Your new post is loading...
Your new post is loading...
Les documents semblent confirmer la préférence des responsables du Comité national démocrate pour Hillary Clinton par rapport à Bernie Sanders.
L’avenir de l’Australien Julian Assange est toujours aussi incertain alors qu’un groupe de travail des Nations unies a estimé que son séjour depuis cinq ans dans l’ambassade d’Equateur à Londres était une « détention arbitraire ». L’organisation WikiLeaks, qu’il a créée, continue de publier des documents confidentiels, presque neuf ans après les câbles diplomatiques et les révélations qui l’ont fait émerger et ont ébranlé l’administration américaine.
Ces derniers mois, l’organisation est même revenue sur le devant de la scène en publiant des documents importants et en infléchissant sa manière de récupérer des documents confidentiels.
On avait un petit peu oublié WikiLeaks. Après ses coups d’éclat de 2010, lorsqu’il avait dévoilé les dessous de l’armée et de la diplomatie américaines, le site fondé et dirigé par Julian Assange avait continué de publier des documents, mais ne terrorisait plus les chancelleries du monde entier.
Jusqu’à il y a quelques jours, les dernières publications du site étaient en effet loin d’être à la hauteur de ses exploits passés : il s’agissait notamment de l’intégralité des courriels piratés, fin 2014, sur les serveurs de Sony Pictures. Des documents déjà semi-publics – mais difficiles à trouver, et encore plus à explorer – que WikiLeaks a réorganisés et mis en ordre pour faciliter leur recherche. Le site a également publié, à plusieurs reprises, des brouillons de divers accords internationaux : souvent provisoires et parcellaires, ces documents n’ont guère attiré l’attention des médias.
L’annonce a de quoi surprendre. Mardi 2 juin, WikiLeaks a promis une récompense de 100 000 dollars à qui lui fournira une copie de l’accord de partenariat transpacifique (TPP), qui veut libéraliser les échanges entre une douzaine d’Etats de la zone pacifique. C’est la première fois que cette organisation, notamment à l’origine de révélations sur les guerres en Irak et en Afghanistan, propose de l’argent en échange de documents confidentiels.
Et ce ne sera sans doute pas la dernière. « Cette prime pour le TPP lance un nouveau système sur WikiLeaks, qui permet au public d’offrir des récompenses pour les documents les plus recherchés », peut-on lire sur son site.
Cinq ans après la publication de documents militaires américains qui fit la notoriété du site, WikiLeaks se lance dans cette nouvelle stratégie alors que son chef, Julian Assange, vit toujours reclus dans l’ambassade d’Equateur à Londres, visé par une demande d’extradition de la justice suédoise pour une affaire d’abus sexuel. Celle-ci ne serait qu’une première étape, selon lui, avant une extradition vers les Etats-Unis.
Jeudi 16 avril, le site d'information libre WikiLeaks a mis en ligne de centaines de milliers de documents internes de l'entreprise Sony Pictures Entertainment, qui avaient été dérobés par des pirates informatiques en novembre. Près de six mois après cette affaire dite des « SonyLeaks », cette seconde diffusion à grande échelle pose de nouvelles questions.
Depuis deux ans, Julian Assange vit confiné dans l'ambassade londonienne d'Équateur. Un enfermement auquel il a choisi de mettre un terme, en annonçant, lundi 18 août 2014, qu'il allait quitter « sous peu » sa pièce de 18 mètres carrés pour raison de santé. Il ne se livre pas, pour autant, à la justice suédoise et américaine.
Le 19 juin 2012, Julian Assange trouvait refuge dans l'ambassade d'Équateur à Londres. Deux ans plus tard, l'Australien est toujours coincé dans l'enceinte de la représentation diplomatique.
Il y a près d’un an, Edward Snowden provoquait un séisme politique planétaire : des millions d’écoutes téléphoniques à l’origine desquelles on trouve la NSA, l’agence de sécurité nationale. Ce « Snowdengate » s’ajoute aux fameuses affaires Wikileaks, du nom de ce site créé par Julian Assange. De nombreuses informations sensibles avait été révélées tout au long de l’année 2010 : la vidéo de l'armée américaine montrant deux photographes de Reuters, tués lors du raid aérien à Bagdad, les informations sur les détenus du camp de Guantánamo révélant le contenu d'interrogatoires, des photos, des rapports médicaux, l’âge du plus jeune détenu (14 ans), etc.
Perçu comme un acteur étranger malveillant, Wikileaks est dans le collimateur des États-Unis depuis 2010. Mais les documents d'Edward Snowden ont révélé que les agences de renseignement se sont aussi intéressées aux lecteurs et, sans doute, aux lanceurs d'alertes contactant le site.
Le fondateur de Wikileaks, Julien Assange, a lancé un appel aux experts informatiques lors d’un grand rassemblement du « Chaos Communication Congress » tenu à Hambourg pour joindre leurs forces afin de résister aux intrusions des gouvernements dans les libertés et la vie privée sur Internet.
Edward Snowden’s defense fund has raised over $12,000 in Bitcoins in two weeks Snowden, a former National Security Agency contractor, left behind a six figure salary and a “very comfortable life” in Hawaii to become the world’s most famous whistleblower. Now that he’s found asylum in Russia and faces espionage charges at home, a legal defense fund launched by WikiLeaks has raised over $16,000 to pay Snowden’s legal fees. 75 percent ($12,740 by current exchange rates) of that money came in the form of Bitcoins raised in just the past two weeks. A Bitcoin is currently selling for about $130 on Mt. Gox, the currency’s largest exchange.
Lettre ouverte des membres du Parlement européen au président Barack Obama et au secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel
En tant que membres du Parlement européen élus pour représenter nos électeurs dans toute l’Europe, nous vous écrivons pour exprimer nos inquiétudes au sujet de la persécution de Bradley Manning, le jeune soldat américain qui a publié des informations secrètes révélant des preuves de violations des droits de l’homme et de crimes de guerre apparents en Irak et en Afghanistan. L’armée américaine a accusé Manning de 21 crimes différents, y compris « aide à l’ennemi », une exigence de fonds propres. Condamner une personne ayant divulgué des information aux médias d’ »aide à l’ennemi » créerait un terrible précédent...
La justice islandaise a définitivement tranché : la rupture du contrat décidée par une filiale de Visa avec DataCell, une société chargée de collecter les dons au profit de Wikileaks, était illicite. Les juges laissent quinze jours à la filiale de Visa et DataCell pour rétablir la liaison. Sinon, la première devra payer une astreinte quotidienne de plus de 5400 euros.
|
Si les révélations sur le renseignement américain ont eu peu d’effets concrets, celles sur l’évasion fiscale ont permis la restitution de 50 milliards d’euros aux pays occidentaux. Qui n’ont pas pour autant épargné les lanceurs d’alertes.
Après avoir révélé que la NSA avait surveillé les communications d’Angela Merkel et de plusieurs ministres, WikiLeaks a dévoilé lundi 20 juillet de nouveaux documents prouvant que l’agence de renseignement américaine avait aussi écouté le ministre des affaires étrangères allemand. Conjointement avec Libération, Mediapart et le Süddeutsche Zeitung, le site fondé par Julian Assange affirme que les lignes fixes et téléphones portables des principaux responsables du ministère ont été écoutés, pendant une quinzaine d’années au moins.
WikiLeaks, qui a déjà divulgué trois chapitres du partenariat transpacifique (TPP), offre une récompense de 100 000 dollars à quiconque lui communiquera une copie des vingt-six chapitres restants.
Le scandale du piratage de Sony Pictures n’est pas terminé. WikiLeaks a mis en ligne jeudi 16 avril une base de données contenant plus de 30 000 documents et plus de 170 000 courriels de la société volés par des hackers à la fin de 2014 lors d’une cyberattaque de grande envergure. Il est désormais possible d’effectuer très facilement des recherches dans ces dizaines de milliers de documents, par noms ou par mots-clés.
Sony Pictures a immédiatement condamné cette publication, affirmant que WikiLeaks aidait les hackers à disséminer des contenus dérobés et privés. Plus de 47 000 employés et tiers de Sony Pictures Entertainment (SPE) – filiale de Sony – sont concernés par ce vol de données personnelles, documents financiers, scripts, courriels, etc. C’« était un acte criminel malveillant, et nous condamnons fermement l’indexation par WikiLeaks d’informations volées sur des employés et d’autres informations privées ».
WikiLeaks a diffusé ce matin 30 000 documents et 170 000 emails dérobés à Sony Pictures Entertainment par des pirates informatiques. Dans le lot, une cinquantaine de documents concerne la demande VideoLan adressée en 2012 à la Hadopi pour permettre l’interopérabilité du Blu-ray.
Saisie par l’association VidéoLan, la Hadopi avait été invitée à dire comment le fameux lecteur VLC peut lire le Blu-ray. Ce format est en effet encerclé de DRM, ces verrous numériques anticopie parfois aussi antilecture. Un an plus tard, l’avis rendu par la Rue de Texel expliquait que, ni l’exception de l’ingénierie inverse, ni l’exception de décompilation ne lui autorise à contraindre le consortium Blu-ray à fournir les clés de chiffrement et autres secrets technologiques.
C'est une affaire de corruption présumée qui implique une filiale de la banque centrale australienne et des chefs d'Etat et de gouvernement de plusieurs pays d'Asie du Sud-Est, dont la Malaisie et le Vietnam. Les médias australiens ne peuvent pas en parler : la justice de leur pays le leur interdit. Si cette information voit finalement le jour, c'est grâce à la publication, mardi 29 juillet, par Wikileaks, de l'« ordonnance de suppression » qui a contraint les médias au silence. Cette dernière, rendue le 19 juin par la chambre criminelle de la cour suprême de l'Etat de Victoria, liste 17 personnalités, dont « les anciens et l'actuel premier ministre, vice-premier ministre et ministre des finances de Malaisie ».
Reclus depuis deux ans à l'ambassade d'Equateur à Londres, le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, s'est employé mercredi à faire bonne figure, affirmant coopérer avec Edward Snowden et s'activer pour laver son nom.
Des étudiants en classe de data journalisme à l'Université Normale du Nord-Est [à Changchun en Chine] ont recherché dans les télégrammes diplomatiques révélés par Wikileaks des références aux manifestations de 1989 sur la place Tian'anmen. ils les ont ensuite organisées sous forme d'une chronologie des manifestations à partir du 19 avril 1989 jusqu'au 26 mars 1990. ...
Via Alcofribas
Les deux agences de renseignement ont épluché au peigne fin les membres et les sympathisants de Wikileaks. Julian Assange figure, par ailleurs, sur une liste de la NSA intitulée « hommes à abattre ».
Qu’il est loin le temps où Google se résumait à deux étudiants dans leur garage… Julian Assange nous expose ici les accointances fortes entre Google et le gouvernement des États-Unis, ce qui devrait faire réflechir quiconque utilise leurs services.
La justice militaire américaine a reconnu coupable mardi Bradley Manning, la taupe de WikiLeaks, de violation de la loi sur l’espionnage, pour laquelle il risque une longue peine de prison.
Prism en action avec la prise en main de deux comptes gMail d'anciens contributeurs de Wikileaks. Le géant de la recherche sur Internet Google vient d'avouer qu'il avait transmis au gouvernement américain les informations personnelles de deux anciens contributeurs islandais de WikiLeaks : Smari McCarthy et Herbert Snorrason. Les deux intéressés ont expliqué ne pas craindre cette intrusion dans le webmail de gMail " Heureusement, aucun de nous n’a utilisé Gmail pour des communications même un peu sensibles". Depuis mai, la firme de Mountain View communique à ses utilisateurs s’ils sont la cible d’une demande de surveillance du gouvernement américain. Bref, il suffit à la justice américaine de brandir un ordre pour que les entreprises US obéissent. Utiliser une service basé sur le territoire américain ne protègent aucunement les informations qui y sont entreposées : cloud, webmail, sites, forums, serveur TOR ...
|