays de Brest fournit une base aux projets de co-production et d’appropriation des cartes reliant services publics locaux, acteurs d’Openstreetmap et habitant-e-s. Une application particulière Chimère favorise la réalisation de cartes participatives. Ce projet, accompagné par le service "Internet et expression multimédia" de la ville de Brest, a été initié autour d’« Internet et multimédia en Pays de Brest, usages innovants et lien social sur les territoires » projet soutenu jusqu’en 2011 par la région Bretagne.
|
Nous venons d’ouvrir Alpesvertes.org , un service d’Annuaire Participatif des Initiatives Écologiques et Solidaires dans les Alpes Maritimes, que nous préparons depuis mai 2015. Ce service utilise uniquement du logiciel libre, et notamment la cartographie OpenStreetMap, et le moteur de gestion de contenu Chimère.logo_alpesvertesLe service est pour l’instant financé par nous-mêmes et l’association POM’Ecolo, en attendant de devenir financé par un bouton de don sur le site. L’inauguration du service a eu lieu durant Alternatiba 06 à Mouans Sartoux, le 17 octobre 2015
Implanté sur le territoire de Brest Métropole, le projet Cartomobilité propose d’identifier et de relever collectivement sur le terrain tous les éléments qui existent en matière d’accessibilité sur notre territoire (éléments de voirie, bâtiments, transports..)
Pour y parvenir, ce projet des temps de collecte ouverts à tous, qui sont autant de rencontres et d’échanges sur cette thématique. Au fur et à mesure, les données produites sont intégrées sur la carte en ligne OpenStreetMap, donc l’accès est libre et gratuit.
FasoMap est le nom que porte un projet révolutionnaire de cartographie numérique, porté par des jeunes Burkinabé. Avec des logiciels libres, des systèmes d'informations géographiques et la passion de faire bouger les lignes au Faso, ces jeunes réécrivent l'histoire de leurs territoires par la production de données géographiques libres et accessible à tous.
Via Bernard BRUNET
Chimère est un logiciel libre sous licence GPLv3.
Chimère est une application en ligne collaborative qui agrège des données géographiques (autrement appelée « mashup »). Le fond cartographique par défaut est un rendu OpenStreetMap.
Chimère est destinée à permettre la réalisation de cartes en ligne participatives et thématiques. Les données géographiques de base (points d'intérêts, trajets) sont à même d'être enrichies par des descriptions (textes, audio, image, vidéo). Les contributions sont libres sans authentification mais modérées par une équipe en charge de la carte.
Initialement développée pour les besoins d’une carte éco-responsable interactive de la métropole rennaise (la Carte OuVerte du Pays de Rennes), une Chimère est tout à fait adaptée à des projets voulant enrichir une carte OpenStreetMap d’éléments subjectifs (par exemple les pistes de vélos vraiment sûres) ou « périssables » (par exemple le parcours d’une randonnée ponctuelle).
Au départ « simple » mashup cartographique, Chimère a maintenant également vocation à faciliter les contributions à OpenStreetMap de personnes concernées par une thématique précise, grâce à son système d'import et d'export de données OSM. C'est pour cela qu'un effort a été fait pour que l'usage soit simple et intuitif et permette au plus grand nombre de partager ses connaissances géographiques du terrain, sans besoin d'être un expert des usages informatiques.
Via cB
Avec la Maison du Libre de Brest, Benjamin Bernard voulait réaliser des panoramiques bretons. Comme le fait Google Street View. Ils l’ont fait. Et le prototype tient… dans un sac à dos.
Comment utiliser des cartes dans son site ou son application sans recourir aux solutions payantes de Google ? Voici 6 outils Open Source qui permettent de se passer de Google Maps et ses API.
Via tiriad, Eddie Javelle
In keeping with tradition, the Quiet Revolution will not be televised, but it is happening, nevertheless, in community gardens, coworking spaces, lending libraries, credit unions, and worker co-ops around the world. The Quiet Revolution is the collective action each of us is taking on a daily basis as we shift the focus of our lives from consumption to connection, and from commercialism to community, from dependence on big corporations to freedom through peer cooperation.
Via Anne-Sophie
Ces derniers mois, le projet Openstreetmap (OSM) a essaimé en Afrique, au Togo et au Burkina Faso notamment, en créant des antennes locales dont le fonctionnement est basé sur la principe du bénévolat. Les nouveaux mappeurs, cartographes amateurs pour la plupart du temps, sont formés à la prise en main de l'outil par les plus expérimentés. En appui à cette initiative de formation, Humanitarian OpenStreetMap Team (HOT) a mis en ligne un site dédié à l'apprentissage pas à pas de la cartographie en ligne. La communauté de cartographes volontaires compte en effet des millions de membres de par le monde, comme on le constate en se rendant sur le site live openstreetmap, qui montre les changements opérés sur les cartes en temps réel.
Via Thot - Cursus, Bernard BRUNET
Chronologie de la saisie des 36000 contours des communes françaises dans OpenStreetMap (OSM), essentiellement à l'aide du Cadastre. Un chantier de plus de 5 ans…
Via tiriad, Bernard BRUNET
Marble est un logiciel vraiment très sympa, conçu dans le but de fournir aux utilisateurs un globe virtuel un peu semblable à celui que propose Google Earth. Il est développé par la communauté KDE dans le cadre du projet Kdeedu (un ensemble de logiciels éducatif) et s’appuie sur Qt4. Un des gros avantages de Marble, c’est qu’il a été conçu de façon à pouvoir fonctionner sans accélération matérielle et qu’il est relativement peu gourmand en ressources. Marble peut également utiliser les fichiers KML utilisés par Google Earth et Google Maps, il prend en charge différents types de cartes comme celles d’OpenStreetMap et enfin, il dispose de certaines fonctions de routage GPS.
Lors des Rencontres Régionales de l’Internet Accompagné organisées par la CORAIA à Bourg en Bresse, plusieurs médiateurs numériques/animateurs multimédias de la région m’ont demandé quels outils et applications j’utilisais en cartopartie pour contribuer à la base de données géographiques d’OpenStreetMap (OSM). Voici donc différents moyens que j’utilise pour récolter des données sur le terrain. Mes trucs et astuces à moi, issus de ma pratique personnelle, l’idée étant de travailler avec ce que j’ai à disposition, avec ou sans fonction GPS, et sans connexion internet.
|