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Le gouvernement lance un site internet très complet et bien pensé, qui fait office de guichet d'unique d'informations et de démarches administratives pour les victimes de terrorisme.
Alors que la France se prépare à faire évoluer sa constitution pour l’adapter au contexte douloureux des évènements du 13 novembre, certains officiels américains n’ont pas tardé à réagir sur la tragédie en désignant une cible toute trouvée : Edward Snowden. Le lanceur d’alerte est accusé d’avoir permis aux terroristes de passer sous les radars du renseignement.
Certains agissent pour des motifs politiques, d’autres pour la gloire ou pour l’argent. Les hackers ont toujours été présents sur internet, mais son développement leur confère une visibilité inédite. Tour d’horizon des forces et menaces.
Depuis des mois, les combattants de l'Etat islamique ont fait des réseaux sociaux, et plus particulièrement de Twitter, l'un de leurs principaux canaux de propagande. Mais après la diffusion en grand nombre de la vidéo de l'assassinat du journaliste américain James Foley, le réseau social a entrepris depuis quelques jours de fairele ménage parmi ces profils.
Le journal britannique The Guardian, à l'origine d'une part importante des révélations basées sur les documents transmis par Edward Snowden, ne s'attendait sans doute pas à ce que la principale réplique à ses investigations vienne de ses propres confrères. Le 9 octobre pourtant, les "unes" de trois quotidiens britanniques à grand tirage, plutôt positionnés à droite, étaient consacrées aux déclarations du chef du MI5, critiquant violemment la démarche du Guardian.
C'était probablement déjà le cas en pratique. Ce sera désormais légal. Publié ce jeudi, un arrêté signé par le ministre de l'intérieur Manuel Valls et la ministre de la Justice Christiane Taubira fixe les conditions dans lesquelles les policiers peuvent s'infiltrer sur Internet pour constater les provocations et apologies au terrorisme, en usant de pseudonymes pour recueillir les preuves.
Le nouveau numéro du magazine en langue anglaise d’Al-Qaïda a été publié sur le site internet du groupe terroriste au début de cette semaine. Les attentats terroristes Boston y sont rapprochés. Le site a été rapidement piraté par des agences de renseignement occidentales et son contenu a été brouillé.
We had scores of still images, pored over by both official investigators and self-appointed ones on Reddit. We had hours of video footage. The suspects' images were on file. The FBI had even previously targeted Tamerlan Tsarnaev as a person of interest. Why, then, didn't facial recognition technology help to winnow down the thousands of images and help to identify Tamerlan and his brother, Dzhokhar Tsarnaev, the two suspects behind the Boston Marathon bombings?
L'Assemblée nationale a examiné mardi plusieurs amendements destinés au projet de loi sur la sécurité et la lutte contre le terrorisme. À cette occasion, les parlementaires en ont rejeté plusieurs visant à créer un délit de visite habituelle de sites faisant l'apologie du terrorisme et cherchant à étendre à ces derniers le mécanisme du filtrage prévu par la LOPPSI 2.
Au cours d'un échange au sein de la commission des lois, le ministre de l'intérieur et la rapporteuse du rapport relatif à la sécurité et à la lutte contre le terrorisme ont estimé que le blocage des sites web à visée terroriste sur décision administrative pouvait être contre-productif. Ni les services de renseignement ni les magistrats ne le souhaitent, car cela limiterait la surveillance des potentiels candidats au terrorisme.
Il est certain que très bientôt, toute personne qui utilisera un ordinateur dans un café internet, une librairie ou dans un aéroport ne le fera plus de façon anonyme. Comment? Nous le verrons très bientôt. Déjà, dans certaines bibliothèques du Québec, il est impossible d'aller sur le web sans préalablement avoir présenté une carte d'identité avec photo, données personnelles qui sont entrées dans le système de l'établissement qui lui, est relié à un système central du réseau des bibliothèques du Québec. Il n'est pas parano de penser et de croire que les ordinateurs publics seront munis de caméras discrètes qui capteront des images du visage des usagers, lesquelles seront traitées par un système de reconnaissance faciale.
Jean-Jacques Hyest propose un amendement créant une peine de "deux ans d'emprisonnement et de 30.000 euros d'amende" pour consulter de manière habituelle un site à tendance terroriste.
"Le dispositif pénal voulu par l'ancien président Nicolas Sarkozy pour condamner la visite régulière de sites internet de propagande terroriste va être défendu par le nouveau ministre de l'intérieur, Manuel Valls."
Mise à jour - En fin de compte, la pénalisation de la consultation régulière de sites web terroristes ne figurera vraisemblablement pas dans le projet de loi antiterroriste porté par Manuel Valls. Selon le cabinet du ministère de l'intérieur, contacté par Le Monde, cette section a été retirée.
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La liste de la FIJ pour 2015 énumère les noms des 109 journalistes et collaborateurs des médias tués dans 30 pays, ainsi que des 3 collègues décédés accidentellement.
Le premier cas de blocage administratif d'un site Internet accusé de faire l'apologie du terrorisme et de proposer du contenu pédopornographique a eu lieu ce week-end, comme l'a signalé sur Twitter David Thomson, journaliste à RFI et auteur du livre Les Français jihadistes.
Concrètement, l'internaute cherchant à se connecter à ce site dimanche soir tombait sur le message suivant, assorti d'un pictogramme représentant une main rouge :
« Vous avez été redirigé vers ce site officiel car votre ordinateur allait se connecter à une page dont le contenu provoque à des actes de terrorisme ou fait publiquement l'apologie d'actes de terrorisme. »
Deux autres messages d'avertissement existent, l'un annonçant une page « comportant des images de pornographie enfantine », l'autre un « contenu illicite », sans davantage de précision.
Selon nos informations, une demi-dizaines de sites font actuellement l'objet d'un blocage administratif.
Avez-vous vu la vidéo de l’exécution de James Foley? Si oui, sachez qu’en Angleterre, ce simple visionnage aurait pu vous valoir des déboires judiciaires, voire une arrestation en vertu des lois antiterroristes. La police britannique a en effet prévenu les internautes, comme le rapporte le Guardian: «Nous aimerions rappeler au public que regarder, télécharger ou diffuser des contenus extrémistes au Royaume-Uni peut constituer une infraction à la loi sur le terrorisme».
Il avait témoigné par écrit début mars devant la Commission des libertés publiques (LIBE) du Parlement européen, cette fois ci, le lanceur d’alerte américain a témoigné par liaison vidéo et s’est exprimé via Google Hangouts depuis Moscou, M. Snowden a déclaré à la Commission des questions juridiques de l’APCE que cette surveillance massive créait « des sociétés qui sont non seulement moins libérales, mais aussi moins sûres ». Il a une nouvelle fois souligné que sa motivation, en révélant les secrets de la NSA, était « d’améliorer le gouvernement, pas de le renverser ».
Les révélations sur Prism (programme de surveillance et d’espionnage généralisé des États-Unis) ont dérangé Washington : leur nation qui prône la démocratie et la liberté dans le monde s’essuie ouvertement les pieds sur le droit international et sur les libertés publiques. Pour redonner son panache à la bannière étoilée, il fallait trouver une solution, et vite. C’est décidé, la Maison-Blanche laisse fuiter des informations au New York Times, qui les relaie. Promis, juré, craché, le chef d’al-Qaida a ordonné à un lieutenant de perpétrer un attentat géant début août. « La peur est ce qui affaiblit le plus le jugement » L’opération est une réussite…glissant en off, que ces informations vitales ont été recueillies grâce à Prism. Mais c’est bien sûr ! Quelle meilleure justification à l’existence de ce programme que sa capacité à déjouer une série d’attentats ?
Le terrorisme d’inspiration individuelle et l’auto-radicalisation sur Internet sont désormais au coeur des préoccupations des forces de l’ordre.
Réunis à l’occasion des 5eme rencontres parlementaires de la sécurité nationale, un panel de juristes, de magistrats et de policiers a tenté de débattre de l’efficacité de notre arsenal judiciaire face à l’auto-radicalisation sur Internet. En ligne de mire : l’existence d’une nébuleuse de sites et de forums à caractère religieux ou communautaire utilisés à des fins de recrutement ou de propagande par des groupes radicaux islamistes.
Les gouvernements occidentaux n'arrivent déjà pas à analyser toutes les données qu'ils recueillent.
Dans une lettre ouverte adressée au ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, Nathalie Kosciusko-Morizet rappelle "la dimension particulière que le recours à des outils numériques donne désormais aux actions terroristes".
Après les sites web, au tour des vidéos faisant l'apologie du terrorisme d'être dans le collimateur du législateur. Plusieurs députés du groupe UMP ont déposé un amendement afin de créer une sanction contre les internautes consultant de manière habituelle et sans motif légitime des vidéos à visée terroriste.
Michael Clancy est "l'un des plus hauts responsables du FBI" selon l'AFP. Récemment auditionné par le Sénat américain, ce "Deputy Assistant Director of the Counterterrorism Division" vient de déclarer à l'AFP que maintenir "un peu de paranoïa ne fait pas de mal" pour mobiliser les Américains et "faire trébucher" les terroristes."Nous ne sommes pas la police de la pensée, nous n'avons pas de raison de surveiller un concert de militants de la suprématie blanche, c'est une assemblée légale", a-t-il expliqué : "nous n'enquêtons pas sur les idéologies mais seulement sur les gens qui passent à l'étape supérieure" : "Dans un grand pays comme le nôtre, qui compte plus de 300 millions d'habitants, et où coexistent des idéologies et des croyances différentes, il est presque impossible de deviner à quel moment quelqu'un va tout à coup commettre un acte épouvantable".
L’Office des Nations unies contre la drogue et la criminalité (ONUDC) a publié lundi à Vienne un rapport pour aider et conseiller les pays à combattre les « terroristes » qui utilisent internet pour planifier leurs attaques, recruter et diffuser leur propagande.
« Alors que l’utilisation d’internet a augmenté parmi les citoyens au cours des dernières années, les organisations terroristes ont également fait un usage extensif de cet indispensable réseau mondial », a expliqué le directeur de l’ONUDC, le Russe Youri Fedotov.
Proposé à la suite des tueries causées par Mohammed Merah à Toulouse et Montauban, puis écarté par le ministère de l'intérieur, le délit de visite habituelle de sites web terroristes fait son retour via un amendement déposé par le sénateur UMP Jean-Jacques Hyest. Il propose en outre d'exploiter les outils législatifs contenus dans l'article 4 de la loi Loppsi, à savoir le blocage de sites web sans passer par l'ordre judiciaire.
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