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Mentionné brièvement en début d'année, le projet MegaNet a de nouveau été évoqué cette semaine par Kim Dotcom. Le fondateur de MegaUpload prévoit d'en dire plus le 20 janvier 2016. En attendant, il affirme que son réseau sera idéal pour la vie privée, le partage, la liberté d'expression et la sécurité.
En réponse aux craintes d’être espionné par le gouvernement, Kim Dotcom a annoncé qu’il délocalisera prochainement une partie de son entreprise vers l’Islande afin de mieux protéger les données de ses clients.
Kim Dotcom défendra son cas devant la cour suprême néo-zélandaise. Celle-ci a accepté d'entendre son recours dans le cadre de la procédure d'extradition vers les USA le visant. L'audience pour déterminer s'il faut transférer le fondateur de MegaUpload aux États-Unis doit avoir lieu en août.
Mise à jour : Comme prévu, la justice néozélandaise a une nouvelle fois repoussé lundi l'examen de la demande d'extradition de Kim Dotcom vers les Etats-Unis. L'audience qui devait se tenir en août a été décalée au 21 novembre, et le tribunal d'Auckland se prépare d'ores et déjà à devoir repousser encore la procédure de nombreux mois. La date du 14 avril 2014 a déjà été réservée par précaution.
La justice néo-zélandaise a autorisé Kim Dotcom à engager des poursuites contre les services secrets du pays, qui ont procédé à des écoutes illicites sur le fondateur de Mega ainsi que sur ses collaborateurs. Or, les conditions légales pour espionner l'équipe de MegaUpload n'étaient pas réunies.
http://mega-search.me/ est de retour! Mega-search est un site qui permet de partager en quelques secondes ses liens « MEGA« , sans aucune inscription. Tous les liens sont ainsi mis à dispositions des visiteurs du site qui peuvent y accéder, (eux aussi sans inscription) après une simple recherche. A la surprise générale, le site ne s’est pas attiré les foudres des ayants droits, mais de MEGA lui-même! MEGA a en effet mis en place un script, permettant de scanner et de supprimer automatiquement et sans vérification, tous les fichiers référencés sur MEGA-SEARCH! Plusieurs fichiers légaux ont ainsi été supprimés.
Kim Dotcom adresse un message à ceux qui seraient tentés d'éditer des sites de liens permettant de télécharger des fichiers hébergés sur Mega. Ils le peuvent, mais à condition de ne pas utiliser la marque Mega, de proposer eux-mêmes aux ayants droit le retrait des liens illégaux, et surtout de ne pas diffuser les clés de déchiffrement des fichiers avec les liens des fichiers.
A peine quelques jours après sa mise en ligne, Mega subit déjà les foudres des organisations de l’anti-piraterie. Les sources de revenus de Mega pourraient d’ores et déjà être menacées par Stop File Lockers, une entité liée à l’industrie du divertissement pour adulte, qui a décidé de s’attaquer aux sites partenaires qui revendent des abonnements Premiums Mega.
L’objectif de Stop File Lockers et de son représentant Robert King, Australien qui est lié à l’industrie des divertissements pour adultes, est bien de tarir la manne… C’est un secteur d’activité qui souffre beaucoup du piratage et Stop File Lockers fait la chasse aux sites qui hébergent des fichiers illégaux ou qui offrent des liens vers ces derniers. La technique ? Leur couper les finances !
Le 19 janvier, le fondateur de Megaupload, Kim Dotcom, a donc ressuscité son empire, célébrant dans son fastueux manoir des faubourgs d'Auckland le lancement de Mega.co.nz. Au programme, un groupe de musiciens locaux Tiki Taane, et un spectacle mettant en scène une opération de police : un hélicoptère siglé «FBI » a simulé une approche au-dessus du manoir de Dotcom alors que des hommes en noir surgissaient de chaque côté de la maison...
Le 19 janvier, le successeur de MegaUpload, Mega, doit être mis en service. D’après une capture d’écran publiée par Kim Dotcom, un compte gratuit bénéficiera de 50 Go gratuits. Rien en revanche sur les abonnements.
Dans un document présenté au tribunal, l’ équipe d’avocats de kim Dotcom fait valoir que la gouvernement a délibérément trompé la cour par la rétention d’informations, ce qui montre que les autorités veulent «cacher» des preuves essentielles. Lorsque le gouvernement américain a demandé des mandats de perquisition contre Megaupload l’an dernier, il a déclaré au tribunal que MEGAUPLOAD avait été averti en 2010 qu’il était l’hôte de fichiers contrefaits. Il s’agissait de 39 fichiers.
À moins de trois semaines du lancement de Mega, Kim Dotcom a dénoncé mercredi soir une fausse page Facebook promettant des comptes premium aux premiers fans. Aucune offre de ce type n'a été annoncée par l'ancien PDG de MegaUpload. L'arrivée prochaine de Mega devrait entraîner une recrudescence des tentatives d'arnaque et d'escroquerie.
Les Etats-Unis estiment que le fait pour Kim Dotcom de relancer un nouveau MegaUpload ou de sortir son site de musique en ligne MegaBox constituerait une violation de ses conditions de remises en liberté, signant son retour en prison.
Le redémarrage de MegaUpload ne s'apparente pas à la énième bravade d'un trublion du web. Au-delà des facéties de son promoteur, le projet, soutenu techniquement par un expert en sécurité informatique autrefois au service de la DST, vise à créer un système inattaquable de nature à déstabiliser iTunes.
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Kim Dotcom a mis en ligne une première version de sa plateforme de musique en ligne, désormais baptisée Baboom. Celle-ci est encore loin d'être achevée, mais les éléments d'ores et déjà mis en ligne permettent d'avoir un bon aperçu du service rêvé par l'ex-patron de MegaUpload.
Kim Dotcom compte lancer sa messagerie sécurisée l'année prochaine. Dans un contexte très pesant pour le chiffrement des communications électroniques, le patron de Mega a par ailleurs fait savoir qu'il projette de déplacer certaines de ses activités en Islande, un pays considéré comme plus respectueux vis-à-vis du secret des correspondances.
Kim Dotcom a marqué un point important devant les tribunaux néo-zélandais. La justice a ordonné que l'ancien patron de MegaUpload puisse accéder à l'ensemble des pièces relatives à l'affaire. En outre, la police néo-zélandaise et le FBI devront détruire les copies de données réalisées suite à la perquisition et restituer les disques contenant des informations à caractère personnel.
Après avoir lancé en janvier Mega, son service d'hébergement de fichiers dans le cloud, Kim Dotcom prépare la sortie de son autre projet. Megabox est une future plateforme d'écoute de musique en ligne. Alors que l'ouverture du site est prévue avant l'été, l'Allemand continue d'attiser la curiosité des internautes en diffusant des captures d'écran sur Twitter.
En réponse à plusieurs articles doutant du bon niveau de sécurité assuré par le site de partage de fichiers, Mega, Kim Dotcom a lancé un concours de piratage de son service de chiffrement. 10 000 euros sont à gagner.
Mega joue le jeu. Les premières demandes de suppression de contenus sont arrivés sur le bureau du nouveau site de Kim Dotcom, qui a bien désactivé les liens concernés. Kim Dotcom a beau tenir en façade des discours provocateurs à l'encontre des ayants droit, tout est fait sur Mega pour que rien ne puisse être reproché sur le plan juridique au successeur de MegaUpload. Par exemple, si l'équipe basée en Nouvelle-Zélande a mis en place des mesures de cryptographie dont le résultat peut parfois sembler grotesque, c'est moins pour protéger la vie privée des internautes que pour justifier en cas de procès qu'il n'avait aucun moyen de surveiller le contenu de ses serveurs, et donc de filtrer les films ou albums musicaux protégés.
La Sacem allemande a contesté les accusations de Kim Dotcom pointant sa responsabilité dans le retrait temporaire de la vidéo de lancement de Mega. En filigrane, la GEMA rejette la faute sur YouTube et son dispositif Content ID. Mise en cause par Kim Dotcom, la société pour les représentations musicales et les droits de reproduction mécanique (GEMA) n'a pas tardé à réagir. Dans un message publié sur Twitter, la Sacem allemande a interpellé le patron de Mega, lui expliquant que ses allégations sont infondées. La suspension provisoire de la conférence de presse sur YouTube ne résulte pas d'une notification de la GEMA.
Au début du mois, Kim Dotcom a publié sur Twitter les cinq conditions à remplir pour mettre fin au piratage sur Internet. Le lobby néo-zélandais du disque, la RIANZ, estime que les points évoqués par le fondateur de MegaUpload sont déjà satisfaits en ce qui concerne le secteur musical.
Très actif sur Twitter, Kim Dotcom ne parle pas que du lancement de Mega. Le fondateur de MegaUpload partage également ses vues sur un certain nombre de sujets, quand il n'est pas occupé à diffuser des articles évoquant sa situation judiciaire. Ainsi, Kim Dotcom a publié il y a une dizaine de jours un message expliquant comment stopper le piratage sur Internet.
Kim Dotcom a publié sur son compte Tweeter une liste des cinq points des raisons pour lesquelles les gens ordinaires piratent du contenu. Le message est adressé aux lobbyistes et titulaires de droits avec l’espoir d’une meilleure compréhension pour eux du piratage…
Nouveau rebondissement dans l’affaire Megaupload : les mandats de perquisition qui ont entraîné la fermeture des serveurs et l’arrestation de leur fondateur, l’allemand Kim Dotcom, pourraient être entachés d’illégalité. Dans un document disponible en ligne (en anglais) et communiqué à la justice américaine, le camp Megaupload accuse le FBI d’avoir manipulé la justice et truqué les preuves.
Dans six semaines, Kim "Dotcom" Schmitz lancera son nouveau service d'hébergement de fichiers, baptisé Mega. Soucieux de gérer le buzz autour de son nouveau projet, le fondateur de MegaUpload n'a pas diffusé beaucoup d'informations jusqu'à présent, hormis trois captures d'écran diffusées vendredi sur Twitter.
Le calendrier est fixé. Le nouveau Mega ouvrira ses portes le 19 janvier prochain, un an jour pour jour après la fermeture de MegaUpload par les autorités américaines. Un choix de date évidemment loin d'être anodin, puisque Kim Schmitz va profiter de cet anniversaire pour faire un pied de nez aux industries du divertissement.
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