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Si l’arrivée de la voiture autonome sur nos routes semble beaucoup plus rapide que ce à quoi s’attendaient les experts, les infrastructures vont devoir évoluer afin de faire baisser significativement le nombre d’accidents. La route doit elle aussi devenir communicante.
Il sera peut-être une nouvelle fois traité de Cassandre et de parano, mais Bruce Schneier enfonce le clou !
Sensible aux signaux qu’envoient de façon croissante les faits divers mettant en cause les objets connectés — le fameux Internet des objets pour lequel « se mobilise » (sic) la grande distribution avec la French Tech — ce spécialiste de la sécurité informatique qui a rejoint récemment le comité directeur du projet Tor veut montrer que les risques désormais ne concernent plus seulement la vie numérique mais bien, directement ou non, la vie réelle. Il insiste aussi une fois encore sur les limites de la technologie et la nécessité d’un volontarisme politique.
L'homologue de la CNIL aux Pays-Bas a mis en demeure deux entreprises qui « offraient » des bracelets connectés à leurs employés, mais se gardaient un droit d'accès aux données d'activité collectées. Même avec le consentement du salarié, le suivi de l'activité est une ligne rouge à ne pas franchir.
Il y a quelques semaines, des chercheurs en sécurité ont remarqué que pas mal de constructeurs de routeurs et d'objets connectés, utilisaient, probablement par paresse, les mêmes clés privées sur tout leur matériel.
Grâce à l'analyse du firmware de plus de 4 000 objets connectés (routeurs, caméras IP, téléphones VoIP...etc.) de 70 constructeurs différents (Cisco, General Electric, Huawei, Motorola, Seagate, Netgear, Zyxe, LinkSyst, D-Link, Trendnet...etc), ils ont extrait 580 clés privées et ont pu déterminer que ce trousseau correspondait à 6% de tous les appareils accessibles en SSH sur le web et 9% de tous les appareils accessibles en HTTPS sur le web.
230 clés sur 580 sont donc activement utilisées partout sur le web par tout un tas de matériel. 150 certificats sont utilisés par 3,2 millions de machines et 80 clés privées SSH sont utilisées par 0,9 million de machines.
L'IEEE veut standardiser les communications entre les appareils utilisés dans le secteur de la santé électronique. Il est désormais temps de mettre de l’ordre dans le domaine de l’e-santé. Dans un message publié mercredi, l’institut des ingénieurs électriciens et électroniciens (IEEE), conscient que le secteur de la santé électronique va prendre de plus en plus d’importance au cours des prochaines années, a fait savoir son intention de travailler sur la standardisation des communications entre appareils.
Pour les gens désirant arrêter de fumer, de nombreuses méthodes existent déjà. Aujourd’hui, les objets connectés se rajoutent à cette lutte contre la cigarette avec le projet Lowiee.
Un paquet de cigarettes pour arrêter de fumer. À la lecture de ce titre, les fumeurs ont dû se dire qu’il se passait quelque chose de pas normal. Alors que des objets connectés tels que le fume-cigarette Tosee ont été inventés pour arrêter de fumer, l’entreprise Lowiee a décidé d’apporter sa pierre à l’édifice antitabac. Semblable à un paquet de cigarettes normal, le paquet Lowie est connecté à votre smartphone et vous permet de vous fixer des objectifs en terme de consommation. Après avoir défini le nombre de cigarettes que vous comptez fumer en une journée, le paquet se verrouille et vous n’en aurez pas une de plus !
Pornhub vient d’annoncer le tout premier fessier connecté de l’histoire de l’humanité. Le Twerking Butt c’est son nom imitera à perfection l’arrière-train d’une demoiselle avec en bonus une fonction de twerk.
Pour le New York Times, Natasha Singer est allée rencontrer l'anthropologue Natasha Dow Schüll. Depuis son travail sur la dépendance que nous évoquions il y a peu, l'anthropologue qui étudie les relations entre les gens et la technologie, s'intéresse au contrôle de soi via la technologie. Elle s'est intéressée au Quantified Self et surtout aux technologies qui non seulement produisent de nouvelles informations sur soi-même, mais surtout promettent à leurs utilisateurs de les aider à modifier leur comportement.
Ces technologies comportementales se multiplient, allant du rappel d'hydratation (comme Waterlogged, une application qui exhorte les gens à boire de l'eau) à Hapifork, la fourchette qui vibre quand les gens mangent trop rapidement, en passant par Thinc, un casque qui délivre des pulsations électriques pour aider ses adeptes à pratiquer une nouvelle forme de méditation (même si ce type de casque n'a fait aucune démonstration de leur efficacité).
La CNIL prévoit de mener 550 contrôles d'ici la fin de l'année, dont une bonne partie en ligne. Côté high-tech, l'autorité mettra l'accent sur le paiement sans contact et les objets connectés "bien-être et santé".
Et maintenant, Google se met aux textiles connectés. L'entreprise américaine a présenté le projet Jacquard lors de sa conférence I/O. L'idée ?
Une enquête menée par le cabinet Vanson Bourne montre que les responsables informatiques français sont nombreux à s'impliquer dans des projets liés aux objets connectés. Cela ne les empêche pas de se montrer particulièrement vigilants sur les risques qui en découlent en matière de sécurité.
Une poupée Barbie destinée au marché américain provoque depuis quelques jours une polémique en Allemagne, où la presse l'a surnommée la « Barbie Stasi ». Comme le rapporte Slate.fr, cette poupée est équipée d'un système de reconnaissance vocale, et enregistre en permanence les sons de son environnement. Les sons sont ensuite traités à distance.
Par ailleurs, la poupée établit un profil des goûts de l'enfant, ce qui a poussé le magazine Stern à la baptiser « Barbie IM », du nom de l'abréviation désignant les informateurs de la Stasi, la police politique du régime est-allemand.
De plus en plus sur le devant de la scène, les voitures connectées sont source de beaucoup de fantasmes, et aussi d’inquiétude. Dans le cadre de l’émission » 60 minutes » de la chaîne américaine CBS, un informaticien est arrivé à pirater une voiture connectée neuve, parvenant même à contrôler accélérateur et freins. De quoi relancer le débat sur la sécurité des voitures connectées.
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Selon Anthony Rose, ingénieur en électricité, et son collègue Ben Ramsey, beaucoup de serrures et de cadenas connectés fonctionnant en bluetooth n’offrent pas de sécurité vis à vis d’une attaque informatique toute simple.
La donnée mange le monde. Partout, sur nos cartes de fidélités, dans nos titres et badges de transport, sur nos smartphones, notre Internet et nos historiques de navigation : achats et consommations, réseaux sociaux et conversations, l’homo numericus laisse ses traces un peu partout. Et demain augure un raz de marée. L’Internet des objets va multiplier par 10 ou 100 le nombre de datas et d’informations disponibles. De quoi plonger définitivement les individus et les organisations dans cette économie de la donnée dont de plus en plus d’entreprises innovantes tirent parti. Derrière les fameux Gafa, maîtres du genre, elles sont nombreuses, nouvelles comme anciennes, à prospecter ce nouvel or noir. La donnée est le nouveau pétrole de l’économie, mais en même temps son exploration fourmille d’enjeux. La data interpelle les individus sur leur place et leur rôle, leur pouvoir et leur liberté. Elle met au défi les acteurs économiques, en termes d’approche et de gestion opérationnelle. Pour les entreprises tricolores, le bilan d’étape s’avère mitigé.
Le Coltan est une matière première que l'on retrouve dans presque tous les appareils électroniques et aussi source de problèmes et d'inégalités au Congo.
Aujourd'hui les voitures connectées enregistrent toutes les actions des conducteurs : accélération, freinage mais aussi les endroits visités, les coups de fil passés et à qui... Les automobilistes imaginent qu'ils bénéficient d'une plus grande intimité que les usagers des transports publics, mais ce n'est pas vraiment le cas dans les voitures modernes, connectées, selon les associations européennes d'automobilistes qui ont lancé une alerte cette semaine.
Les objets connectés qui s’installent progressivement au sein de nos quotidiens ne sont pas sans failles. Voitures, armes, drones… Derniers dispositifs à être montrés du doigt : les moniteurs de bébés. Un cabinet d’analyse de données basé à Boston a recensé de nombreux appareils mal sécurisés, et démontré que les pirates surfent eux aussi de plus en plus sur la vague de l’Internet of Things.
De plus en plus, les entreprises informatiques décident de se mettre au wearable, afin de combler les attentes du marché. Dernièrement, c’est Intel qui a dévoilé son nouveau bracelet connecté.
De nos jours, arriver à déverrouiller son ordinateur est un véritable parcours du combattant. En quête d’une sécurité toujours plus élevée, les mots de passe tous plus compliqués que les autres se multiplient. Afin d’aider à débloquer votre ordinateur en un temps record et ainsi vous mettre au travail plus vite, l’entreprise américaine Intel a décidé d’agir. Non pas en proposant une téléréalité, mais bel et bien en dévoilant un bracelet connecté d’un nouveau genre. Profitant de l’IDF15, le géant de l’informatique a présenté un prototype de Curie, le security bracelet permettant de s’identifier sur un terminal sans avoir besoin de rentrer ses identifiants.
Astroskin est un système de suivi médical pour les astronautes, composé d’un vêtement intelligent (un t-shirt) et d’un bandeau contenant des capteurs. Les logiciels compris dans ce système permettent de surveiller les signes vitaux, la qualité du sommeil ainsi que le niveau d’activité. Par signes vitaux nous entendons le fait qu’Astroskin permet de contrôler la tension artérielle, le taux d’oxygène dans le sang, le rythme cardiaque, le rythme respiratoire et la température de la peau.
Les objets connectés et les enfants font-ils bon ménage ? C’est la question que nous avons décidé d’éclaircir cette semaine, après notre enquête sur la relation médecin/patient connectée !
Les dispositifs connectés renferment à la fois des données mais également, comme dit dans leur nom, une connexion. Connexion à Internet, application ou autres. Alors finalement c’est bien ou pas pour les enfants ?
En Australie, les objets connectés en santé et sport font débat. Les chercheurs souhaitent donc approfondir l’impact que ces dispositifs ont sur les enfants pour pouvoir s’en servir à bon escient.
Depuis sa mythique création en 1949, Emmaüs n’a cessé d’évoluer. En 2015, elle fait face aux mêmes enjeux de transformation numérique que n’importe quelle grande structure. Et doit s’adapter. Avec un parc de 18 000 conteneurs qui permettent de recueillir les dons qui la font vivre, elle se dote progressivement de capteurs connectés afin d’optimiser sa gestion… et ainsi mieux lutter contre la précarité.
Les enfants jouent sans cesse avec leur jouet favoris et aiment engager des conversations. Pourtant, la plupart du temps, cela reste de l’ordre du monologue improductif. C’est là que ce dinosaure intervient. Il entend écouter ce que dit votre enfant, lui répondre intelligemment, retenir les informations essentielles et évoluer avec lui pour favoriser son apprentissage des connaissances et des techniques de réflexion.
Le capteur Linkytag est un assistant d’alerte et de sauvetage en mer. Connecté, il permet d’automatiser, accélérer, suivre et faciliter les procédures. Ce capteur déclenche une procédure d’alerte sitôt qu’un membre de l’équipage tombe à l’eau. Le téléphone du chef de bord reçoit immédiatement l’information, vérifie l’exactitude des faits et lance alors la procédure. Pour faciliter les manoeuvres, le capteur envoie avec l’alerte les coordonnées GPS de l’incident, la distance entre l’homme à la mer et le capitaine, le cap suivi par le bateau et celui suivi par le naufragé et le temps écoulé entre la chute et le déclenchement de l’alerte officielle.
Tous les navigateurs faisant partie de la communauté Linkytag et se trouvant sur la zone de l’incident reçoivent également une notification avec la localisation du matelot à secourir et peuvent indiquer qu’ils changent de cap pour se charger de sauver le naufragé.
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