Les révélations sur Prism (programme de surveillance et d’espionnage généralisé des États-Unis) ont dérangé Washington : leur nation qui prône la démocratie et la liberté dans le monde s’essuie ouvertement les pieds sur le droit international et sur les libertés publiques.
Pour redonner son panache à la bannière étoilée, il fallait trouver une solution, et vite.
C’est décidé, la Maison-Blanche laisse fuiter des informations au New York Times, qui les relaie. Promis, juré, craché, le chef d’al-Qaida a ordonné à un lieutenant de perpétrer un attentat géant début août.
« La peur est ce qui affaiblit le plus le jugement »
L’opération est une réussite…glissant en off, que ces informations vitales ont été recueillies grâce à Prism.
Mais c’est bien sûr ! Quelle meilleure justification à l’existence de ce programme que sa capacité à déjouer une série d’attentats ?