Libre de faire, Faire Libre
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Veille sur la culture et les logiciels libres, les laboratoires de fabrication numériques, et le "DIY".
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Penser l'économie de la contribution : l'exemple des logiciels libres est-il généralisable ?

Penser l'économie de la contribution : l'exemple des logiciels libres est-il généralisable ? | Libre de faire, Faire Libre | Scoop.it

et article est une transcription de la vidéo ci-dessus. Les propos de Bernard Stiegler ont été transcrits de 0’44 » à 46’26″ » avec son aimable autorisation. Cette conférence a eu lieu le 8 avril 2014 à Paris La commande qu’on m’a passé c’est de parler de l’économie de contribution en partant de la question du logiciel libre,...


Via Bernard BRUNET
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Bernard Stiegler : « Nous entrons dans l’ère du travail contributif »

Bernard Stiegler : « Nous entrons dans l’ère du travail contributif » | Libre de faire, Faire Libre | Scoop.it
Fab’ lab’, imprimantes 3D... « Le consumérisme a vécu », assène le philosophe pour qui, motivés par nos seuls centres d’intérêt, nous allons changer de mode de travail.

Les bureaux de Bernard Stiegler font face au Centre Pompidou, sous les toits de Paris. C’est pour son célèbre voisin que le philosophe a fondé l’Institut de recherche et d’innovation (IRI), afin d’« anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques ».

Mais dans l’esprit de l’enseignant-auteur-chef d’entreprise, tout est lié : culture, consommation, technique, travail, politique. Pour lui, le modèle consumériste se meurt, comme celui du progrès permanent. Tout s’automatise. L’intérêt économique ne peut plus être le seul poursuivi. Il faut réhabiliter le savoir, la connaissance, la créativité. Comment ? En développant une « économie de la contribution », qui révolutionne la manière de travailler. Entretien.

 

 

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La politique Geek : sortir du Capitalisme

Comment sortir d'un capitalisme malade ? imaginer une économie de la contribution inspirée des comportements propres à l'univers numérique.

Le plus geek des philosophe explique le modèle contributif pour des jours meilleurs. Bernard Steigler (et oui encore lui) nous apprend que le logiciel libre (open-source) sera notre avenir. Pourquoi ? Car ce philosophe 2.0 nous fait la description complète de notre société. Avec, une description de notre capitalisme addictif, par un système de sanction, un système pulsionnel, avec note éternel morale en berne ou la spéculation remplace l’investissement. Sommes-nous tous résigné à devenir crétins ?

Heureusement, Bernard est là et nous explique que l’individuation devient générateur des économies contributives, un effet de masse qu’il marche déjà et qui nous en apprend tous les jours sur notre curiosité responsable. Oublions donc le consumérisme pour les bienfait du contributif.

En référence à l’article de geek politics du premier site d’information belge francophone :
Le temps est venu de passer d’un consumérisme toxique à une économie de la contribution.

 

 

Aurélien BADET's insight:

http://vimeo.com/32540487

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Vidéo : "Introduction à l'économie contributive" de Simon Lincelles (Ars Industrialis)

Le Framablog a pris l’habitude de suivre les travaux de Bernard Stiegler au sein d’Ars Industrialis. Il faut dire que ça n’est pas tous les jours qu’un philosophe affirme que « le logiciel libre peut redonner sens à nos vies » !

Nous vous proposons ci-dessous le réplication d’une vidéo de Simon Lincelles intitulée « Introduction à l’économie contributive » et co-écrit par Bernard Stiegler.

Malgré quelques inexactitudes, nous partageons l’hypothèse que le logiciel libre (et Wikipédia) représentent un espoir et un modèle pour l’avenir de notre économie.

 

 

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